- Moi, Sémirande Louise Motoko Rosa Chalmak, Libre Affiliée à l'honorable corps des Navyborgs de Sa Majesté l'Empereur, jure de faire respecter le code militaire de la Flotte Royale du Cygne, d’agir dans le stricte mandat qui m’a été confié à savoir prévôt adjoint pour une durée limité de 12 heures standards, de n’enquêter que sur les causes directes et indirectes ayant conduit à l’abordage par des forces ennemies des navires Durandale et Méphisto, de ne procéder à des arrestations ou des interrogatoires qu’ayant un rapport avec l’affaire qui m’a été confié, de ne rendre compte du résultat qu’au lieutenant commandeur Hunt ou au commandant Gumaltasha. Je le jure ! Les dieux aient pitié de nos âmes.
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Gurvan montra les caissons de prothèses encore éparpillés au sol au LAK-520 qui l'accompagnait :
"Lucy, termine de ramasser et d'empiler la marchandise. Ensuite, continue la tournée d'inspection par les hangars. Puis commence à examiner toutes les gaines techniques. Objectifs : 1) bilan définitif des avaries 2) détection, évaluation et si possible neutralisation de tout type d'équipement non autorisé, tel qu'un mouchard hypercom par exemple. Rends-moi compte ainsi qu'à Monsieur Skri-ublllz sur le circuit intercom privé. Merci."
Il quitta la cale et remonta vers le pont de l'équipage par le tube antigrav. Il était toujours harnaché dans son exosquelette, le canon de son blaster était toujours visible dans la paume de sa main artificielle.
Il jeta un oeil par le hublot du sas, vérifiant que c'était bien la silhouette familière du Tabron de Lens Kiras qui était accolé au Méphisto -- oui, lui aussi devenait d'une paranoïa maladive. Rassuré, il égalisa les pressions, et ouvrit le panneau étanche.
"Par notre sainte patronne Rosalia, je jure d'assurer à travers toute la Galaxie la libre circulation des Etres, leur sécurité et leur confort et de les amener à bon astroport fût-ce au péril de mon vaisseau ou de ma vie."
Serment Navyborg
Quote:"Les dieux aient pitié de nos âmes."
[In Petto]
"Et que Sainte Rosalia me protège"
[Garde à vous]
"Madame, je suis honorée, Madame. Il me faut sept minute, Madame." Elle salua, monta finir ce qu'elle avait à faire, passa la consigna à cette femme qui s'appelait Mayse et fila chercher les éléments et objets dont elle avait besoin auprès du Lieutenant Commandeur Hunt. Puis, lui promettant bien d'aller se reposer, elle partit pour se rendre à la première cale, où monsieur Edelman et elle même avaient travaillé. "Vous venez, Monsieur le Commissaire ?" Elle n'avait pas pu résister. 
Elle voulait y retourner par le même chemin. Avant de s'engager dans le boyau technique, elle se concentra et son micro-régène envoya dans son système nerveux une de ces drogues qu'elle détestait et n'utilisait que de façon rarissime. La fatigue s'envola, le stress tomba, pour quelques heures, elle aurait les idées claires. Elle s'engagea dans la galerie. Du point qui avait atteint les 400°Celsius émanaient encore 280 bon degrés. Elle s'empressa de s'en éloigner. Elle arriva à la cale. La première chose qu'elle fit fut de regarder si l'araignée était encore dans son cocon. Puis elle finit sa réparation afin, comme elle l'avait dit, qu'il n'y eut pas d'accident. Et maintenant, au Lieutenant Jaradan Lapura.
"Et qu'est-ce que vous fichiez ici, monsieur le Prévôt, dans une zone où l'incendie venait de s'éteindre et dans laquelle vous n'étiez pas sensé vous trouver seul ?" Elle fouilla soigneusement chaque quart de cadavre, puis les affaires du ruffian que monsieur Edelman avait laissé.
Il y avait forcément quelque chose ici (quoiqu'avec le b..... consécutif à la remise de la gravité, ses chances de trouver quelque chose étaient plus minces que mince).
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Sémirande Wrote:- Moi, Sémirande Louise Motoko Rosa Chalmak, Libre Affiliée à l'honorable corps des Navyborgs de Sa Majesté l'Empereur, jure de faire respecter le code militaire de la Flotte Royale du Cygne, d’agir dans le stricte mandat qui m’a été confié à savoir prévôt adjoint pour une durée limité de 12 heures standards, de n’enquêter que sur les causes directes et indirectes ayant conduit à l’abordage par des forces ennemies des navires Durandale et Méphisto, de ne procéder à des arrestations ou des interrogatoires qu’ayant un rapport avec l’affaire qui m’a été confié, de ne rendre compte du résultat qu’au lieutenant commandeur Hunt ou au commandant Gumaltasha. Je le jure ! Les dieux aient pitié de nos âmes.
Khrys eut un drôle d'air en entendant Sémirande réciter son serment...
Désolé, mes convictions ne peuvent me faire parjurer mon Empereur... Je reste fidèle à l'Empire, je peux être Corsaire Indépendant, mais je ne peux être fidèle à deux pays.
Si vous pouvez me transférer sur le Méphisto, je pense que mes clients auront tout autant besoin de moi. Ici, la situation est entre de bonnes mains maintenant. :!:
Tout à un prix, même les hommes ont le leur.
