De l'obscurité à la lumière

[Djal Gorda]

Je vous trouve bien seule Ma Colonelle...

Nous sommes à 30 AL à l'intérieur de l'Espace de l'Alliance

"Nous sommes dans l'Espace de l'A12S et sommes à bord d'un navire qui n'existe... pas !"
Djal pointa du doigt la colonelle... et lacha :

Et qui est ce M baser, que vous recherchez ? Je ne le connais pas ! Vous cherchez un fantôme... Moi, je vous dis que l'homme que vous recherchez est KIA*

Djal grimaça et conclut
"Laissont les morts en paix..."

* Killed in Action

[Sémirande]

Killed in Action

[...]
Sémirande Louise Motoko Rosa Chalmak jeta un regard bref mais aigu à monsieur Gorda.
Se pourrait-il qu'il pense la même chose qu'elle ?

[MdJ]

La colonelle Banks regarda Sémirande dans les yeux.

Vous avez jadis porté un uniforme, fait serment de servir l’Empire et l’Empereur.

Monsieur Baser a fait de même. Et aujourd’hui il doit rendre des comptes.

Pourquoi ? Parce qu’il a trahi, volé, désobéi à des ordres directs … Elle secoua la tête … Je sais quelles étaient ses intentions, nous savons ce que nous lui devons et je suis certaine qu’il en sera tenu compte lors de son procès.

Elle se leva les yeux en direction des deux officiers de l’Alliance qui observaient très intéressés la scène. Nul doute qu’ils retransmettaient à leur capitaine.

Et nous ne sommes pas des assassins comme vous semblez le penser. Il aura un jugement équitable. Il est sous notre responsabilité.

Elle se retourna à demi, lorsque la masse imposante de la lieutenante Kat’rin fit son apparition dans le sas. Elle s’était équipée à la hâte de son armure de combat et de ses armes …

… Haaa ! lieutenante, merci de vous joindre à nous : j’étais en train d’expliquer aux membres du Méphisto et à nos alliés que monsieur Baser était actuellement aux arrêts, sous notre responsabilité … Je crois qu’ils allaient partir.

La voix grave de l’ogresse de fendit d’un « Madame » tout aussi inexpressif que son visage. Néanmoins son regard restait rivé sur Gurvan.

…

A l’infirmerie un logimec chargea une seringue avec un mélange adapté et se dirigea vers le sarcophage de monsieur Baser. Il bourdonna bientôt plaintivement, attirant l’attention du médecin : Ce dernier fronça les sourcils … qu’est ce que c’était que ce b**** ? Il se leva et se dirigea rapidement en direction de celui-ci. Il constata de ses yeux l’anomalie. L’autodoc était vide, bien qu’il continue de recevoir les relevés.

Il se précipita en direction de sa console.

[Sémirande]

La colonelle Banks regarda Sémirande dans les yeux.

Eh bien : pareil !

Vous avez jadis porté un uniforme, fait serment de servir l’Empire et l’Empereur.

"J'ai fait le serment de servir un Empire et un Empereur qui ne m'envoient pas des tueurs à gage aux fesses."

Monsieur Baser a fait de même. Et aujourd’hui il doit rendre des c...

"Ca va. Je connais ce discours par coeur. Si Baser vous suit, il ne survivra pas, et vous le savez."

Et nous ne sommes pas des assassins comme vous semblez le penser. Il aura un jugement équitable. Il est sous notre responsabilité.

"Vous, peut-être. Mais il y aura un autre Couesteur, et ça aussi vous le savez..."

Elle se retourna à demi, lorsque la masse imposante de la lieutenante Kat’rin fit son apparition dans le sas. Elle s’était équipée à la hâte de son armure de combat et de ses armes …

[Méprisante]
"Vous prévoyez des ennuis, lieutenant ?"

… Haaa ! lieutenante, merci de vous joindre à nous : j’étais en train d’expliquer aux membres du Méphisto et à nos alliés que monsieur Baser était actuellement aux arrêts, sous notre responsabilité … Je crois qu’ils allaient partir.

"La colonelle se trompe Lieutenant. Cela arrive aux esprits les plus brillants."

La voix grave de l’ogresse de fendit d’un « Madame » tout aussi inexpressif que son visage. Néanmoins son regard restait rivé sur Gurvan.

//Oui, parce que pour ce qui est de me battre, je suis mal barrée...

[Gurvan]

Je crois qu’ils allaient partir.

"Eh bien vous croyiez mal, Colonelle Banks." renchérit Gurvan sans cesser de sourire.

La voix grave de l’ogresse de fendit d’un « Madame » tout aussi inexpressif que son visage. Néanmoins son regard restait rivé sur Gurvan.

... Qui sentit le regard jaune fixé sur lui. Il tourna la tête, la leva vers le visage de la Soldate et lâcha d'une voix neutre :

"Que comptes-tu faire, Kat'rin ? Nous liquider ?"

[MdJ]

... Qui sentit le regard jaune fixé sur lui. Il tourna la tête, la leva vers le visage de la Soldate et lâcha d'une voix neutre :

"Que comptes-tu faire, Kat'rin ? Nous liquider ?"

La lieutenante secoua la tête et souffla à mi-voix.

Vous liquider commandant ? Je ne suis pas le lieutenant Khaadaric : je respecte l'ordre hierarchique.

[Sémirande]

[Neutre]
"Mais bien sur qu'elle va nous liquider. Mais moi, je mourrai debout, sans me plier une fois de plus aux exigences d'une bande de minables."
C'était dit.

[Gurvan]

Gurvan leva un sourcil perplexe à la réponse que lui fit la Lieutenante Kat'rin, intrigué par le ton qu'elle avait pris. Il la regarda fixement à son tour. Khaadaric lui avait tiré dessus. Il avait l'intuition qu'elle n'en ferait rien.

"Et si nous demandions son avis au principal intéressé ? Peut-être en a-t-il assez de fuir et de se cacher ? Peut-être acceptera-t-il d'accompagner la Colonelle Banks ?"

[Sémirande]

"Et si nous demandions son avis au principal intéressé ? Peut-être en a-t-il assez de fuir et de se cacher ? Peut-être acceptera-t-il d'accompagner la Colonelle Banks ?"

""Oui, Commandant. Sauf qu'ils ont pu lui injecter n'importe quoi. Dans l'état de faiblesse dans lequel il est, il ne peut pas résister. Je préfèrerais qu'il vienne avec nous. S'il veut comparaître... Et bien il prendra un billet Viala - Tréfolia.

[MdJ]

Un soldat se présenta à peut prés à ce moment là, il poussait devant lui une palette antigrav, chargée des quelques effets personnels, en équilibre instable, des membres du Méphisto. Il avait l’air d’avoir cavalé pour arriver là. C’est d’une voix essoufflée il s’excusa.

Pardon, désolé, laissez passer, les bagages de ces messieurs dame …

La colonelle Banks jeta un coup d’œil à l’homme de troupe.

Elle sembla suffoquer : Baser ? Lieutenante : arrêtez cet homme ! C’est un ordre !

L’ogresse eut un léger rictus découvrant une de ses canines. Comme je le disais madame, vous n’appartenez pas à ma voie hiérarchique. Mes ordres me viennent de l’Amiral Mallory et me placent sous le commandement de monsieur Antillès.

Elle prit ostensiblement la position réglementaire dite du repos.

La colonelle siffla entre ses dents, elle fit un pas de coté évitant Sémirande, tendant le bras pour se saisir de monsieur Baser qui à bien y regarder semblait plus affalé sur la palette que la poussant.