Salut la communauté.

bon dégouté, mes parents sont en vacances au Brésil, on correspond par msn, ils m'envoient une photo et depuis, j'ai un trojan...j'ai fais une copie d'écran du message que je reçois.
Apres vérification, ils n'ont jamais envoyé de photos !!! pourtant leur adresse à été utilisé et la photo se nommait vacances ( j'ai eu la bonne idée de la virer mais ni avast ni spy bot n'a détecté quoi que ce soit)
Le virus/trojan affecte les fichiers services.exe et à part formater, je ne sais pas comment m'en débarrasser.
Je m'en suis rendu compte suite à un ralentissement de ma machine ( sous internet ) et lors de l'affichage d'un message me demandant de me logguer avec un mot de passe pour un accès à distance...

snif, need help, j'suis niveau 0 en lutte contre la criminalité informatique.
Par avance merci.

Cédric.

ps: dsl ça va ralentir ma faible cadence de post....

[Un beau Classe V]
Der Ring Des Nibelungen était un beau vaisseau en forme d'anneau (normal) qui s'aventurait pour la première fois aussi loin du cœur de l'Empire. Il transportait des émigrants qui fuyaient un régime politique totalitaire, le matériel de colonisation qui leur avait été alloué par l'Empire ; mais en majorité des passagers « normaux » et du fret.

Il se posa à Joliot-le-Découvreur la veille de leur départ. Le ballet des logimecs dockers commença immédiatement, qui procédèrent au chargement / déchargement des marchandises. Pour les passagers cela fut plus progressifs. Certains arrivants descendirent de suite ou bien désirèrent profiter des commodités du Ring le plus longtemps possible. Pareil pour les partants : en fonction de leur emploi du temps, de leurs situation ou de leurs états d'âme, ils embarquaient plus ou moins vite.

Par exemple, un jeune homme manifestement originaire d'Anatolia, vêtu du blanc du deuil, portant un holo brassard discret affichant le fait qu'il ne désirait pas être dérangé, embarqua de suite. Il passa toute la traversée entre sa cabine et la grande verrière où il laissa couler son spleen. Que lui était-il arrivé ? Le Père Jdryk'll perçut accidentellement une pensée relative à une peine de cœur. Porter la couleur du deuil pour un chagrin d'amour ? C'était curieux, mais le type ne "jouait" pas, et les coutumes et cultures de l'Empire étaient tout simplement infinies.

Autre exemple, un « Nimportantomdafère » manqua, tout « Nimportant » qu'il était, de se voir fermer le sas sous le nez.

Les quatre hommes montèrent dans la nuit. Monsieur Antillès put voir que son bébé était fort bien rangé et ne risquait rien.

(A suivre)

J'envoie un message de félicitation à l'Honorable Veddar Padesh Loö Lu, et je le remercie pour mes points de Guilde et son petit mot qui m'est allé droit au cœur

Je lui annonce aussi, que je serais toujours disponible pour un service, s'il en avait besoin 8)

D'ailleurs, est-ce que mon contact avec lui évolue, ou il reste au niveau 1 ?

Vous pouvez poster.

Le code d'honneur du Scorpionaute :

Scorpionaute, tu es un volontaire servant l’Empire avec honneur et fidélité.

Tu es un être comme les autres, mais tu es au delà de ta peur, tu as choisi le risque de mourir « bien » à la possibilité de vivre « mal » : par ton engagement tu es contraint à l’héroïsme.

Tu te découvres quand tu te mesures à l’obstacle, tu ne vaux que par ta fidélité à l’Empire, par ce que tu fais pour l’Empire et pour l’Empereur.

Chaque scorpionaute est ton frère d'arme. Tu lui manifestes toujours la solidarité étroite qui doit unir les membres d'une même famille.

Respectueux des traditions, attaché à tes chefs, la discipline et la camaraderie sont ta force, le courage et la loyauté tes vertus.

Fier de ton état de scorpionaute, tu le montres dans ta tenue toujours élégante, ton comportement toujours digne mais modeste, ton casernement toujours net.

Soldat d'élite, tu t'entraînes avec rigueur, tu entretiens ton arme comme ton bien le plus précieux, tu as le souci constant de ta forme physique.

La mission est sacrée, tu l'exécutes jusqu'au bout et, s'il le faut, en opérations, au péril de ta vie.

