Le roncier

[Sémirande]

... allez-y : faites le maintenant. Puissance maximale à la base du crane.

[Pffffff]
[In Petto]
"Il me manipule encore ? Il est très fort. Il a réussi à reprendre la main alors qu'il n'a aucune chance et sait que je ne me laisserai pas surprendre."

Car elle veillait toujours.

Elle pensa aux nantis de Tréfolia, dont le confort matériel et la vie facile avaient une contrepartie terrible, loin, dans les territoires sauvages.

[In Petto - avec le sentiment de se faire avoir]
"Bah. Le tout pour le tout."

[A voix haute]
"Dites moi tout ce que vous savez et je vous laisse filer."

Cela dit, mademoiselle Chalmak commençait à avoir une idée du rôle du type.

[khaadaric]

Gurvan attendit un petit moment, puis quand il lui sembla que le Kiff avait bien repris ses esprits, il déclara d'un ton jovial :

"Salut la flibuste ! On se réveille. Je n'ai pas que ça à faire. Dès que j'en ai fini avec toi, il faut que j'aille nettoyer le merdier que toi et ton pote avez mis dans le salon de mon vaisseau. Ton pote faisant maintenant partie du merdier à débarasser..."

Kkkkr Kttkr ... Douleur ... Kkktkt ...

J'arrive quelques instants après à l'infirmerie. Je remarque que Gurvan semble encore à cran, surement le fait d'imaginer la facture des réparations....Pour ma part, cette heure a scanner des gens m'a bien calmé..

Je m'adresse au Kiff.
Tiens, voila un bien joli saucisson.
Je désigne Gurvan du doigt.
J'imagine que tu as déjà fait connaissance avec le plus sympa et gentil d'entre nous, moi, j'ai toujours le rôle du plus ingrat, le fameux méchant................le pire..........c'est que ça me plait.
Je me tourne de nouveau vers Gurvan et le p'tit droid "Ptit doc".
Vous en êtes ou avec notre hôte ? Doc aurais tu la possibilité de brancher un electrocardio-encephalogramme sur mon prisonnier, ça m'aidera à savoir s'il me ment, je sais interpréter certains signes du corps mais pas ce qu'il se cache dedans. Tu le sais toi, des que l'on me ment, ça me chauffe.
Peut on aussi mesurer l'activité dite "psy" ? Parce que le dernier avait eu du mal à avaler ma lame...
Je me tourne vers le kiff, avec un sourire presque compréhensif..
Est ce que l'on a à bord du sérum comme j'aime ? Pas le poison de la dernière fois, ça les fait baver c'est chiant....en plus ils mettent un temps fou à crever.

[Gurvan]

Je remarque que Gurvan semble encore à cran, surement le fait d'imaginer la facture des réparations...

Et pourtant, le visage de Monsieur Antillès était impassible, voire impavide. Comme on l'écrivait parfois à propos des navyborgs, il semblait avoir tourné le bouton qui débranchait sa sensibilité. S'il semblait à Monsieur Orkalys que le commandant était à cran, c'était sans doute le fruit de son imagination.

[Mauvais flic et... mauvais flic]

"Je suggère que nous sortions de l'infirmerie avec le logimec toubib dès que l'orgue pharmaceutique aura produit les deux doses de Divrai que j'ai demandé, et que nous menions cet interrogatoire à côté, dans le carré de l'équipage. Et ceci pour plusieurs raisons..."

Il leva les doigts un à un tout en énumérant :

"Primo, j'ai besoin d'un bon café."

"Deuzio, le médimec peut relever les paramètres vitaux que tu demandes, de plus il restera connecté au doc-en-boîte et la persona d'Epstar pourra ainsi s'assurer que nous traitons ce prisonnier décemment."

"Tertio enfin, si tes talents d'interrogateur n'ont pas l'efficacité souhaitée, si l'administration du Divrai n'a pas le résultat escompté, le carré de l'équipage possède une porte étanche, ainsi qu'une grande baie d'observation énergétique qu'il est très facile de désactiver. Ce qui, bien sûr, n'a de sens que si..."

Gurvan se pencha sur le Kiff, le canon du blaster orienté comme distraitement sur sa tête, et rechercha dans les robes de la créature le boitier de la combinaison-champ. De son autre main à la force amplifiée par l'exo, il en arracha le couvercle, retira la cellule à fusion qu'il neutralisa en la vidant de son eau et jeta négligemment dans le vide-ordures.

Il se redressa et se tourna vers Khaadaric :

"Bon, on y va ?"

[khaadaric]

Ouais....

Khaadaric semblait dubitatif quand à l'attitude de son commandant.....il va pas devenir comme moi fut ma première pensée...

Tu sais ce que l'on va faire Commandant, tu vois boire pas un mais plusieurs cafés, tu me laisses faire, tu écoutes, tu t'assoies, tu apprends, tu prends tes notes mais je ne veux aucune intervention de ta part sauf..........si ce monsieur tente de me faire du mal.
Nous allons l'interroger de manière officiel, je ne voudrais pas qu'il apparaisse dans mon rapport un quelconque accident.

On y va p'tit doc, tu me suis, donne moi un état de truc empaqueté, et dit moi si on a les moyens à bord de surveiller ce que je t'ai demandé.

Allez allez allez.
Gurvan peux tu porter notre hôte, j'ai besoin de quelques secondes de repos avant d'entamer mon récital.

