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Bilbo - 22 Kepler 1505 TUP
Jim lança l'auto-diagnostique du lance missile et le remis en mode de sécurisé puis le rendit a Hicks. "Très sympa votre petit matériel d'appoint. Le dirigeable peut nous emmener directement sur le lieux du crash?"
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Zelda acquiesça à la demande de Théo.

Ok, Théo ! Tu peux rester avec le prisonnier et commencer l'interrogatoire avec Hicks... Dom et Bruhuk ! si vous le voulez vous pouvez soit rejoindre l'unité médicale, continuer la mission avec Spoutkine, Jim et moi ou accompagner Théo pour l'interrogatoire... C'est vous qui voyez. De toute façons, récupérer la navette va être un jeu d'enfant avec ce dirigeable ! Dji vous nous accompagnez ?


Zelda avait gardé l'ordi nt6, le communicateur crypté et la ceinture de champs nt6... Elle avait fourré le tout discrètement dans sa gibecière... Elle tendit à Hicks le fusil laser qu'elle avait utilisé lors de l'assaut et le pistolet laser trouvé sur le corps du mort...

Je demande la permission de monter à bord du dirigeable pour me rapprocher de la zone du crash
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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Le secrétaire Hicks observa de nouveau le prisonnier avant de revenir à leurs interlocuteurs pendant que Dji achevait de récupérer les armes et équipement leur appartenant et ceux qu’on voulait bien lui donner. Les soldats achevaient de se positionner sur la route digue, dressant un barrage à environ trois cent mètre d’eux, empêchant tout importun de les approcher.

Oui … comme vous voulez. Je pense cependant que le prisonnier ne sera pas en état de répondre à des questions avant ce soir. Et le dirigeable regagnera sa base pendant la nuit.

Alors, je pense pouvoir vous attendre pour l’interroger. Et … quand bien même il serait conscient, un peu de temps en isolement ne lui fera pas de mal. Nous avons quelques geôles qui lui donneront à réfléchir.


Il désigna de la tête son jeune collègue. Dji va vous accompagner à bord du dirigeable et servira d’officier de liaison avec son équipage.

Ce dernier ajouta : cependant ne vous faites pas d’illusion, avec le brouillard qui règne au sol il n’est pas certain que nous localisions l’épave que vous recherchez immédiatement …

Néanmoins si vous voulez vous remettre de vos émotions ou de vos blessures dans les wagons de notre train, vos cabines vous attendent
reprit Hicks.

[hrp]Alors ? Qui part avec Dji en ballon, qui part avec Hicks vers le train ?[/hrp]
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En suivant le groupe à bord du dirigeable émerveillé par cet engin.
Me tournant vers Théo je lui fit un signe
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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Zelda accrocha le bras de Dji
Une promenade en ballon, c'est si romantique ! J'espère que cet épisode fracassant ne vous a pas ombragé...

Bruhuk lui tendit le protocole de sécurisation de la navette.
"Merci, Bruhuk... Je savais que je pouvais compter sur toi. Permission de casse-crouter à bord accordé... Tu dois reprendre des forces..."

Zelda sourit au Ballik et se pencha pour lui déposer un petit baisé sur la joue oO(il est chou...)
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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Théo Calderon avait passé le prisonnier à Hicks sans ménagement, crachant un méprisant "Gardez ce mariole au frais. Et s'il émerge avant ce soir, laissez m'en un morceau, s'il vous plait...".

Il accompagna sa réponse au ballik d'un sourire qui indiquait qu'il était rassuré quant à l'état de santé de son camarade :

"Bah, vu l'autonomie de ces engins-là, ça serait bien le diable si le capitaine du dirigeable n'avait pas quelques réserves de bouche pour les longues traversées transcontinentales."

Il secoua la tête, amusé, tandis qu'une vieille comptine pour enfants retrouvée dans les archives multimédia bidim d'un mange-poussière lui revenait en mémoire. Puis il suivit le mouvement pour embarquer dans l'aérostat et commencer les recherches de la navette de la BEJV qu'ils étaient venus récupérer.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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Assis, Dom observait la scène un peu étourdi, il décompensait un peu : on ne s'habituait jamais vraiment à être en danger de mort. Néanmoins, après quelques minutes, il prit une grande inspiration et se releva, époussetant son pantalon il marcha vers le groupe.

[Un peu fatigué]
Merci de votre sollicitude M. Hicks , mais je préfère continuer vers notre objectif avec le reste de l'équipage.

Il fixa du regard Théo et Bruhuk, un sourire aux lèvres.

Mais je ne cracherais certainement pas sur un peu de nourriture solide.
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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Le jeune lieutenant revient vers eux après avoir pris ses ordres.

Il les guida vers la nacelle du dirigeable qui dansait légèrement dans le vent, les aidant à monter à bord, pendant que Spoutkin* accompagnait monsieur Hicks afin de garder le prisonnier.

