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Angmar Station - 21 Kepler 1505 TUP
#91
En voyant le tas de vêtement je ne pu masquer ma deception
Pas de chemise hawaïenne pas de casquette.
Bref.....
Je lancai un grognement qui voulait dire un peu près encore une mission de mes deux......
Puis de ma grosse main je me saisi d'une salopette de toile type ouvrier et une chemise en coton
Je m'affublai d'un gros ceinturon de cuir et je me vissai sur la tête une sorte de casquette en cuir de mineur.
Je trouvai une sorte de sacoche en cuir épais en bandoulière et ne pu réprimer l'envie de la sentir.
Je complaitai mon look styli avec un veston de classe populaire.
Délaissant les vêtements je m'approchai du malachite, et un petit sourit narquois sur mon visage
[Hors rôle play les autres vont ils le voir]....
....je humai discrètement l'espèce de girafe jaune au monocle snobinard.....
%et toc!!! Encore un de fiché.... %
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#92
Zelda salua aimablement le docte administrateur du BAI.
Après avoir pris connaissance de ces instructions elle farfouilla dans les piles de vêtements et accessoires.

Rondement elle choisit un chemisier de lin blanc aux manches mi-longues. Un pantalon brun clair taillé dans une toile souple, extensible et solide à la fois. Elle enfila une paire de bottes et les recouvrit d'une paire de guêtres en cuir montant jusqu’aux genoux. Un grand chapeau de pailles tressées et décoré par un joli ruban rouge compléta sa tenue garçonne.

Elle s'empara ensuite d'une ceinture de cuir et boucla sur sa hanche droite une petite sacoche suffisamment large pour contenir un communicateur interplanétaire de la taille d'un cellulaire, et autres petites babioles. Elle avisa également une large gibecière de toile pour transporter son équipement de route : jumelles NT4, barres nutritives, boussole GPS, synthé cordes, briquet, cartes de la région, mini lampe mag-light, et un petit miroir de courtoisie...

Comme armes elle sangla sa fidèle et large vibro-lame sur sa botte droite. Elle ajusta correctement ses karatapoignes et demanda aux techniciens présents si l'on pouvait modifier l'aspect d'un paralyseur en celui d’un pistolet à rouet...

"Je suis prête... "
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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#93
Le directeur leva les yeux de son livre lorsque tous les membres de l’équipege du songe revinrent dans son bureau.

Sophia s’était levé et examinait une petite sculpture en bronze représentant un lézard géant se battant avec un homme dénudé tout juste vêtu d’un pagne et d’un poignard. Elle reposa celle-ci, levant une main devant son visage pour étouffer le rire qui lui vint lorsqu’elle dévisagea la petite troupe.

Ses yeux pétillaient d’amusement.

Ce fût néanmoins le directeur qui parla le premier.

Monsieur Calderon, vous pourrez sans difficulté passer pour un vétéran de la cavalerie de la reine, quant à vous monsieur Irazacky, un gentleman farmer sera un rôle que vous pourrez assumer, des bordures des mers du sud … votre groupe ethnique y est fortement représenté.

Elle regarda des pieds à la tête Zelda. Madame Zonk … Le choix d’un pantalon est objectivement atypique, un jupe aurait été plus appropriée … Peut être une fille de la noblesse, de retour d’une sortie campagnarde ?

Il posa enfin son œil ouvert derrière son monocle sur la silhouette trapue de Bruhuk, quant à vous ser, vous pouvez passer pour un serviteur. Peut être de monsieur (il désigna Théo) ou de Madame … un palefrenier ? Un chauffeur peut être.

Aux questions quant à l’équipement technologique il répondit en pressant un bouton, qui fit se déverrouiller un placard mural dont les portes coulissèrent, révélant dans leur écrin une gamme complète d’armes et équipements camouflées, karatapoigne en forme de bijoux ou de bracelets de cuir, paral masqués sous forme de revolvers chromés (parfaitement fonctionnels précisa-t-il), vibrodague ressemblant à des kriss … et ainsi de suite. Il y avait aussi des localisateurs, des pads cachés au milieu de livres … Bref, tout ce qui était nécessaire à leur opération. Ils purent faire leur choix et compléter leur équipement.

Il répondit spécitiquement à Bruhuk : oui, pas de soucis pour votre « bolas » ou toute arme NT1-2 ou 3.

