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Bilbo - 22 Kepler 1505 TUP
Zelda brandit et agita son éventail pour éloigner les "gouttelettes sangsues"...

Allons les garçons, finit de s'amuser... Ne trainons pas ici, avançons... Nous avons 400 mètres théoriques à faire dans cette direction. Bruhuk et Jim, en tête...

Zelda plongea les deux mains dans la vase et s'en frotta les avant-bras et s'en barbouilla le visage, la nuque et le coups... [après avoir vérifié que la boue ne contient pas pire que les taons-bulle]

ça devrait nous éviter les brûlures... Théo tu fermes la colonne...
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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"Saloperie de bestioles, je te brûlerai bien ça au Super Timor."

La progression, certes sur 400m, promettait d'être laborieuse mais au moins une fois arrivé à l'épave peut être trouveraient-ils un coin relativement sec pour établir un bivouac. En attendant il fallait avancer. C'est avec des bruits spongieux qu'il repris ça marche en avant.
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[hrp]Désolé, mais je traverse des moments particulièrement difficile au niveau familial. J'ai du temps demain et vendredi soir pour continuer l'aventure et sans doute samedi et dimanche soir.
Encore navré de vous faire attendre.[/hrp]
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Écoutant Théo je regoupillai la grenade et le saisi d'un bâton que j'allumai.
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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La flamme du briquet à amadou de Théo illumina la nuit de sa flamme jaune et dansante … les créatures s’éloignèrent paresseusement, pour revenir de plus belle au couvert de l’obscurité quand la flamme s’éloignait.

Zelda avait plongé les mains dans la boue et après avoir inspecté celle-ci et vu détaler des vers et des petits crustacés s’interrogea : était-il bien raisonnable d’étaler ce bouillon de culture sur sa douce peau ?

Par reflexe Jim avait écrasé la bestiole, qui avait éclaté sous l’impact … une cloque se formait sur son bras et ça démangeait.

Il fallut attendre que Bruhuk rejoigne Théo avec le bâton qu’il avait trouvé : la longue expérience des milieux humide lui permit de trouver une plante dont les pistils enfermés dans une cosse cirée était relativement sec … après plusieurs minutes d’acharnement ils parvinrent en faire crachoter le flambeau improvisé, pendant que chacun essayait d’éloigner les taons bulles, non sans écoper de quelques piqures malgré tout. Plus que la chiche lumière, les créatures détestèrent la fumée noire et grasse qui se répandit tout autour, les laissant en paix

…Disons le la progression en direction de l’épave ne fut pas une partie de plaisir.

Il leur fallut trois longues heures pour parvenir à ce qui restait de du cargo automatisé. Il fallut récupérer une des chaussures de Dom perdue dans un trou et éloigner en tirant quelques coups de feu en l’air un bec-hache trop curieux qui était venu à la lisière de la lumière avec deux de ses congénères voir s’ils pourraient faire un repas des étranges créatures qui avaient envahi leur domaine. La tache la plus harassante fut de se dégager de la boue qui s’infiltrait partout, les couvrant d’une couche noirâtre et craquante au fur et à mesure qu’elle séchait. Zelda eut enfin le bain de boue qu’elle avait souhaité. On verrait plus tard pour les conséquences sanitaires.

Le seul qui avait l’air de s’amuser c’était Bruhuk. La boue était une seconde nature pour lui … et il pataugeait avec délice, allant de l’un à l’autre pour les aider à avancer et à s’extirper du sol gluant.

Enfin ils parvinrent à la longue tranchée emplie d’eau noire au bout de laquelle ils devinèrent dans les lueurs de la torche et des lampes l’éclat métallique du plastacier mis à nu lors de sa longue glissade dans le marais.

Quelques minutes plus tard ils étaient au pied de l’épave. La coque énergisée en avait subie de dures, la structure avait pliée sous l’effort, mais … dans l’ensemble elle semblait encore en une seule pièce. La cellule contenant l’avionique et la cabine de pilotage de secours était à demi enterrée, mais une des écoutilles de service était encore accessible.