L'intérieur du dirigeable était dépouillé, en gris et blanc : gris pour les meubles et les aménagement en bois gris dont les propriétés rappelaient le balsa et blanc pour l'aluminium brossé dont les poutrelles aux structures fractales constituaient le squelette intérieur de la baleine des airs.

Ils passèrent devant les sabords où des mitrailleuses à refroidissement par eau attendaient leur heure, gardées par des servants pour l'heure désœuvrés qui observèrent en silence leur étrange procession.

Ils arrivèrent rapidement au poste de pilotage. la pièce était assez petite, séparée en deux parties. Une estrade surplombait une vaste verrière enjambée par une passerelle de métal où se tenait la roue de cuivre om se tenait le timonier.

Sur l'estrade se tenaient en plus d'eux, deux personnes : un homme dont les favorites grises le disputaient à ses bacantes et d'ont l'œil s'ornaient d'un monocle. Son uniforme et tout point semblable à celui du lieutenant s'ornait de trois médailles de de galons dorés supplémentaires. Il claqua des talons et s'inclina en direction de Zelda : madame, permettez moi de vous souhaiter la bienvenue à bord de mon navire. Dji fit les présentations : commandant De Lipps, je vous présente madame Zonk. L'autre homme présent était un lieutenant qui se tenait assis sur un tabouret au devant d'une radio, casque sur les oreilles, manipulateur à la main ... il salua d'un court mouvement de tête les nouveaux venus, sans pour autant cesser de transmettre.

Le commandant De Lipps donna l'ordre de larguer les amarres. Quelques instants après le dirigeable délesta et s'éleva à nouveau dans les airs, ses moteurs électriques emplissant de leur vrombissement basse fréquence l'habitacle. Le lieutenant se retira un instant, laissant le commandant leur présenter les instruments de navigation : compas à relèvement radio, altimètres, indicateurs électriques des batteries, contrôleur d'assiette à mercure ...

Quelques instant plus tard le lieutenant revint, accompagné par un majordome en livrée blanche qui déplia une table, des tabourets de bois légers, une nappe blanche avant de s'éclipser de nouveau ... il revint quelques instants plus tard avec un plateau en argent sur lequel un service à thé, tasses, soucoupes, théière, et assortiment de petits gâteaux et sandwichs étaient posés. Il mit en un tour de main tout ceci en place, fit le service du "thé", une infusion aromatique dont le parfum beurré et sucré emplit l'air de ses volutes, avant de s'éclipser de nouveau. Le capitaine après avoir donné direction et altitude laissa la manœuvre au lieutenant et s'assit avec eux, alors que Dji était appelé vers la console de communication par l'opérateur radio qui lui confia un casque supplémentaire.

Le capitaine leur fit passer un flacon remplit d'un sirop au parfum d'orgeat dont il fit tomber quelques gouttes dans sa tasse afin d'atténuer l'amertume de son breuvage.

Après avoir gouté et lissé sa moustache de contentement il les interrogea :

Ce n'est pas tous les jours que nous accueillons à notre bord des membres des services secrets de sa majesté. Pouvez vous m'en dire plus sur cette affaire ? un engin volant expérimental détourné par des espions Bulvard, c'est cela ? et ce tir de barrage que nous avons guidé depuis le croiseur au large ... Il m'a semblé voir avant cela plusieurs explosions au sol, mais vous ne disposiez d'aucune pièce d'artillerie ?

[hrp]* en vacances j'espère : je ne te joue pas en PNJ du coup ...[/hrp]
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Les recommandations de Ser Alhoong, le représentant local du BAI, revinrent en mémoire à Théo : "Limiter au maximum le contact avec les indigènes". Eh bien, c'était moyennement réussi... Ce commandant De Lipps ne semblait pas connaître la nature réelle de la mission des Secrétaires de l'Ombre. Avant que le Songe d'Aran ne déhale de la station Angmar, Théo avait pris connaissance des données géopolitiques locales fournies par le BAI, il essaya donc de se rappeler ce qu'il avait lu sur l'aiguille de données afin de comprendre la remarque de leur hôte et de ne pas commettre d'impair.

Il choisit une réponse neutre qu'il accompagna d'un vague sourire :

"Il s'agit d'une affaire impliquant la sécurité de l'Etat, et nous ne sommes pas autorisés à nous étendre sur ses tenants et aboutissants. Quant aux explosions que vous avez aperçues, elles étaient dues à des poches de gaz engendrées par la décomposition des végétaux accumulés le long de la route-digue et mises à feu au passage de nos vapocars..."
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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[hrp]Quelle compétence sociale pourrais tu bien utiliser pour que ça passe en douceur ? Hummm ? une proposition ? Wink[/hrp]
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