[Surprise]
Mademoiselle Chalmak regarda la Marchand avec attention. Il avait tort. Et il avait raison. - Il avait tort dans la mesure où deux états n'étant pas en conflit, il était parfaitement admis qu'un de ses ressortissants prête serment d'allégeance à l'autre ; pour une durée limitée. Il y avait même eu une affaire célèbre dans laquelle un soldat de la division intervention avait fait serment de fidélité à un officier ennemi dans un cadre humanitaire dans lequel des non-belligérants étaient impliqués. Il avait été déféré ensuite devant une court martiale et condamné, mais un juge impérial avait cassé le jugement et l'homme avait été blanchi.
- Il avait raison parce que certains ne pouvaient tout simplement pas, par convenance personnelle, avoir deux allégeances. C'était respectable.
C'était une question de choix personnel.
"A bientôt monsieur le Commissaire." Elle s'éclipsa.
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[Sémirande et Khrys]
Le lieutenant Commandeur Hunt ne fit pas de commentaire quant à la décision de Khrys. Elle salua de la tête Khrys avant de revenir à Sémirande.
Le prévôt a un petit bureau non loin de l’armurerie de bord. Je vais m’assurer que vous puissiez y entrer et accéder à sa console. Elle bénéficie d’un niveau d’accès de rang V. Moi-même je n’ai qu’un rang d’accréditation à peine supérieur, néanmoins si vous avez des difficultés contactez moi.
Elle donna un coup de menton en direction du couloir où son équipe et les prisonniers avaient disparu.
Je vous laisse : il faut que je m’occupe des prisonniers. Je vous préviendrais quand nous en serons aux interrogatoires.
Toujours le laser lourd sur l’épaule elle partit à grandes enjambées à la suite de ses hommes.
//Donc je t'ai écrit par où je commençais. - La vilaine araignée
- la réparation
- le puzzle de Prévot
- Suite selon tes réponses
Je n'y passe pas trop de temps.
Je n'ai que douze heures
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[Gurvan]
« J’obéi » … Le petit logimec se dirigea vers le tas de prothèse. Il était bien incapable de transporter de lourdes charges, mais il avait accès au contrôle environnemental. Il lança les avertissements habituels « attention modification de la gravité dans 20 secondes. 15, 10, 9 … »
Il put ensuite se mettre au travail.
Gurvan l’avait déjà quitté.
Le sas s’ouvrit : Lens Kiras était là avec l’infirmier et un kif proprement troussé comme une volaille par des liens magnétiques, visiblement évanoui, transporté sur un petit diable antigrav.
Lens avait à la main un neutralisateur … il tendit l’autre main à Gurvan.
Vous avez demandé une livraison ? Faut arréter de perdre vos passagers : ça fait desordre. Il souriait … bon, si vous avez plus besoin de moi je vais aller faire un tour sur votre navire pirate.
On se retrouvera sur Tortuga : vous nous devez une tournée générale.
Il le salua d’un petit salut amical et retourna à son bord. Quelques secondes plus tard le sas se referma et le Jim Hawkins s’éloigna.
Heu … je vais retourner à l’infirmerie moi : L’infirmier se tenait la main. Je crois que je me suis cassé le poigné. Ils m’ont filé des calmants, mais je vais faire soigner ça.
Vous arriverez à vous débrouiller avec lui ? il donna un petit coup de pied à kiff évanoui … je crois qu’ils l’ont fouillé et désarmé.
// MdJ Wrote:je crois qu’ils l’ont fouillé et désarmé. //Des claques ! Des claques ! Des claques ! Des claques ! Des claques ! Des claques ! Des claques ! :devil:
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Gurvan activa l'amplification musculaire de son exosquelette. Il attrapa le Kiff comme il l'aurait fait d'un sac-poubelle tel qu'on en trouvait sur les mondes NT3 et NT4, donna au diable antigrav un adroit coup de pied qui l'expédia dans une armoire de rangement du sas.
"Je vais m'en sortir", dit-il en hochant la tête. "Bon, d'abord je suis désolé pour ce qui vous est arrivé. C'était un cas de force majeure. Je ne pouvais pas prévenir avant de dépressuriser, vous comprenez. Je vous accompagne à l'infirmerie, c'est au bout de la coursive."
Monsieur Antillès se rendit au bloc médical, tenant le Kiff à la main comme un tas de chiffons. En entrant, il lança à voix haute :
"Salut Epstar. Khaad m'a dit que tu étais un peu à bord avec nous. C'est super. Désolé de ne pas être passé te parler plus tôt, mais j'étais très occupé. Bien, j'ai besoin de tes lumières, ainsi que les votres, messieurs les medtechs. Scannez moi ce sac à fiente et vérifiez qu'il n'a aucun implant dangereux ou mouchard électronique. Le cas échéant, vous les neutralisez, s'il vous plait. Ensuite, vous me le réveillez."
Le commandant du Méphisto demanda un compte-rendu à Lucy via son plot vertébral en attendant que les membres du corps médical aient fait le nécessaire avec le prisonnier.
// Premières baffes dès que le noble MdJ confirme que le Kiff n'a rien de suspect sur ou dans lui... :devil:
"Par notre sainte patronne Rosalia, je jure d'assurer à travers toute la Galaxie la libre circulation des Etres, leur sécurité et leur confort et de les amener à bon astroport fût-ce au péril de mon vaisseau ou de ma vie."
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