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oO(1.377.500 crédits... La révision et la maintenance pièces et mains d'oeuvre offert pour 2 ans, les consommables et les médocs chargés dans les réservoirs, plus tout les autres produits de la liste établit par Dom ainsi que l’installation technique et les réglages et le transport gratuit jusqu'au navire... C'est honorable d'autant plus que nous n'avons aucune recommandation et un potentiel fiabilité proche de zéro...)
Zelda avait la conviction que Jon ne lâcherait pas un cents de crédits de plus... Au temps ne pas s'éterniser.
"Docteur Irazaky nous avons encore de nombreux rendez-vous ! Si vous avez récupéré les spécificités techniques de cette fascinante machine je pense que nous allons prendre congés..."
Se tournant vers Jon, Zelda pris l'initiative de conclure...
"1.377.500 crédits c'est une jolie sommes... J’espérais 10% de rabais, ce qui nous aurait permis de payer cash ! Néanmoins votre offre est intéressante. Je vous contact dans les prochains jours. Promis !
La conversation se poursuivit encore quelques minutes en digressions anodines et formules de politesses puis Zelda prit congé (À moins que Dom n'ait d'autres cartes à tirer de sa manche...)
oO(Direction FMC… pour la machine à 800.000 crédits !)
Une fois à l'extérieur, Zelda se connecta immédiatement, via le réseau local, sur une Borne Data Commerciale pour estimer le coût réel d’un contrat de maintenance avec pièces et mains d’œuvre pour un autodoc, le prix d’un plein de consommables, le coût de l’installation et du transport sur Oz. Plus le coût supplémentaire des diverses fournitures médicales, hors autodoc, demandés par Dom.
Zelda avait l’intuition que les 800.000 crédits ne comprenaient rien d’autre qu’un autodoc avec simplement une garantie constructeur, livré à quai, à monter soi même et vide de consommables.
Zelda pris également le temps de répondre à Jim par texto oO(c'est plus discret)
"Bravo... Ok pour la cargaison de 20t pour Jonction... On va voir si on peux obtenir 10t de plus ! Dom et moi allons à notre prochain RdV. Mais si tu as besoins d'aide, on déboule illico... Sois prudent..."
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Jim se mit lui aussi en planque. Il décida d'attendre un peu pour voir si quelqu'un sortait de la bulle anti-grave. De son poste d'observation, il chercha un signe distinctif au véhicule.
Le problème était que le quartier était bien tranquille et qu'il serait vite repéré s'il s'approchait trop du véhicule.
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[Zelda et Dom]
La conversation se termina donc, non sans que Jon ait glissé sa carte à madame Zonk, afin qu'elle puisse l'appeler à sa convenance.
Jon avait appelé un taxi bulle qui les embarqua pour leur prochaine destination. Alors que l'engin les amenait en direction de l'astroport civil, Zelda consulta les prix normalement pratiqués depuis sa console.
Un autodoc neuf, avec son plein de consommable, non monté valait environ un million de crédits. C'était les prix habituels, mais il était très rare d'en trouver à ce prix sur Mandrake, monde excentré ... les prix se situaient plus volontiers aux alentour de 1.050.000 crédits.
[hrp]Est-ce que Dom pourrait me faire un jet sec 4d6 sous perception ? Siouplait ?[/hrp]
La bulle se posa à proximité de l'astroport, devant un vaste hangar préfabriqué où des palettes automatisées faisaient la noria entrant et sortant de la vaste entrée de ce qui s'apparentait à une caverne technologique.
Quelques silhouettes étaient rassemblées autour d'un camion à effet de sol dont une partie du chargement, visiblement des blocs sanitaires en matériaux composite, s'était renversé au sol ...
[Jim]
Se planquer ? Oui, mais où ? Il avisa un buisson prometteur et se dissimula.
[hrp]Un petit jet sec de discrétion sous 3d6 ?[/hrp]
Il observa le véhicule, se demandant s'il était vide. C'était un modèle extrêmement courant , une Peugiat Xzooom. Louée ? Peut être ... [hrp]un jet sec 4d6 sous perception ?[/hrp]
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[hrp]Petit carambolage je pense, mais il n'y a rien en contradiction donc bon je laisse[/hrp]
Dom opina du chef et suivit rapidement Zelda.
Merci beaucoup pour votre temps. Vous avez du très beau matériel ici ... Toutes mes félicitations.
Dom se dirigea vers la porte suivant de près Zelda. Il lui glissa quelques mots.
[SottoVoce]
Bon alors c'est du matériel excellent, il n'y a pas de doutes là dessus. C'est du tout bon du début à la fin, si j'étais seul et que je voulais monter une belle clinique, c'est ce que je choisirai sans questionnement.
