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Bilbo - 24 Kepler 1505 TUP
#51
Théo se trouvait dans le carré d'équipage du pont 4, attablé comme on l'aura deviné avec son ami ballik. Il n'avait pris qu'un raktajino, les nombreuses collations, pauses et snacks qu'il avait consommé depuis qu'il connaissait Bruhuk ayant déjà eu un effet perceptible sur son poids. Le tintement modulé de l'intercom résonna alors qu'il avalait la dernière gorgée de l'épais liquide foncé. Il se leva, jeta son gobelet dans le recycleur et lança à son compagnon :

"Ah, Jim m'appelle sur la passerelle. On doit être sur le point de s'amarrer à Angmar Station. On se voit tout à l'heure pour accueillir le nouveau mécano, OK ?"

Il se laissa glisser dans le tube antigrav de descente, gagna la timonerie et rejoignit Jim devant la console du transcom. Il consulta les données du navire en approche, échangea un regard perplexe avec le soldat, et attendit que Zelda prenne l'initiative.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#52
[Désolé pour mon absence pas mal pris ces derniers temps ]
La fin de cette inspection sonna comme une délivrance pour moi.
Mais cette envie de chasse se faisait de plus en plus forte et j'avais du mal à la réfréner.
[Hors rôleplay dois je faire des jets ou autres MJ?].
Je retournai vers le lieu si cher à mon coeur ma salle des machines.
En jettant un coup d'œil sur les voyants de contrôles tous dans le vert comme d'habitude.
Je me calai dans mon siège qui grinça de mécontentement.
Puis décrocha l'intercom.

Puis je décrochai de nouveau l'Intercom demanda Dom.
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#53
Après le départ de Sophia, Zelda s'était retirée dans ses quartiers. Elle avait reçu le procès-verbal du Sergent. D'un sourire moqueur elle régla la contravention sans plus de controverse... Puis elle consigna au carnet de bord, et en toute objectivité, l’épisode de Bilbo... Elle s’apprêtait à mettre à jour les comptes d'exploitation du Songe d'Aran, quand Jim lui annonça la communication de "La Lumière de l'Obscurité", un navire de l'Eglise de la Glorieuse Volonté.

Zelda ne put retenir un soupir mêlant surprise et contrariété. oO(Décidément !)

J'arrive, Jim ! Zelda quitta ses quartiers et se retrouva aussitôt sur la passerelle. Spoutkin était plugué aux gouvernes et Jim se tenait à la console Transcom. Théo apparut par le sas d'accès de coursive principale, et s'approcha de Jim...

Communication sur l'écran principal !
Le visage de sœur Ophilia de Saint Patton illumina soudain la timonerie.

Ici Zelda Zonk, qui demande à me voir ? Zelda se tenait droite, le visage impassible, les bras croisés dans le dos... Seul le tremblement dérobé de ses mains trahissait son appréhension...
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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#54
Commandante Zonk, je vous transfère au poste du Père Schattenbogen.

L'image s'effaça au profit de celle d'une homme en robe de bure.

[hrp]A toi de jouer Shattenbogen. Pour tous : on accueille un nouveau joueur ;-) Merci de lui réserver un bon accueil dans la mesure du possible sans oublier de faire un peu de rôle play (non paroxysmique).

Et au fait, j'ai presque oublié : mais vous êtes short d'un mécanicien.[/hrp]
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#55
Sur l'écran, Sœur Ophilia laisse la place à un homme dans la trentaine, voire plus, habillé d'un kimono gris, à la peau pâle et à la barbe naissante, deux caractéristiques qui ne sont plus à la mode depuis un bon moment.
L'expression de son visage est parfaitement neutre et son regard fixe l'interlocuteur sans se détourner un seul instant.


Salutations. Mon nom est Ji.
J'ai avec moi un certificat d'identification personnel, un certificat justifiant de ma présence sur le "Songe d'Aran", un certificat justifiant de mon arrivée tardive.
À remettre en mains propres au capitaine, sur les recommandations du fidèle légiste Folas.

