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Bilbo - 22 Kepler 1505 TUP
Pas fâché d'être enfin arrivé, Dom suivit à la trace Jim vers leur futur refuge pour la nuit.

Pendant que Jim était en train de monter leur première tente, Dom inspecta à la trace le monticule en cherchant à détecter si ce dernier recelait des dangers cachés. Après que ce fut fait, il aida Jim à faire le feu.

[Goguenard]
Oui pas mal ça du poisson, et puis avec des algues on sera bien dans l'ambiance.

Lorsque Jim fut occupé par la préparation du repas, Dom commença à monter les dernières tentes.
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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Théo fit un signe de tête à Zelda, prit appui sur ses mains jointes, puis sur son épaule, et grimpa sur la coque de la navette, s'agrippant à une antenne d'une main et calant ses pieds sur un aileron de limitude de l'écran énergétique. Il ouvrit le panneau de commande manuelle, actionna l'accumulateur piézoélectrique en lui faisant faire plusieurs mouvements de va-et-vient, et lorsque le voyant de charge s'éclaira faiblement en vert, il pressa le contacteur d'ouverture de l'écoutille. Le panneau s'escamota.

oO( Généralement, c'est là que les emmerdes commencent... ) songea l'artilleur en allumant son briquet et en le tendant devant lui pour observer l'intérieur de l'engin.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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Zelda supporta le poids de son coéquipier et se jura de le mettre au régime dés son retour sur le Songe d'Aran.
Lorsque Théo eut stabilisé sa position et déverrouillé le sas, Zelda lui lança une lampe torche à pile chimique...

Ça donne quoi ?

Puis elle s'adressa au reste de l'équipe... Ne relâchez pas votre vigilance !
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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[hrp]Sur la manière de poster et d’écrire l’aventure : Je suis là pour vous guider, pour vous raconter une histoire.

Mais l’aventure c’est vous qui la faite, c’est vous qui écrivez et décrivez. Je vous tends une toile, éventuellement je mets quelques éléments de décor en place, mais c’est à vous d’écrire, de décrire ou de vous mettre en scène.

Au lieu de décrire point par point le résultat de vos actions, je préfère et de loin vous laisser l’écrire et le décrire. N’hésitez pas à me poser des questions si vous n’êtes pas certain du résultat, de ce qu’il y a derrière, et de ce qui se passe en fonction de votre jet de dés. Posez ces questions dans votre fil privé de préférence … et si vous avez des envies particulières, de lubie ou autre, ou d’une action vous mettant en scène particulièrement n’hésitez pas, en m’en informant si ça doit être drastique et en mettant au courant vos camarades si vous voulez les inclure dans l’action.

Nous sommes une troupe de théâtre : je suis metteur en scène, mais je ne suis pas chiant sur l’impro. Au contraire ça me fait plaisir. A vous de jouer, je vous renvoie la balle.

Donc action …[/hrp]

[hrp]Pour Bruhuk : un petit jet d’estimation + intelligence pour l’état général sous 4d6 ou de moteur varlet + intelligence sous 4d6 pour connaitre l’importance des dommages.[/hrp]

Jim avait choisi pour le lieu de campement un ancien terrier abandonné de taupes des marais : une créature amphibie qui assemblait branches et boue pour se construire des abris semi humides, mais dont le sommet émergeait largement. Comment savait-il qu’il était abandonné ? Sans le moindre doute les taupes des marais se seraient manifestées quand il avait allumé un feu si ça n’avait pas été le cas.

Alors que la soupe cuisait il observa les marais, les taons-bulles restants à distance du feu et de la fumée. Il y avait une certaine beauté dans celui-ci une fois au sec et réchauffé par un feu. Ci et là des créatures luminescentes clignotaient dans les arbres, des reptiles nocturnes voletaient, masquant les étoiles qui s’étaient dévoilées lorsque la brume s’en était allée. Pour l’instant les créatures se tenaient à distance.

Dom avait réquisitionné d'autorité la partie la plus plate du monticule pour ses tentes et ses coups de maillets résonnèrent dans le silence alors qu'il plantait les piquets de bois.

