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Jonction - 27 Kepler 1505 TUP
#31
Spoutkin fit un passage dans l'armurerie, emprunta un paralyseur à Jim et fit une boucle dans sa cabine pour prendre son blouson fétiche et ses lunettes rondes qu'il cala sur son front.
Puis après avoir vérifier le bon fonctionnement de son communicateur, il rejoignit le capitaine sur la passerelle en notant mentalement :
oO(il ne faut pas que j'oublie de lui parler de l'enregistreur
La cathédrale sentait le chocolat
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#32
Je rejoignit Jim et brise au sans de débarquement
Je m'étais changé une salopette de jeans une chemise de couleur neutre afin d'éviter d'attirer l'attention avec des couleurs criardes sous elle un gilet de protection [ hors rôleolay MJ je ne le souviens plus de ce que j'avais lors de la création de mon personnage]
Mon kikoup le long de la cuisse rangée dans un étui de cuir et les deux karatapoigne dissimulé sous deux gros bracelets de force en cuir munis d'un anneau de métal.
Voyant mes amis je leur fis signe de la main
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#33
"Je vous accompagne à la capitainerie, si vous le souhaitez", proposa Théo à Zelda et Spoutkin.

Si le pacha n'avait rien prévu d'autre pour lui, il alla récupérer son paralyseur personnel dans l'armurerie ainsi que deux karatapoignes qu'il enfila prestement. Il passa un survêtement doublé d'abestos par-dessus son t-shirt et remit sa veste de cuir fétiche sans manches. Puis il emboîta le pas à ses compagnons.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#34
Tout content, (Même Ji devait sûrement sentir quelques vagues d'exitation émanant de l'invertébré) Brise prit la tête du groupe en compagnie de ses 3 nouveaux amis. Il se dirigea vers le premier poste de manutentionnaire de l'aire d’atterrissage.
Sur le chemin il partagea ses pensées


Camarade travail interroger
¿Station employé TPT?
indice recherche Songe

[hrp]c'est marrant parceque même en diagonale ça marche Smile[/hrp]

Ce qui donnait vocalement

Parmi les rues de Jonction
se trouve la réponse
à l'énigme du capitaine


Brise se demandait entre autre s'il n'y avait pas de membre de son peuple dans le coin et que s'il fallait commencer la recherche quelque part c'était bien ici où le songe s'est amarré. Un vaisseau/capitaine de légende laisse forcément des traces dans les esprits
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#35
[hrp]Désolé pour le retard[/hrp]

Chacun s’équipa donc, prenant armes, matériels, communico.

Le sas d’entrée du Songe était presque trop petit pour accueillir tout le monde.

Ils se serrèrent autour de la soucoupe antigrav de Brise, laissant le sas intérieur se refermer et attendirent un court instant que la pression s’équilibre : la pression était très légèrement différente à bord de la station, plus faible, plus adaptée à certaines espèces oxy-respirantes Xéno, tout en restant bien tolérée par les humains.

Dans un soupir pneumatique le sas extérieur glissa.

Ce fut tout d’abord un mur de bruit qui les percuta : Grincements métalliques, chocs sourds répétitif, des cris en Gal IV, grésillements , le tout sur fond de ronronnement de ventilation et de bourdonnement électrique.

Puis vint l’odeur, alors que l’air s’engouffrait dans le sas : Une fragrance complexe fait de graisse industrielle, d’ozone, de plastique chauffé, d’une pointe d’ammoniaque et d’odeurs organiques indéterminées.

En posant le pied sur le quai du dock ils purent mettre des images sur ces stimuli. Le long de l’immense quai dont la courbure servait d’horizon, les engins de levage, les exosquelettes chargeaient ou déchargeaient des marchandises sur les vaisseaux voisins, une équipe de maintenance réparaient dans des éclairs stroboscopique de lumière cohérente une partie du revêtement blindé du sol.

Dans un sifflement ils virent passer devant eux une bulle de transport collective qui se déplaçait sur un rail gauss. Ces bulles permettaient de se rendre à n’importe quel point de la station. A travers des verrières ils purent voir ses passagers : un groupe de corporatistes humain, tous vêtus d’un même costume sombre à l’holocravate de couleur vive et au col de veste montant décoré de pièces d’argents à la mode d’ Hystel. Les hommes passèrent comme une flèche dans leur véhicule, sans leur prêter la moindre attention.

Le navire voisin du leur était un classe IV, visiblement occupé à charger du grain en vrac à l’aide d’une antique chargeuse à bande dont le tapis cognait à chaque cycle. C’était un navire Ganeshien, la Mâlâ, dont certains membres d’équipages étaient descendus à quai pour surveiller le transbordement de leur marchandise à leur bord. Deux Babarlermite, des créatures centaurienne , éléphantines à la peau grises, dont le sommet du crane culminait à 4 mètres du sol et dont l’épiderme fragile était couvert de plaques métalliques récupérées de ci de là comme l’usage de leur peuple le voulait, se tenait à coté de leur sas. C’étaient la première fois que les membres du Songe en voyaient en vrai : ils étaient rares de ce coté de la galaxie, leur monde natal, Ganesh II se situait sur l’autre bras de la galaxie, mais l’holo-TV les avait popularisé. C’était une des plus grande race Xéno astro-pélerine a faire partie de l’Empire. Chaque babarlermite pesait dans les 5 tonnes, se déplaçant lourdement sur ses quatre membres inférieurs et se servant de ses deux tentacules latérales dotées de crochets rétractables pour les manipulations plus fines.