Après, nous ne sommes pas dans cette situation : c'est ce que je prendrai si j'avais le choix mais j'ai déjà fait sans. Bref, c'est ton choix car je pense que ce qu'on va découvrir à la F.M.C. ne sera pas mieux qu'ici.
Après cela , Dom se dirigea vers la sortie et remercia le commercial une fois de plus pour son accueil chaleureux. Puis, pendant que Zelda questionnait la Toile, il appela un Taxi-Bulle. Peu de temps après lorsqu'il aperçut le Taxi-bulle, il envoya un court message à Jim.
[Persoc]
Jim, je n'ai pas eu de réponse, tout va bien ? Vous avez eu du neuf ?
Dom ouvrit la porte du Taxi-bulle, donna l'adresse de la F.MC. au pilote et monta. Il interpela Zelda.
Capitaine ? Vous êtes prête ?
[hrp]Suite du post (post carambolage donc). Edith : Jets de dés envoyés. Ajout d'une action.[/hrp]
Le court trajet en Taxi-bulle se déroula en silence, chacun étant plongé dans ses pensées. Au bout de 10 minutes, Dom déploya le clavier de son PC et adressa un message à l'équipage resté sur le Songe d'Aran.
[Persoc]
Salut à tous, avec Zelda nous sortons du premier fournisseur, on a un prix pas mal mais ça reste assez cher sauf si on pense avoir besoin d'un hibernateur supplémentaire. On est en train de rejoindre le 2nd fournisseur.
Comment avancent les réparations ? Tout va bien ?
Si vous avez un peu de temps, il faudrait voir quelque chose : il nous faut une cargaison pour ce vaisseau et des passagers. Or je suis pas sûr que l'on trouve ça n'importe où donc il faudrait nous mettre en chasse. On va faire ce qu'on peut de notre côté mais avec votre aide ça pourra être plus rapide.
On se tient au courant.
Sir Dominic Irazacky
A peine son message était envoyé que l'on pouvait voir arriver à grande vitesse la silhouette massive des batiments de la F.M.C.
Dom se dirigea vers ce qui ressemblait le plus à un accueil ou demande son chemin à n'importe quelle personne qu'il rencontre :
[Montrant le devis]
Bonjour, nous sommes de nouveaux clients, j'ai reçu un devis pour un Autodoc de la part de M. Tybot, nous avions rendez-vous pour inspecter la marchandise. Est-ce que vous pouvez m'indiquer où le trouver ?
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MdJ Wrote:Quelques silhouettes étaient rassemblées autour d'un camion à effet de sol dont une partie du chargement, visiblement des blocs sanitaires en matériaux composite, s'était renversé au sol ...
Avant de se rendre à l'accueil, Zelda s'approcha de l'équipe de manutention. La jeune femme prit un air mi amusé, mi mécontente... "Sale journée, pas vrai ?...". Elle se posta, la main gauche sur la hanche, et prit le temps de jeter un coups d’œil aux blocs sanitaires renversés. Elle en estima très succinctement les dégâts et ajouta "Vous allez pouvoir les vendre malgré ça ? ". Zelda opina du chef en écoutant la réponse du chauffeur...
Finalement elle salua l'équipe et elle s'éloigna en direction de l'accueil, où Dom demandait à voir Monsieur Tybot...
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[Jim]
Jim observa un peu les alentours, à la recherche d’une bonne planque … et en trouva une : Un magnifique buisson à feuilles rouges, appartenant à la flore locale, un edgarus cimorus, qui se trouvait dans une plate bande non loin du véhicule.
Il se glissa, rampant au sol alors que les branchages se refermaient sur lui, lui assurant un abri visuel, adéquate pour observer.
Les minutes passèrent, interminables. Une mère poussant un landau gravitique passa non loin. Elle était accompagnée d’un logimec à six pattes qui émulait sur cette planète interdite à la vie organique, les animaux de compagnie. Le petit animalimec s’arrêta un instant devant la planque de Jim, inclinant la tête d’une manière comique tout en observant de ses yeux cybernétiques l’homme couché dans l’herbe … Il parvint visiblement à la conclusion que Jim n’était pas en difficulté, blessé ou autre, que c’était bien volontairement qu’il était là. Il se dépêcha de rattraper dans une curieuse course mi reptation, mi cavalcade, sa maitresse qui s’éloignait.
Quelques minutes plus tard la patience de Jim fut récompensée. La paroi de la bulle s’ouvrit, laissant descendre un homme vêtu d’un élégant complet sombre, d’un imperméable long, les yeux couverts par une bande serre-tête en guise de lunettes solaires. Il inclina légèrement la tête sur le coté avant de regarder de droite et de gauche, avant de relever son col et de refermer une capuche dissimulée sous celui-ci sur sa tête. Sa main se porta ensuite à sa hanche, sous l’imperméable.