Théo avait fait le tour de l’épave … il n’avait rien remarqué de particulier, pas de trace de pas ou de passage suspect.
Il avait avec l’aide de Zelda atteint la trappe d’accès et était parvenu à l’ouvrir … alors qu’il jetait un coup d’œil à l’intérieur (c’était un sacré bordel : les trappes de maintenance étaient ouvertes et avaient laissé s’échapper leur lot de câbles, de tuyaux contenant du gel optronique .. . il y avait eu un début d’incendie aussi à en juger à l’odeur).

Du coin de l’œil quelque chose qui attira son attention. Là sur la coque, au dessus de l’écoutille : une trace de pied boueux. Semelles à induction magnétique à ce que l’on dirait. Assez ancienne pour avoir été séchées par la chaleur résiduelle de l’entrée en atmosphère.
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toujours focaliser sur mon inspection de la navette .
Je rejoignit Théo

Je continuais mes calculs grognants de façon sourdes comme quoi je n'etais pas content et pas à l'aise.
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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Théo avait attrapé la lampe-torche lancée par Zelda et balayé l'intérieur de la navette avec le pinceau lumineux. Le spectacle de désolation n'était guère engageant, ainsi qu'il le confirma au ballik qui lui posait la question :

"Au niveau de l'ingénierie astronavale, c'est toi le spécialiste, mon vieux. Mais si les suspenseurs et les propulseurs de cet engin sont dans le même état que ses systèmes de contrôle et son avionique, le seul moyen pour qu'il remonte en orbite, ça va être de le pousser. Très fort."

A ce moment, son regard fut attiré par l'empreinte de boue séchée sur la coque. Il jeta un coup d'oeil aux alentours. Ca avait l'air d'être la même boue que celle du marais. Histoire de s'en assurer, il gratta l'empreinte, récupéra des morceaux de terre et de mousse séchée qu'il mit dans son mouchoir.

"Bru, peux-tu renifler ça et nous dire si c'est bien de la boue locale ?"

Il passa le mouchoir au ballik tout en déclarant à Zelda :

"Apparemment quelqu'un est déjà venu ici peu de temps après le crash. Ce sont des gens soigneux, parce qu'ils ont refermé l'écoutille derrière eux. De deux choses l'une : soit ils ont trouvé ce qu'ils cherchaient et sont repartis, soit ils ont laissé un mouchard pour les alerter si quelqu'un d'autre pénètre dans la navette, et on va les voir débarquer plus ou moins rapidement. Il faudrait scanner l'épave pour voir si quelque chose émet des signaux de communication. Moi je vérifie si c'est sans danger et je monte à bord."

L'artilleur continua son examen de l'intérieur de l'engin, très minutieusement à présent, à la recherche d'un quelconque élément incongru, avant de se glisser dans l'écoutille si la chose lui semblait sans danger.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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Theo Calderon Wrote:Apparemment quelqu'un est déjà venu ici peu de temps après le crash. Ce sont des gens soigneux, parce qu'ils ont refermé l'écoutille derrière eux. De deux choses l'une : soit ils ont trouvé ce qu'ils cherchaient et sont repartis, soit ils ont laissé un mouchard pour les alerter si quelqu'un d'autre pénètre dans la navette
Zelda encaissa la nouvelle sans broncher... Depuis le guet-apens raté de la route-digue, elle savait que le crash de la navette n'était qu'un collet, une tromperie pour leur soutirer le peu d'informations qui les reliaient à la chante-cloche et aux trésors la Princesse Alia.

S'il y avait une seconde équipe prête à leur tomber dessus il fallait faire vite. Néanmoins, Zelda attendit que Théo eu terminé son inspection... Elle vit l'artilleur disparaître dans le fuselage.

Bruhuk était perplexe... Zelda mis un genou au sol et le regarda dans les yeux. Sur le visage de la jeune femme, le Ballik pouvait lire la confiance et la détermination. Sa voix était calme.