Pendant qu’ils faisaient leur choix il se leva tenant entre ses mains une petite cassette qu’il n’ouvrit pas pour l’instant.

Tous les objets sont traités pour s’auto détruire dans trois jours … Il ouvrit la boite qu’il tenait et en sorti des bourses de cuir ou de velours qu’il tendit à chacun après mure réflexion. A l’intérieur de chacun il y avait une liasse de billets imprimés représentant le profil d’une femme jeune et dont la valeur s’étalonnait entre 1 et 100 couronnes. Il y avait aussi des pièces de cuivres, d’argent et quelques rares pièces d’or … Voila qui vous permettra de faire votre voyage confortablement. … a titre indicatif vous disposez chacun entre vos mains d’une année de salaire d’un homme ou d’une femme de la classe moyenne.

Il ouvrit enfin un petit écrin qui se trouvait au fond de la cassette. Il y avait là des bijoux boucles d’oreilles, bagues,, bracelets, broches … Ce sont des enregistreurs légaux : portez les en permanence, vous me les confirez à votre retour, nous en analyserons les images afin de nous assurer que vous n’avez pas commis d’infraction. Il se saisit d’un bracelet et indiqua l’endroit ou se trouvait un poinçon sur celui-ci. Il s’agit d’un interrupteur que vous pouvez déclencher à l’aide d’une aiguille ou d’une pointe : il commande un émetteur d’urgence qui emmétra sans discontinuer pendant 48 heures, nous permettant de vous localiser. Ne l’utilisez qu’en cas de réel danger pour vos vies : c’est l’Armée qui serait chargée de vous exfiltrer.

Voilà … A oui, encore une chose.
Il retourna vers son bureau et fit glisser une partie du plateau qui dévoila un panneau de commande holographique : Il les fit passer devant lui les uns après les autres … Et plongea ensuite la main dans un des tiroirs pour en sortir des liasses de documents jaunis qu’il tendit à chacun. Vos papiers d’identification. Effectivement il s’agissait de pièce d’identité, avec une photographie en noir et blanc, donnant leur nom, leur lieu de naissance, leur âge, qualité et de quelques documents annexes, lettres, billets de train usagés, factures factices … bref tout ce qui pouvait leur permettre d’assumer leur identité fictive.

Bien … Je suivrai avec intérêt votre expédition et aurais plaisir à vous revoir à votre retour.

Il les considéra une seconde … si vous le permettez j’aimerai "immortaliser" cet instant. Il commença à fouiller dans son foutoir et en sortit une grosse boite de bois, montée sur un trépied de la même matière. Alors qu’il le mettait en place il leur demanda de s’assembler dans un tableau vivant devant la tapisserie qui ornait son bureau : il invita Zelda à s’asseoir dans le fauteuil, à bruhuk de se tenir debout sur le coté, une main posée sur l’accoudoir, à Spoutkin de s’asseoir à ses pieds, et au autres de se tenir derrière le fauteuil.

Se retranchant derrière la boite qui s’ornait de lentilles, Il se saisit d’une lampe xénon omnidirectionnelle tout en expliquant : j’ai dut promettre aux services incendie de la station ne de plus utiliser de phosphore … Souriez … ne bougez plus … Ils furent brièvement éblouis.

C’est dans « la boite ». Je ferais des tirages argentiques pour chacun, vous les aurez à votre retour, mais je conserverai la plaque de verre si vous n’y voyez pas d’inconvénients. Pour ma collection personnelle.

Il revint ensuite à son bureau et tapotant de rechef sur son clavier holographique émit un soupir de satisfaction. Haaaa. Ils ont répondu. Vous avez votre point de rendez-vous avec les secrétaires de l’ombre : Ils vous attendent dans deux heures à la surface, dans une ancienne base militaire désaffectée, une station de dirigeables qui dispose d’hangars assez vastes pour camoufler votre varlet. De là ils vous prendront en charge et vous assisteront.

Il leur tendit une aiguille de données avec les coordonnées du point de rendez-vous.

Il compléta son propos : nous devrez vous poser tout feux éteints de nuit … vous trouverez sur l’aiguille les lieux à ne pas survoler car très peuplés et les couloirs de navigations habituellement utilisés par les dirigeables. Il y a aussi sur celle-ci les textes légaux concernant le cadre de votre intervention, je vous conseille de le lire.