La voix est monocorde, pas froide, mais dénuée d'accent ou d'émotion.
L'homme continue à fixer son interlocuteur, silencieux, sans ciller ni bouger.
Loin au-dessus de la Lune
La planète Terre est bleue
Et il n'y a rien que je puisse y faire.
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#56
Théo observa l'image de l'homme au visage sévère sur le panneau d'affichage holo avec une expression neutre, et l'un de ses sourcils se releva à son discours lorsque le nom du Fidèle Légiste de Mandrake fut cité. Il échangea un regard avec ses compagnons, et croisa les bras en attendant que Zelda lui réponde.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#57
Zelda écouta sans tiquer. Bien au contraire, elle sourit.
Enchanté de faire votre connaissance Père Schattenbogen. Maître Folas vous a donc éclairé sur la nature exacte de notre équipé... Et je vous prie d'accepter mes condoléances... Jimmy était un homme haut en couleur et un mentor qui nous manquera à tous.... C'est avec amitié que nous vous accueillons, mes compagnons et moi, à bord du Songe d'Aran...

Zelda se tourna vers Jim... Jim ! transmet un identifiant de clairance pour la chaloupe de père Schattenbogen. Puis elle repris...

Nous avons encore quelques formalités à accomplir... Il nous faut enrôler un mécanicien avant de reprendre la route. Nous vous attendons.
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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#58
Merci Capitaine.

Il coupe la communication, remet ses lunettes et prend son sac avant de se diriger vers la chaloupe de transfert.
Ses souvenirs sont un peu vagues quant au vaisseau, mais il se rappelle fort bien du poids du sac qu'il portait à l'épaule quant il y avait embarqué la dernière fois. Il était alors tellement maigre que le sac pourtant presque vide semblait aussi lourd que lui.

"P'tit, t'as le choix : sois tu crèves lentement avec les tiens, sois tu laisses l'Univers te faire la surprise de ta mort."

Pas certain que le Capitaine Jones ait été un grand psychologue, mais il avait réussi à le convaincre.
Loin au-dessus de la Lune
La planète Terre est bleue
Et il n'y a rien que je puisse y faire.
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#59
Théo désigna vaguement la poupe du Songe d'Aran :

"Avec ton autorisation, je vais accueillir le Père Schattenbogen au sas d'accès et je l'amène au carré d'équipage." dit-il à Zelda.

Il tourna les talons, quitta la passerelle et remonta la coursive jusqu'au sas situé à son extrémité. Il ouvrit l'armoire abritant les combinaisons-champ NT6, ceignit l'une d'elle autour de sa taille, et pénétra dans le compartiment pressurisé. Il activa l'enveloppe immatérielle de son scaphandre, et sa haute silhouette soulignée par le discret champ de force irisé, il vida le sas de son air tout en observant la nacelle ovoïde auto-pilotée s'approcher du vaisseau. Les systèmes automatiques amarrèrent le petit engin au Songe d'Aran, et il ouvrit le panneau extérieur, tendant la main pour aider le nouveau venu à embarquer ou porter ses bagages.

Il referma le sas et activa les pompes, puis se tourna enfin vers Ji :

"Bonjour Mon Père. Bienvenue à bord. Je m'appelle Théo Calderon. Je fais office de fleuriste, d'opérateur transcom et parfois de copilote sur cette vieille gabarre. Suivez-moi, le capitaine Zonk va vous recevoir."

L'homme qui se tenait devant Ji était un gaillard solidement bâti, avec des cheveux sombres coupés courts, un visage au menton volontaire éclairé par des yeux gris-bleus, qui portait un pantalon de treillis à multiples poches, des bottes de vol navyborg et un tee-shirt à manches longues. L'insigne de la branche Tactique de la Guilde était visible sur la poitrine de sa veste de cuir sans manches.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#60
Il retire le respirateur de sécurité et le pose dans la main qui lui est tendue.

Mon nom est "Ji". Les titres sont inutiles.

Après avoir jeté un rapide coup d’œil autour de lui, son regard, légèrement voilé par de fines lunettes ovales qui se sont adaptées à la luminosité ambiante, vient se poser ses yeux sur l'homme qui l'a accueilli.

Je vous suis.

L'homme est grand, mince, vêtu d'un long kimono gris aux larges manches et d'une paire de gants noirs marqués d'un demi-cercle argenté . Le chapeau de paille conique retenu par une cordelette de cuir aurait sa place sur une planète agricole et son fourre-tout étanche de couleur indéterminée laisse supposer qu'il est un voyageur de longue date. Mais ce qui surprend, c'est le bâton de pèlerin qu'il tient à la main, une espèce de branche torturée qui est presque de sa taille et dont le noir est si profond qu'il semble aspirer la lumière.

Le regard toujours fixé sur son interlocuteur, il attend. Visiblement, il n'y aura pas d'autres bagages.
Loin au-dessus de la Lune
La planète Terre est bleue
Et il n'y a rien que je puisse y faire.
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