Bruhuk, il faut me faire décoller cette navette... et l'envoyer sans pinailler dans l'espace... peu importe la manière ! Même si on n'est pas super précis... Tu bricoles un calculateur de fortune et on lance les propulseurs à fond les ballons... Il faut juste qu'ils tiennent quelques minutes ! Une fois de plus tu es le Ballik de la situation…

Zelda se releva pour s'adresser à Jim et Dom qui préparaient le bivouac.

On récupérera l'engin plus tard avec le Songe d'Aran... Si quelqu’un a une idée ou une suggestion ?
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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Dom haussa la voix pour répondre à la remarque de Zelda : il avait un peu rodé autour de la navette à moitié engloutie et s'était attardé un moment sur l'empreinte et une idée lui était venue.

[Maladroit]
Zelda, si je peux me permettre, j'ai une hypothèse. Les énervés de tout à l'heure voulaient peut-être récupérer qu'on devait leur "passer" et vu que ça n'était pas dans cette navette là, ils ont cru que c'était nous qui avions leur marchandise à notre insu ou non.

Après un court silence, Dom reprit la parole :

[Réprimant un frisson]
L'autre hypothèse me fiche le vertige parce que si ce ne sont pas des locaux, ça veut dire que ce sont probablement les mêmes personnes que sur Mandrake et qu'ils nous suivent à la trace. Et surtout j'ai l'impression qu'ils ne veulent pas seulement la chante-cloche.
Quand j'étais avec eux j'ai essayé de les faire réagir en insinuant des choses au sujet d'instruments de musique mais j'ai pas eu de réaction du tout donc je pense que cette bande est à la recherche du trésor en entier plus que d'une "simple" chante-cloche.
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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[hrp]@ Théo : Un petit jet de 4d6 sous perception avec un bonus de +2 (bonus de +3 car tu cherches, mais -1 à cause des conditions d'obscurité dans l'habitacle)
@ Bruhuk : j'attends toujours tes jets ... si tu ne parviens pas à les envoyer via internet, utilise des dés classiques et mets le résultat ici. Merci.[/hrp]
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[hrp]J'ai les jets de tout le monde, merci.[/hrp]

Théo inspectait l'intérieur de l'habitacle et Bruhuk l'extérieur ...

Dans le faisceau de la lampe que lui avait passé Zelda, Théo passait au peigne fin l'habitacle. Comme il avait déjà été dit plus haut celui-ci était dans un désordre indescriptible : les trappes techniques avaient été ouvertes lors du choc, quand le champ inertiel avait atteint ses limites, des câbles avaient fait court circuits avant que les systèmes semi-intelligents de survie ne coupent l'alimentation et déclenchent les extincteurs automatique. Le début d'incendie avait cependant couvert l'intérieur de l'habitacle d'une fine pellicule de poussière de graphite.

C'est cela qui lui révéla le pot au roses : une trace de main "propre" sur la paroi lui indiqua que quelqu'un était rentré après l'incendie ... il avait posé sa main là pour ... il leva les yeux et repéra un timbre émetteur, un simple petit rectangle autocollant translucide comprenant un capteur trivi optique, un émetteur courte portée (deux kilomètres maximum) et une petite semaine d'autonomie énergétique au maximum.

Du matériel de barbouze, pas le top, mais efficace et facile à mettre en place.

Pendant ce temps Bruhuk avait fait le tour de la navette. Les plaques anti-grav étaient déconnectées, certains tubes d'alimentation à plasma devraient être remplacés ou bypassés. Au pif (que Bruhuk n'avait pas même s'il n'en avait pas besoin pour renifler) une bonne dizaine d'heure de travail. Il rejoint la cabine (où Théo venait de trouver ce qu'il cherchait) et se rendit compte des dommages. l'ensemble n'était plus alimenté : avant tout pour lancer un diagnostique il lui faudrait réalimenter l'ordinateur de bord, alimentation qui avait été automatiquement lors de l'incendie.

Il lui faudrait donc et dans l'ordre : trouver les causes du court circuit et les réparés, puis relancer l'alimentation générale, s'assurer que l'ordinateur était bien connecté et lancer le diagnostique ... il rajouta deux bonnes heures à son estimation initiale.

[hrp]A vous.[/hrp]
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