Tu ne tues que si on t’en donne l’ordre.

Au combat tu agis sans passion et sans haine, tu respectes les ennemis vaincus, tu n'abandonnes jamais ni tes morts, ni tes blessés, ni tes armes.

[Vers une longue détention]
On leur posa sur le front un de ces mouchards ressemblant à une pièce de monnaie que l'on utilisait pour effectuer les transactions commerciales sur des mondes NT1 ou NT2. C'était du matériel d'une qualité pitoyable. Ils avaient à peine décollé, hors de vue des pressyborgs qui les avaient mitraillé d'abondance, que ces dispositifs anti-évasion se détachèrent et tombèrent qui sur leurs genoux qui au sol.

« Laissez. » Dit un des deux policiers.« Café ? »

Ils étaient escortés d'un formec lourd, véritable tank volant, qui les abandonna aux faubourgs de Nicomède.

Le "panier à salade" se posa tout près d'une aire de décollage de FuseauJet. "On vous dit pas « à la prochaine » !" plaisanta un de ces obscurs - mais tellement indispensables - fonctionnaires.

Le FuseauJet était un petit modèle destiné au transport de petites marchandises ; du moins était-il configuré ainsi. Mais les stewards étaient humains. Deux types qui se demandèrent durant les 90 minutes que dura le vol qui donc pouvaient bien être ces quatre pingouins.

Ils se posèrent à midi tapante heure locale à Chamille, cité côtière située à 250 km au sud d'Ellypse, exactement sous l'équateur. Le véhicule carcéral, une bulle d'un horrible bleu ciel et même pas couverte, les attendait et le mena en moins de dix minutes vers la prison. Celle-ci était constituée de bungalows mi-terrestres mi-sous-marins, où, torture psychologique extrême, on pouvait voir évoluer les créatures du lagon, avec ou sans soutien-gorge, certaines même sans rien du tout.

Les habitats étaient tellement délabrés qu'il n'y avait pas de verrous aux portes, fermées assez rarement à vrai dire. Dans chaque habitat, trois formecs allaient au devant de chacun de leur mouvement, de peur d'une tentative de suicide au caviar de Rikoff ou de noyade dans l'ambre d'orge.

Voilà comment l'Empire les remerciait de leur abnégation !

N'est-ce pas pitoyable ?

Ah, je vous jure, quelle époque.

[Discussion avant le panier à salade]
Vous pouvez discuter un brin pendant mon absence ces deux jours.

[Une rencontre improbable]
Khrys avança prudemment, passa une de ces stupides colonnes prétentieuses et tomba nez à nez avec le chef des Minekkos, ligoté comme la bourse de l'Honorable Veddar Padesh Loö Lu et roupillant comme un clochard NT1 aviné, et sur Jelrn Sedar Hultien, ligoté lui aussi, mais bien conscient, lui.

Il le regarda d'un air méprisant, et lui dit : "Alors, content de toi ? Tu réalises ce que tu as fait, au moins ?"

[Grand Pas]
Aragorn avait donc 200 mètres à parcourir. Il devait survoler un petit étang ou bien passer dans deux zones en pleine lumière. Monsieur Calvert choisit l'étang. Certes, cette précaution pouvait prêter à sourire. Si un de leurs adversaires disposait d'yeux semblables aux siens, la précaution était risible ; néanmoins mieux valait ne pas tenter le diable.

L'étang fut traversé sans incident. Le petit logimec, merveille de technologie, était presque invisible. Après la traversée de l'étendue d'eau, même les yeux modifiés du navyborg avaient du mal à le discerner. Mais il était bien là.

L'appareil atteignit la bâtisse prétentieuse. De près, c'était encore plus militaro-ringard que de loin. Y entrer ne fut guère compliqué : Les baies étaient grandes ouvertes. Là aussi, les coûteuses alarmes étaient en panne, ou bien stoppées pour cause d'impayé. Aragorn vola au ras du revêtement de polypigments, capable de faire varier la couleur du sol en fonction des nécessités. Cela dit, le plus grand mystère planerait à jamais sur la nature des nécessités en question.

Le servomécanisme "écouta" et "entendit" des conversations non-loin. Il s'y rendit, sa remarquable semi-intelligence lui faisant prendre les options présentant le meilleur compromis entre vitesse et sécurité.