Voilà C’est tout … Madame la directrice ? Autre chose ? Sophia secoua la tête négativement.

Bien. Je crois que votre navire vous attend. Je vous souhaite bonne chance et n’oubliez pas le cadre légal de votre mission. Je n’aurai aucun plaisir à vous faire jeter en prison si vous ne le respectez pas, mais je n’hésiterais pas à le faire.

Il leur ouvrit la porte.

[hrp]A vous[/hrp]
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#94
Théo glissa la bourse et les papiers d'identité fournis par Ser Alhoong dans les poches intérieures de sa veste. Il passa une chevalière contenant l'enregistreur légal à son annulaire droit, attacha des bracelets de cuir dissimulant des karatapoignes à ses deux poignets. Une dague à la poignée de bois patinée et à lame monofilament dans son étui de cuir vint garnir sa ceinture, relativement discrète sous sa veste. Un paralyseur camouflé en révolver, une boussole abritant un géo-localisateur satellite, un petit livre relié dont la couverture dissimulait un nanordi à interface holo, et diverses autres babioles sans utilité spéciale mais qui faisaient couleur locale vinrent remplir une gibecière d'épaisse toile que Théo passa en bandoulière.

Tandis qu'ils se dirigeaient tous vers l'embarcadère où les attendait le Songe d'Aran, il s'adressa à Bruhuk d'une voix faussement geignarde :

"Te voila promu palefrenier et moi cavalier vétéran. Et je n'ai jamais approché un cheval de ma vie ! Ca va donner..."
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#95
Jim était ressorti de la caverne d'Alibaba vêtu d'un costume trois pièces taillé dans un tartan gris. Il arborait pour l'acompagner un grand chapeau haut de forme à bord mou, un large ruban cravate mauve et une paire de guêtres noire, dans l'une desquelles était glissé son vibro-couteau de chasse, recouvrant des derbies marrons. En guise de pardessus il portait un grand cache poussière pare balles en Kevlar souple dans lequel était fixé un fusil à canon scié. Enfin un traitement pilâtoire lui avait fait apparaître de magnifiques rouflaquettes rousses.

Il farfouillât dans la boîte tendu par ser Alhoong et en sorti une montre à gousset qu'il attachât à sa taille.

En quittant le bureau il ramassa une grande valise de médecin dans laquelle il avait fourré tout ce qu'il lui était tombé sous la main et qui lui semblait pouvoir être utile : une paire de binocle au foyer rouge qui une fois portée se révélait être des jumelles NT6, une arbalete de poing avec différents type de carreaux, un lance grappin portatif, un kit de premier secours, une torche électrique, une paire de radio à ondes courtes et divers bricoles.

Arrivé à l'embarcadère il constata avec satisfaction que se commande était arrivée. Chacun disposait d'un sac contenant un sac de couchage, un bâche, une popote complète, une grande poche d'eau, un réchaud et de la nourriture lyophilisé.
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#96
Je pris deux karatapoigne que je mis sur mes poignets que je dissimulai soigneusement sous deux gros bracelets en cuir épais muni d'un anneau de métal.
Il me remontait jusqu'au avant bras me donnant un look de gladiateur
Dans la ceinture j'attachai un gros poignard à lame épaisse dans son fourreau. Au vu du choix de mon arme cela justifiait que mon espèce ne faisait pas dans la subtilité.
Je pris deux autres lames que je glissai une dans mes bottes et l'autre caché sur moi dans la chemise fixé par un harnais de cuir.
Lorgnant sur une grosse fourche dont les pointes dissimumaient des vibro lame....palefrenier pour être palefrenier autant avoir le matériel adéquat. Je la pris donc en plus....ahhhh la subtilité des balliks
Je me saisi d'une bourse et mis le tout dans une pochette en cuir avec mes papier que je mis dans mon sac bandoulière ainsi tout ce qu'il se pourrait etre utile pour cetre mission kit de premiers soins meme si je savais que le doc aurait pris le neccesaire car mais vaut mieux plis que pas assez, jumelles, radio et vérifiant bien que mon ordinateur y était caché au fond me ravisant je pris un pad sous forme de livre , une boussole de géo-localisation, tout comme Théo je choisi un paralyseur camouflé sous forme de vieux revolver et mis une sorte de broche qui fera office d'analyseur comme l'avait demandé la girafe jaune
J'ajustai,ma casquette en cuir et fini ma tenue avec une belle paire de botte de paysan palefrenier correspondant à l'époque
Je levai la tête
Tout en regardant Théo et les autres je sifflai d'admiration et ne peux lâcher un gargouillement de rire rauque

[Hors rôleplay se peut il que bruhuk ne connaisse pas les chevaux ?]