Une de ces créatures tourna la tête en leur direction, ses trois yeux noirs clignant l’un après l’autre en un salut informel.

Un peu plus loin derrière des caissons vides abandonnés, un petit groupe de six ou sept Kiffs en robe de bure noire les observait avec attention, capuche repliée sur la tête cachant leur groin camus ne laissant que leurs yeux rouge briller dans l’ombre. Ils les fixaient, bougeant lentement pour masquer leur nombre exact, mains dissimulés comme à leur habitude dans les replis de leurs robes.

Ils se séparèrent donc en deux groupe : Zelda, Spoutkin et Théo se dirigeraient vers la capitainerie. Pour leur secteur le bureau le plus proche se trouvait à environ 400m. Ils pouvaient s’y rendre à pied ou appeler une bulle collective.

Quant à Brise, Bruhuk, Jim et Ji, ils pouvaient commencer par interroger l’équipe de maintenance qui se trouvait non loin, mais cela les rapprocherait des Kiffs, ou se rendre au bureau technique de la station qui d’après leur plan se trouvaient de l’autre coté de l’anneau à 250 mètres. Sinon ils pouvaient bien entendu trainer sur le quai et essayer d’interroger les uns et les autres.
[hrp]Que faites-vous ?[/hrp]
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#36
...400m ne semblait pas une distance insurmontable, d'autant plus que Zelda aimait cette jungle mécanique où se mêlait les odeurs d'huile, d'ozone et de sueur... Mais avant, elle observa sans détour les kiffs qui maraudaient près des caissons abandonnés... Elle les défia du regard tout en effleurant la garde de sa vibrolame... puis elle cracha au sol... Marquant symboliquement le territoire du Songe d'Aran.

D'un geste délicat de la main, elle salua les deux Babarlermites de la Mâlâ, puis elle proposa à ses compagnons de remonter à pied en direction de la capitainerie.

Tout en marchand vers l'horizon courbe, elle fit un premier rapport à Dom... Une bande de 6 ou 7 maraudeurs Kiffs sur le dock... A surveiller... On remonte à pied jusqu'à la capitainerie.
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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#37
Après avoir noté la présences des kiffs signalé par le pacha, Spoutkin ralenti le pas et fit signe à ses compagnons de se mettre un peu à l'écart :
Capitaine, dit-il à voix basse, je me demande depuis ces dernières heures si nous ne devrions pas enregistrer toutes nos sorties. Nous pourrions ainsi après coup, visionner nos entretiens, échanges et autres actions à têtes reposées. De plus, depuis que Kald s'est révélé, j'envisage sérieusement la possibilité de lui soumettre nos enregistrements afin qu'il participe à notre enquête.
Qu'en pensez-vous ?


Le pilote laissa ses paroles en suspent quelques secondes et termina : du coup, avant d'avoir accès aux informations de la capitainerie, je suggère que nous passions d'abord par une boutique de vidéo afin de capter notre première arrêt.
La cathédrale sentait le chocolat
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#38
Une fois sur le tarmac j'abordais un manutentionnaire qui passait par là.
Je lui demandais à voir des TPT s'il y en avait par ici, et savoir si il avait déjà vu ce vaisseau auparavant. Je lui indiquait moi même dans un premier temps, puis le songe en faisant naitre un prolongement de moi au sein de ma cloche blindée, dans les directions précitées
ce qui donnait en lettres et en vocable :

? vision autre -"."- ?
? manutention demande renseignement ?
? auparavant accueille Songe ?


mon ami aperçois tu
TPT tes collegues
étant passé dans les songes
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#39
Apercevant lui aussi les kiffs qui vraisemblablement les observaient, Théo releva ostensiblement le revers de sa veste de cuir, dévoilant le paralyseur qu'il portait à la ceinture. Il laissa sa main reposer le long de sa cuisse, de sorte que l'arme ne disparaisse pas à la vue des kiffs. Il faisait mine de les ignorer, évitant de regarder dans leur direction, mais se tenait aux aguets, lançant d'imperceptible coup d'oeil sur les côtés, comptant sur sa vision périphérique pour l'alerter si les petites silhouettes encapuchonnées bougeaient ou changeaient d'attitude.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#40
Ji n'avait jamais rencontré de Kiffs durant ses voyages, mais il a l'impression que chaque secteur de la galaxie possède une race sur laquelle tout le monde s'accorde à penser que moins on la voit, mieux on se porte.
Quoi qu'il en soit, percevant l'inquiétude de ses compagnons et à défaut d'être d'une quelconque utilité en l'absence de tout arsenal visible, il ouvre ses fenêtres de perception par étapes successives jusqu'aux limites de ce que la bienséance et la loi lui permet.

Restant un peu en retrait, laissant le temps à son odorat de s'adapter aux spécificités locales tandis que les sensations commencent à affluer, il garde un œil sur les membres de l'équipage qui constitue son équipe.
Loin au-dessus de la Lune
La planète Terre est bleue
Et il n'y a rien que je puisse y faire.
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