Il y avait une grande pièce, éclairée en rouge, couleur de guerre.
Les deux gardes du corps de Hultien étaient de dos, à deux pas. Quelque chose laissait à penser qu'ils étaient vaguement mal à l'aise.
Griselda Loupédrou était assise, un demi sourire sur les lèvres, contemplant la scène.
Hultien était face aux habitants du lieu. Il y avait une vingtaine de Minekkos, des deux sexes, leurs torses nus laissant voir leur serpent qui bougeait dans une lente reptation immobile. Ils venaient visiblement de se mettre en rang. L'un d'eux, un homme, parlait :
"...mandé, les éléments peu fiables sont sortis pour un exercice dans le désert de Llworèmz" (à 700 bornes) "Nous leur avons fait croire qu'il y avait un emploi à la clé. Ici, les fidèles des fidèles écoutent vos ordres"
"Bien !" répondit Hultien. "Nous déclenchons le plan Oméga. Où en est « elle » ?"
"37 800, c'est largement suffisant."
"TRES bien ! Faites « la » remonter de suite et envoyez l'Oméga."

D'un claquement de doigt, le groupe rompit. Ils entrèrent en courant dans une pièce voisine. Il y eut un peu d'agitation, puis tous ressortirent en armures de combat noires. Un groupe d'une dizaine courut vers l'extérieur tandis qu'un autre groupe prenait un couloir latéral. Le premier groupe courait vers l'endroit où messieurs Khalindear et Calvert étaient planqués.

Deux Minnekos étaient restés près de Hultien, Loupédrou et leurs deux gardes du corps. L'homme qui avait parlé, toujours torse nu, et une jeune femme au regard neutre. Hultien dit à ses sbires "attendez-nous dans la limobulle". Ils sortirent sans méfiance, et la fille les exécuta dans le dos de deux coups de fusil à fusion, dont le tir avait visiblement été programmé. Deux poupées en feu s'abattirent à deux pas d'Aragorn.

Hultins dit à Griselda Loupédrou : "Très chère amie, allez nous attendre à Joliot-le-Découvreur ! Nous n'avons pas besoin d'être tous les deux ici."

Sans manifester la moindre crainte, Griselda Loupédrou donna deux objets à Hultien et sortit de la pièce. Elle passa devant les deux gorilles qui brûlaient en émettant des craquements de bois sec, et se dirigea vers un autre couloir.

Mais ce n'était pas tout.

Le "terril" s'était mis à éructer des cailloux, qui tombaient en pluie sur la bulle. Des pierrailles dont la plus grosse devait avoir la taille d'un poing tintaient sur la carlingue.

En résumé :
- le terril s'active
- dix costauds se pointent vers lui
- dix autre sont dans la nature mais n'importa quel petit doigt en état de marche dirait qu'ils ne vont pas tarder à reparaitre
- Griselda Loupédrou repart vers l'astroport de Nicomède, vraisemblablement par un moyen de transport qu'elle trouvera localement
- Hultien s'entretien avec deux psychopathes
- Les scorpionautes sont encore à 40 minutes de vol. Ils vont à 4 000 km/heure, soit la vitesse maxi de chez maxi autorisée par leurs transports prêtés par la Division Formation.

Action ?

J'ai relu le week-end dernier L'orphelin de Perdide, de Stefan Wul.


J'avais découvert cette histoire via le film d'animation de 1982. Rien à voir avec les animations 3D du moment, mais beaucoup de charme. Et le dessin de Moebius ressemble un peu à celui de Manchu.

Ce n'est qu'ensuite que j'ai lu le livre. Un space opera baroque, haut en couleur, et dont l'intrigue est basée sur les paradoxes relativistes. Dans l'univers d'EG, ça pourrait tout à fait se dérouler pendant les 5 siècles qui séparent la découverte des hyperondes du premier vol de Rosalia.
Dommage que le dénouement ait été changé dans l'adaptation cinéma, mais je suppose que c'était mieux que d'endormir le public en racontant l'histoire de ces pauvres jumeaux de Langevin. Bon, je ne vois toujours pas en quoi renvoyer une planète un siècle dans le passé peut aider à sa colonisation... :^)

Vous connaissez ? Déjà vu ? Lu ?