Jim retint son souffle.
Il vit brutalement l’homme … quasiment disparaître, ne laissant qu’une vague silhouette diffractant imperceptiblement la lumière. Il devina la silhouette se déplacer, se rapprochant du jardin de mademoiselle Lafleur. La silhouette s’arrêta un instant devant l’entrée. Il devina qu’on ouvrait le boitier du système de domotique de la maison bulle … les secondes s’écoulèrent et la porte arrière de la maison glissa sans un bruit. Il perçu une ombre qui pénétrait à l’intérieur de la maison, la porte restant ouverte.
[hrp]Et maintenant Jim ? Que fais-tu ?[/hrp]
[Dom et Zelda]
Ils eurent la surprise de voir qu’un des hommes autour du camion accidenté (visiblement un problème d’arrimage du chargement) était le dénommé Tybot : ils en comprirent vite la raison alors que l’homme, vêtu d’une tenue de travail fonctionnelle et immaculée, la quarantaine, au visage un peu lourd mais souriant leur fit les honneurs de la visite.
Le vaste entrepôt était presque entièrement automatisé. Il était emplit du sol au plafond de rayonnages sur lesquels étaient entreposés entassé, optimisés toute sorte d’équipement intérieurs pour navires. Il y en avait pour tous les gouts : sièges galiméens au cuir rouge, console de tir de tailles et de formes différentes, capteurs de traine rangés autour de leur enrouleur de titane … des objets provenant de centaines de navires et d’autant de civilisations astro-pérégrines, rangés, classé avec méticulosité par une armée de logimecs et de formecs qui se déplaçaient en essaims entre les plateformes, changeant, déchargeant les camions.
Comme vous pouvez le voir nous récupérons, reconditionnons et réparons des équipements spatiaux dans nos installations : tout ce qui est équipement intérieur. Il s’arrêta devant un distributeur de boisson qui semblait provenir d’un mange poussière et dont la peinture rouge presque effacée laissait encore apparaître d’antiques caractères blanc cursifs. Un Nuka-Cola TM ?
Il désigna ensuite une section de l’entrepôt, à l’abri derrière un champ de force anti poussière : tout notre matériel médical est là bas. Il récupéra à sa ceinture un petit pad et le consulta … nous avons actuellement en stock 8 autodocs … Je vais vous les montrer vous pourrez faire ensuite votre choix.
Ils l’accompagnèrent : effectivement le matériel était bien là. Ce n’était pas du matériel neuf, mais il avait été visiblement été réparé, nettoyé et reconditionné.
Il y avait sur les étagères toute sortes d’autres équipements médicaux, qui bien que de provenance hétéroclites étaient parfaitement familiers à Dom.
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Dom accepta l'offre de Tybot et commença à siroter son Nuka Cola.
Merci bien. Et bien j'aimerais inspecter de plus près votre matériel histoire de me faire une idée de ce avec quoi je vais travailler. Je peux ?
Dom essaya alors au d'estimer la qualité des équipement proposés et surtout de les comparer à l'exemplaire qu'il avait pu voir chez Hypno. Puis il se retourna vers Tybot.
Pourriez-vous également me montrer les consommables et les équipements annexes que j'ai indiqué sur la liste ?
Dom recommença alors son inspection avec le même objectif et au bout d'un moment s'adressa de nouveau Tybot.
D'accord, d'accord tout ça est très bien mais je voudrais savoir ce que vous offrez avec ça. Y a-t-il une garantie ? Des frais pour le transport ? Pour l'installation ?
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Jim émergea de son buisson. oO(Bon ben quand faut y aller, faut y aller.)
Il envoya un court message à Théo, "Rappelle l'assistante tout de suite."
Passa près de la Peugiat jeta un rapide coups d'œil dedans et allât à la suite de l'homme invisible dans la maison. Tous sens en éveils prêt à toutes éventualités et surtout neutraliser son adversaire.
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Zelda accepta la canette de soda qu'elle ouvrit habilement avec le pouce. Le liquide rafraîchissant lui fit du bien. En un sens, elle se sentait largement plus à son aise ici, dans cet entrepôt, que dans le show-room suranné d'Hypno.
La jeune femme appliqua sa canette fraîche sur le côté gauche de son coup, dénudant partiellement sa nuque et inclinant sa chevelure... Elle eut un bref moment de quiétude... Une goûte de condensation perla sur la canette et coula le long de sa gorge, se perdit dans son corsage... Elle fixa Ser Tybot...
"Voyons voir vos appareils... Je suppose que vous archivez la traçabilité du matériel que vous revendez : numéros de série, fabricants, année de première mise en service ainsi que les noms de leurs dernière propriétaire ? En bref, pouvez vous me dire lequel de ces 8 machines est la plus récente et la moins fatiguée ?"