[hrp]A vous.[/hrp]
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Théo fut ravi de voir Bruhuk lui amener une branche idéale pour servir de torche, car non seulement le briquet commençait à être brulant dans sa main, mais de plus les va-et-vients qu'il lui faisait faire n'étaient guère efficaces et il commençait à avoir quelques piqures de taons-bulle sur les parties exposées de sa peau qui irradiaient une douleur cuisante. Il essaya de résister à l'envie de se gratter, car il était probable que ça n'arrangerait rien, bien au contraire.

Au bout de la troisième heure de marche dans les conditions difficiles des marais bilboniens, la fatigue se faisait à présent sentir. Une gangue de boue séchée alourdissait ses bottes, il avait de plus en plus de mal à lever les pieds hors des fondrières fangeuses où le groupe se trainait, la chaleur et la sueur rendaient ses vêtements poisseux. Sa vigilance s'émoussait, et il regardait moins souvent sur les côtés et l'arrière de la colonne, de plus en plus concentré sur le simple fait d'avancer.

Il aperçut avec soulagement l'épave de la navette automatique. Parvenu à proximité de l'engin, il arma son fusil, fit le tour de l'épave à la recherche de tout élément qui pourrait indiquer si celle-ci avait déjà reçu de la visite : empreintes sur le sol probablement sèché par la chaleur résiduelle de la coque, marques de mains ou de pieds sur l'enveloppe énergisée...

Il avisa l'écoutille de service perchée à deux mètres vingt du sol et déclara :

"Qui me fait la courte échelle, que j'essaye d'ouvrir ce truc ?"
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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La progression dans les fongières et les trous d'eau avait été éprouvante pour l'équipe. Mais grâce à Bruhuk le groupe progressa plus rapidement qu'elle ne l'avait espéré. Zelda lui en était reconnaissante.

Merci Bruhuk, sans toi nous aurions marcher tout la nuit...

Une fois au pied de la navette Zelda suivi Théo pour faire le tour de l'épave. Bruhuk avait préparé un protocole de sécurisation. Zelda le déploya sur son éventail. Elle contrôla chaque point : état de la coque, émanation de fluides, radiation, fumées toxiques ect... Visiblement, la structure générale de la navette était indemne et la nature spongieuse et élastique du terrain avait favorablement amortit et amoindrit les effets du crash.

Est-ce qu'elle pourra décoller pour une mise en orbite basse ? Zelda s'adressait à Tého et à ceux qui avait une opinion sur le sujet...

Puis elle avisa l'écoutille de service... Sois prudent ! Elle se mis en position en assura ses appuis, les mains jointes pour faire une courte échelle.
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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Rapidement je fis le tour de la navette afin de faire le point sur son état.
[Hors rôleplay dois je faire un jet pour voir ce que je découvre sur la navette ?]
Pataugeant en gromelant dans la boue
Avant de partir je fit signe à Théo que j'allais bouger.
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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Jim fit le tour du site pour essayer de trouver un coin un peu moins humide et boueux que le reste du marécage.
Il voulait également trouver un endroit sûr permettant une bonne défense de la zone. Après de longues minutes à patauger il fixa son choix sur une proéminence du terrain.

Il montât en premier un brasero histoire de se sécher et de se réchauffer un peu. En un tournemain il montât une première tente puis s'attaqua au nerf de la guerre, la popotte.

Retournant différents sachet. "Alors qu'est ce qu'on a là? Suprême d'algol, bof. Poissons fumés et algues façons Marine, c'est pas mal ça."

Jim dépliât un espèce de sac argenté ou il versa le contenu du sachet. Il refermât le sac puis inséra dans un boîtier une cartouche de reconstitution. L'autocook portatif émit un espèce de splouf faisant gonfler le sac.

"Eh eh c'est prêt les amis..."
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Jim Highway Wrote:Poissons fumés et algues façons Marine, c'est pas mal ça.
oO(Miam ! c'est vrai que je n'ai rien mangé depuis plusieurs heures moi ! Nous avons besoin de reprendre des forces... Bien jouer, Jim... Un vrai papa poule !)

Jim, le temps de jeter un coup d’œil à l'écoutille et d'en sécuriser l'accès... On prendra ensuite une décision autour d'un bon frichti...

Zelda hissa Théo qui pu poser ses semelles boueuses et gluantes sur ses épaules oO(Oh hisse, la saucisse... et M...)
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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