Voici un texte (avec des innovations assez intéressantes) sur l'avenir de l'armée canadienne. Il s'agit d'un écrit fictif se déroulant 20 ans dans le futur dans la ville africaine fictive de Zefra. Je crois qu'il y a des innovations que l'on peut s'inspirer pour de NT4 ou même NT5

www.kschroeder.com/foresight.../crisis-in-zefra

après, vous n'avez qu'a télécharger en format PDF.

J'attend vos commentaires.

Fais-tu quelque chose de particulier, au moment de l'atterrissage, ou bien subis-tu l'affront sans broncher ? :mrgreen:

Epstar Jdryk'll Wrote:Il passa la tablette à Khaadaric. Si tu veux : tu t'y connais plus que moi en cartographie ...

[En vol...]
Monsieur Antillès s'était renseigné sur la géographie humaine (appelons-la ainsi), économique et physique de la région. Pour arriver au plus vite, il faudrait survoler le pays Sbroll dans sa plus grande longueur. Ou alors piquer vers la côte, prendre au 290, traverser un bras de mer et arriver tout près de la Fondation.

La Fondation ! ce mot résonnait douloureusement aux oreilles de MM Edelman et Jdryk'll. La fondation Maestrovitch, sur LulaB... quand était-ce ? Voyons, on était le Satu 20 sixte 503, et ils avaient quitté LulaB le Jove 25 quarte 506. 65 jours ! Même pas deux mois ! Cela dit, ce genre de souvenir ne s'effacerait pas, jamais, Pérédène ou pas ! Même au bout de deux cent ans, ils feraient toujours des cauchemards.

Il survolèrent la mer, assez agitée. Les vagues avaient eu des milliers de kilomètres pour prendre leur élan, et se brisaient sur les falaises en projetant de l'écume salée jusqu'aux arbres de la jungle. C'était grandiose.

Au boutr de vingt minutes de vol, la "12 places" passa au 270, et atteint rapidement la côte. "Nous entrons en pays Maellou..." la voix de leur pilote se bloqua ! C'ETAIT LA ! Tous le ressentirent, et surtout les deux télépathes. Le Ghestalt... Il venait d'ici, de ces forêts jaunissantes, de ces clairières à l'herbe mourante. Il était ici, il était là, il venait de partout et de nulle part, c'était un monstre omniprésent. La bulle ralentit jusqu'à presque s'arrêter, à 15 mètres au dessus d'une vaste étendue dégagée. Le pilote fit disparaitre la verrière. L'atmosphère était déjà étouffante. Il y avait des cris d'animaux, mais ceux-ci étaient plaintifs, et exprimaient la souffrance. Et surtout l'odeur, comme une pestilence mortelle ; des corps et de végétaux pourrissaient ici. Monsieur Antillès reprit "La fondation est..." biiiip. Un astronef, au sol, à 50 kilomètres. Masse : 30 tonnes. Repéré grâce à son transpondeur de détresse.

Que faites-vous ?

Pas facile sans plot vertébral :mrgreen:
http://www.youtube.com/v/dBzYoOTtSaU

Vous pouvez poster

Dès que l'on m'aura fournit une ceinture anti grav (je consideres que je me suis servi dans la bulle sur les conseils du Khrys),
Si personne est chaud pour le prêt, je files quand même dans la foret sur les traces des fugitifs, bien sur en mode camouflé, pour surprendre tout le monde.
Je vais tenter de leur ramener la mère Sémirande, au pire cela me fera du sport en solitaire...

Monsieur Antillès descendit de la bulle et s'approcha de la moissonneuse. Il ferma les yeux et se concentra pendant quelques instants, faisant appel aux techniques de relaxations et de contrôle prana-bindu (si si...) qu'il avait appris à la Guilde. Lorsque ses paupières se relevèrent, la sensibilité de ses rétines avait augmenté, son cristallin accomodait plus vite et mieux, son ouïe s'était affinée. Cela ne durerait pas longtemps, mais cela lui permettrait peut être de "flairer" la piste de Sémirande.

// Sixième Sens volontaire pour essayer de remarquer tout détail incongru ou pas, voire de commencer à "pister" la petite futée (à la Aragorn au début des Deux Tours, si tu vois ce que je veux dire)

[Vol au ras des arbres]
Monsieur Antillès observait les ramures qui défilaient sous la bulle, à vingt mètres en moyenne. C'était dense, très dense... Et ce n'était pas encore un "Bosquet du Diable", dont il venait d'obtenir les principaux emplacements. "Principaux" car les instructions précisaient qu'il y en avait des milliers, parfois petits, mais très très très denses. Il ne ferait pas bon tomber là-dedans.

Ils arrivèrent. Il y avait une grande clairière (en fait un champ moissonné) au point d'arrivée, et la moissonneuse était bien là. Ils se posèrent tout près. Minute. L'ancre n'avait pas été activée, et l'engin avait bougé au gré d'une légère, très légère brise déjà moite. Pas de beaucoup, sans doute, mais c'était suffisant pour ne pas avoir de point de départ fiable, monsieur Orkalys. :devil:

Epstar Jdryk'll Wrote:...Il respira le plus calmement possible, et se cala sur les ondes de Sémirande, il cherchait une trace, un signe, une direction ...

... en attendant que ses compagnons se décident Epstar se pendha et récupéra la petite carte. Il s'interrogeait : Khaadaric avait-il pété les plombs, avec une aide extérieur, confondant cet objet avec celui qui l'avait blessé, ou s'agissait-il vraiment de la même arme ?