Dom Irazacky Wrote:Dom essaya alors au d'estimer la qualité des équipement proposés et surtout de les comparer à l'exemplaire qu'il avait pu voir chez Hypno. Zelda laissa à Dom le soin de tester les 8 autodocs... Elle se tourna alors vers M. Tybot. Elle s'approcha de lui pour entrer, en douceur, dans sa sphère d'intimité.
"Cela me parait correspondre à nos attentes... Lequel est à 800.000 crédits ? les 8 ? Bien entendu monsieur Tybot, vos CGV prévoient bien le plein au niveau des consommables ? Peut-ils inclure la livraison et, ou l’installation à bord de notre Transistel sur Oz ?"
Zelda enchaina
"Nous payons cash ! et nous aurons à équiper notre Transistel de façon régulière... Vous n'êtes pas sans savoir que nous autres Corsaires sommes de gros consommateurs... Nos navires souffrent énormément et nous avons besoin de les retaper en permanence ! Avez-vous des accords commerciaux avec la Fraternité Corsaire de Lothar ? Je suis fidèle en affaire M Tybot, et j'espère porter votre nom sur la liste de mes contacts privilégiés."
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[Jim]
Jim pénétra dans le pavillon par la porte donnant sur le jardin, essayant d’être le plus discret possible et de repérer le « fantôme » avant que ce dernier ne le voit. Il avança pas à pas, un peu surpris que la porte ne se referme pas derrière lui. Visiblement l’intrus avait déconnecté le système de sécurité et la domotique de la maison avant d’y pénétrer.
L’intérieur était parfaitement quelconque. Des meubles en plasti-bois blanc, quelques photographies, une pile de chaussures dans l’entrée, des vêtements laissés en tas sur le dossiers d’un canapé, une table basse antigrav sur laquelle s’empilaient tasses et reliefs de grignotages. Tout était plongé dans une semi-obscurité, les persiennes tirées ne laissant pénétrer la lumière qu’en rayons de lumières faisant danser la poussière dorée.
Il progressa doucement, misant sur son ouïe, plus que sur sa vision. Il y avait du bruit à l’étage. Quelqu’un qui chantonnait, un peu faux. Le chant était d’ailleurs étouffé par le grondement caractéristique d’une douche sonique.
Il était sur le point de monter l’escalier quand un infime tintement lui fit tourner la tête, l’interrompant un pied levé. Il le reposa avec douceur.
La porte d’un placard donnant sur l’entrée principale était ouverte. C’était un vestiaire, rempli de manteaux, de vestes de tailleurs de chapeaux et de foulards. Sur le sol il y avait un sac à main, dont l’on avait renversé le contenu … une silhouette indistincte était agenouillé tout prés, en train de trier les objets.
Jim n’était qu’à cinq mètres … et lui n’était pas invisible.
[hrp]Que fait Jim ? pour mémoire dispose-t-il d’armes, de protections ?[/hrp]
[Zelda et Dom]
Monsieur Tybot accéda aux demandes de Dom. Il s’agissait clairement d’un matériel de récupération. L’on avait cannibalisé des pièces sur d’autres autodocs pour réparer certaines parties, quelques pièces étaient neuves mais il s’agissait le plus souvent de fabrication sous licence. Il avisa le modèle qui lui semblait le plus neuf et se saisit d’aiguille de données, son carnet d’entretien et l’enficha dans sa console.
Il retint à grande difficulté un léger haussement de sourcil. L’engin avait environ 180 ans et avait été au départ fabriqué sur Kolberg, un monde situé à 1300 années lumières de Prima. Il était passé sur une dizaine de navires avant d’atterrir dans cet entrepôt et comptait sans doute aujourd’hui moins de quarante pourcents de pièces d’origine.
Néanmoins … Les tests de bon fonctionnement étaient dans les normes. Le logiciel de soin s’il n’était pas la dernière release, se limitait aux créatures humanoïdes, ne déparait pas de ce qui se faisait à bord de beaucoup de navires marchands.
Il s’intéressa ensuite aux consommables. Ceux-ci, pourtant destinés à se conserver plus d’une centaine d’années, approchaient à trois ans prés de leur date de péremption.
Nous offrons six mois de garantie, retour dans nos ateliers. Nous vous offrons un jeu de consommable suffisant pour une première utilisation. Par contre nous ne l’installons pas et la livraison sera payante. Nos frais de transports sont minimes.
Il se retourna vers Zelda alors que celle-ci ronronnait ses arguments commerciaux.
Madame, nous sommes les moins chers du marché. Si vous trouvez moins cher … achetez le, mais ne l’utilisez pas à moins d’être désespérée.
[hrp]Néanmoins si Zelda nous fait un jet de 4d6 sous charme + marchandage avec son mod de +1 … qui sait[/hrp]
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