Puis à Théo un air interrogateur sur la visage
>
Je jetai un regard circulaire afin d'avoir les avis des autres....
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#97
Surpris, Dom ferma les yeux et eut une grimace au moment du flash. Il s'adressa au directeur :

[Ton neutre]
Je suis désolé, je crains avoir gâché votre photo ... Mais je serais ravi d'avoir un tirage argentique. Vous faites la couleur vous même ?

Dom prit ensuite l'équipement proposé par le directeur : les enregistreurs légaux sous la forme d'une bague portée à son annulaire gauche, les documents d'identité et l'argent ainsi qu'un paralyseur camouflé dans un revolver. Il s'empara également d'un large sac noir rigide pouvant contenir tout ce qui lui passerait par la tête, tout en étant compatible avec son statut.

[Dubitatif]
Gentleman Farmer, je ne sais pas, je n'entends rien à l'agriculture, je préférais m'en tenir à ce que je connais : la médecine. Je comptais emporter du matériel avec moi, rien de très compliqué rassurez-vous et puis chez ce genre de civilisations, mon art a toujours ce petit côté mystique qui empêche de s'interroger sur les causes réelles.

Mais si vous avez un médi-bloc camouflé je suis preneur.


A la fin de la conversation, il se dirigea vers la porte.

[Au reste de l'équipage]
Alors on y va ? On nous attend !
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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#98
Sur les conseilles avisés de Ser Alhoong, Zelda pris le temps de changer de vêtement. Elle choisit donc une robe bustier couleur marron crème, digne d'une jeune fille de bonne famille. Elle posa, sur ses épaules dénudées, une capeline de feutrine doublée de flanelle. Elle garda son grand chapeau de paille, mais troqua sa gibecière en toile pour un sac de voyage (ancêtre du sac à main)

Deux jolie bracelets caratapoignes ornaient ses délicats poignées, et sous les plies de sa robe, solidement sanglé sur le haut de sa cuisse, son terrible vibro-coutelas...

Zelda prit les aiguilles de donnée qu'elle utilisa pour fixer ses cheveux en chignon et compléta son équipement avec un pistolet paralyseur camouflé, qu'elle fourra illico dans son sac. Elle accrocha également un ravissant éventail de dentelle à sa ceinture. Ce dernier cachait un écran holo tactile connecté un ordi NT6 livre. Autour de son coups elle passa un pendentif contenant un mini communicateur planétaire.

Pour terminer, Zelda recouvrit ses douilles naviborg d'un spay de synthé-peau et, allez savoir pourquoi, elle emporta une charge explosive dissimulée dans un flacon vaporisateur de parfum.

Suis-je un peu plus présentable Ser Alhoong ? Je pense en effet qu'il vaut mieux rester classique. Allons y !
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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#99
Le malachite répondit à Bruhuk alors qu'ils étaient sur le départ : Je crois que ce genre de formation accélérée existe. Mais cela est réservée aux services du Guet Impérial. Nous ne disposons pas de ce genre de "service" ici. Son ton était légèrement sarcastique. Les membres de notre bureau passent généralement de longs mois à s'entrainer avant tout contact avec une civilisation protégée.

Un ange passa ...

Je vous conseille de limiter au maximum vos interactions avec les indigènes. Il soupira. Heureusement la langue ne sera pas un problème : ils parlent une forme tout a fait correcte de notre lingua galactica, juste un peu archaïque peut être dans certaines tournures.

Il vit revenir Zelda qui s'était changée ... la reluqua à travers son monocle de haut en bas et hocha la tête ... C'est mieux.

Sur ce ils regagnèrent leur bord ... Sophia les accompagna : elle souhaitait organiser le déchargement et la mise en hangar de leurs marchandises. En effet la masse de la cellule de pilotage et de guidage de la navette était somme toute conséquente et il fallait bien faire un peu de place.

[hrp]Là suite est [/hrp]
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