Je pose ma main sur l'épaule du Kiff et j'affiche un sourire proche du sadique que je suis :twisted: ( // oui mon sourire habituel...)
Tu es entre de bonnes mains maintenant.....

// édité pour corecxion defote.

[MdJ]

[In Petto - avec le sentiment de se faire avoir]
"Bah. Le tout pour le tout."

[A voix haute]
"Dites moi tout ce que vous savez et je vous laisse filer."

Cela dit, mademoiselle Chalmak commençait à avoir une idée du rôle du type.

L'espoir passa brièvement dans son regard, chassant le désire morbide.

Ecoutez : je vous fais une proposition. Sur les dents comme ils sont jamais je ne pourrais m'en tirer. Mais par contre je peux passer pour mort.

Si vous me faites monter discrètement à votre bord et que peux me planquer jusqu'à la République du Cygne, je vous dis tout. Les noms et descriptions des autres types infiltrés, les codes de communication, les noms des capitaines des navires. TOUT. Les points de regroupement. Tout ce que je sais.

Une fois à votre bord seulement et sorti de ce cocon : je n'ai aucun intéret à vous nuire à l'avenir.

Réfléchissez : vous sauverez des vies et si vous êtes maligne vous pourrez vous faire un max de pognon avec ces renseignements ...

[Gurvan]

Gurvan se posta à côté du Kiff et lui montra la sortie de l'infirmerie :

"Je me suis assez sali les mains en t'emmenant jusqu'ici. Allez, debout !"

[Sémirande]

[La plus grosse bêtise de sa vie... on la fait n'est-ce pas ?]
"Bien. Mais il me faut un os à ronger ; une assurance selon laquelle je saurai que vous ne me menez pas en bateau.

• Il me faut deux renseignements proches :
  • comment les mines ont-elles vue leur efficacité réduite à zéro ?
  • où mène le sas par lequel vous êtes arrivé et qu'y êtes-vous allé faire de si intéressant ?
• ... et un renseignement "lointain" : quel était le but réel de l'opération ? Parce que le Durandal à 100% de ses moyens aurait plié le Cædite eos-des-libres-mercenaires-de-Gion-et-ta-soeur ainsi que son transmetteur à roulettes en moins de deux.

QUE - VOULAIENT - ILS ? QUI - SUIVAIENT - ILS ?
J'ai ces réponses et je vous aide.

[MdJ]

Le kiff était bien incapable de se lever : on avait immobilisé sa tête à l'aide de liens qui rabattait son "groin" en direction de son torse selon un angle inquiétant, attaché ses main avec ses pieds derrière son dos dans un angle qui ne l'était pas moins ... sa cage thoracique se soulevait de manière rapide.

[MdJ]

[La plus grosse bêtise de sa vie... on la fait n'est-ce pas ?]
"Bien. Mais il me faut un os à ronger ; une assurance selon laquelle je saurai que vous ne me menez pas en bateau.

• Il me faut deux renseignements proches :
  • comment les mines ont-elles vue leur efficacité réduite à zéro ?
  • où mène le sas par lequel vous êtes arrivé et qu'y êtes-vous allé faire de si intéressant ?
• ... et un renseignement "lointain" : quel était le but réel de l'opération ? Parce que le Durandal à 100% de ses moyens aurait plié le Cædite eos-des-libres-mercenaires-de-Gion-et-ta-soeur ainsi que son transmetteur à roulettes en moins de deux.

QUE - VOULAIENT - ILS ? QUI - SUIVAIENT - ILS ?
J'ai ces réponses et je vous aide.

Ben, je suis technicien de maintenance ... J'ai eu le temps de pirater des communications internes. Ils savaient où était le champ de mine ... et mon transmetteur est ici, dans ce couloir. Planqué. Avec deux trois joujoux.
Il tenta de hausser les épaules et renonça.

Attaquer la Durandale c'était nul comme plan. Je suppose qu'amoché comme elle était et si j'avais pu accomplir ma mission, le commandant Ed Tiche se disait qu'il aurait un chouette vaisseau pour la suite ... sinon on se serait contenté d'un marchand isolé ou perdu.

Vous savez comment c'est : l'occasion fait le larron ...

[khaadaric]

Le kiff était bien incapable de se lever : on avait immobilisé sa tête à l'aide de liens qui rabattait son "groin" en direction de son torse selon un angle inquiétant, attaché ses main avec ses pieds derrière son dos dans un angle qui ne l'était pas moins ... sa cage thoracique se soulevait de manière rapide.

Gurvan, j'ai besoin d'un mec en bonne santé pour qu'il puisse me répondre, OK ?

Je retourne à l'infirmerie chercher la civière tout en respirant comme le ferait un taureau...
Je reviens quelques secondes plus tard, accompagné de notre civière.
P'tit doc, détache notre prisonnier sans le blesser, ensuite tu refais les liens de manière à ce qu'il puisse respirer et parler normalement. Merci Doc.
Je fais apparaitre mon paralyseur et je dis à l'attention du Kiff.
C'est quoi ton nom ? tu te tiens calme pendant que l'on te détache ou je serais obligé de jouer avec ceci.
Il parait qu'une bonne décharge dans les parties, ça calme sa mère.
Mauvais signe pour l'entourage de Khaadaric, si les gros mots arrivent, c'est que la tempête commence à gronder.....
Commandant ? assure juste mes fesses, je m'occuperais de pousser la civière.
P'tit doc, est il en état de subir un interrogatoire ? ou en sont les drogues qui font parler BORDEL.