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Bilbo - 22 Kepler 1505 TUP
Jim observa la scène, il était un peu loin pour venir en aide a Zelda. Il décida de rejoindre hicks qui avec sa radio pourrait le prévenir si une nouvelle navette approchait. il surveillait également du coin de l’œil l'endroit ou le pilote était tombé.
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Zelda roulait dans ce qui restait de la cabine de la vapocar, fermement accrochée à l’homme qui se débattait … sa respiration de faisait sifflante, il virait au bleu mais ne capitulait pas. Zelda essaya de resserrer la prise.
Elle venait de terminer de prononcer « pile c'est toi, face c'est moi... » quand un tir de fusil gauss transperça de part en part l’épave du véhicule à environ 5 cm de sa tête.

Théo arriva sur ces entrefaits à l’épave … Il y avait pas mal de ramdam à l’intérieur. On se battait là dedans.



Jim observait la navette un peu plus loin. Elle s’était planté dans la vase, et commençait à couler par l’arrière, à moitié dressée vers le ciel, appuyée sur ce qui restait de troncs d’arbre qu’elle avait arrachée dans sa chute.

Il lui sembla distinguer la plainte d’une unité antigrav endommagée qu’on tentait de remettre en route … un gémissement mécanique qui s’interrompait en toussotant … une fois deux fois.

Cela cessa.

La tourelle du laser commença à tourner dans leur direction.

Hicks parlait de manière pressante dans sa radio tout en dégageant de sous sa veste un pistolet lance fusée. "De vagabond à gkerkin, demande Jerkin sur fusée rouge, objectif Rob Velbé. Niep objo, je repête niep objo. compilez."
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Bon, apparemment le tir de Théo n'avait touché personne. Rétrospectivement, c'était plutôt heureux et il reconsidéra son initiative précédente comme particulièrement hasardeuse.

Il ne prit pas le temps d'approfondir la question, remit la sécurité de son fusil Gauss et le plaça en bandoulière en travers de son dos, puis il dégaina la dague à lame monofilament qu'il portait à la ceinture et bondit dans l'épave du vapocar pour prêter main forte à Zelda.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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[hrp]tout le monde étant occupé, qui à étrangler, qui à soigner, qui à faire un tir de couverture ... Ce qui m'intéresse c'est ce que Jim fait ... si c'est un tir sur la navette 3d6 sous hab + arme lourde si c'est pour un tir général ... si c'est sur un secteur spécifique de la navette (tourelle ou autre) 4d6. On enchaine après.[/hrp]
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Jim regarda la tourelle ce tourner vers eux.

"Mais c'est pire que de la vermine. Aller encore une petite pilule pour lui faire passer l'envie de revenir."

et Jim une fois de plus tira un de ses missiles en direction de la tourelle.
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Dans le réticule holographique Jim aligna la tourelle qui pivotait rapidement dans leur direction.

Pas trop le temps de viser, il pressa la queue de détente et la roquette quitta son berceau antigrav se précipitant vers sa cible …

Tous retinrent leur souffle alors que le trait de feu dessinait une légère courbe, le cerveau électronique suicidaire de la fusée corrigeant imperceptiblement sa trajectoire.

L’explosion, fragments de bois, boue, masqua un instant la navette.

La poussière et la vapeur se dissipèrent pour révéler une navette intacte.

Le canon laser se verrouilla sur Jim. Dans ses cauchemars ce dernier devait se souvenir longtemps du tube, œil noir d’où la tombe le contemplait.



Théo sauta dans ce qui restait du compartiment alors qu’une fusée rouge montait en crachotant vers le ciel, tirée par Hicks.

Le secrétaire de l’ombre hurla : TOUT LE MONDE AU SOL !

Au sol Zelda et son adversaire y était déjà : disons le, l’homme était sur le point de s’évanouir : il ne se débattait quasiment plus et à ce qu’en vit Théo il virait au bleu … ses yeux injectés de sang se posèrent sur le nouvel arrivant. Ce n’était visiblement pas le secours qu’il espérait … Il cessa de se débattre et ses yeux roulèrent en arrière.

Avant qu’il n’ait eu le temps de dire ou faire quoi que ce soit le sol se mit à trembler violement alors qu’un épouvantable fracas les percutait, une onde de choc qui le coucha bien involontairement sur le sol.



Des roses de feu, rouges et noires s’épanouirent autour de l’épave de la navette, une à l’avant dans une gerbe de boue et d’eau croupie, une dans la forêt de mangrove dont elle réduisit les troncs en esquilles de bois comme autant de shrapnels. La troisième toucha la navette à l’arrière et la quatrième éventra proprement l’habitacle projetant des morceaux de plastacier alentour.

Les tirs se poursuivirent, cinq, six, sept, huit, martelant encore une poignée de seconde le site où reposaient les fragments épars de la navette jusqu’à ce qu’une nouvelle fusée, verte celle-ci, soit tirée vers le ciel par Hicks …

Le silence revint … Visiblement plus rien ne bougeait. Leurs oreilles tintaient encore du déluge de feu et d’acier qui s’étaient déversé et une fine bruine de boue, de brindilles et de poussière mêlées acheva de s’abattre sur eux.
Leurs adversaires ? Réduits au silence, morts ou en fuite …

A vous.
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Lorsqu'il y repenserait plus tard, Théo serait incapable de se rappeler si lorsque l'onde de choc avait frappé l'épave du vapocar, il avait obéi à l'ordre de Hicks et était déjà en train de se jeter au sol, ou bien s'il était resté interdit devant l'imminence du danger en pensant oO( Ce n'est pas à moi que c'est en train d'arriver... ) et que le souffle de la première explosion l'avait balayé comme un fétu de paille. Toujours est-il qu'il se retrouva couché à proximité de Zelda et de son adversaire, se protégeant la tête d'une main pour éviter d'être touché par un quelconque objet ou débris, et menaçant le type de son poignard monofil afin qu'il ne profite pas de la confusion pour essayer de prendre la poudre d'escampette.

Des questions lui traversèrent l'esprit tout le temps que dura le déchaînement de puissance destructrice déclenché par les Secrétaires de l'Ombre. Un bombardement aérien ? Orbital ?

Lorsque tout fut fini, il se releva, vérifia que le pacha n'avait pas besoin d'aide pour maîtriser l'individu.

"Tu me rappelleras de ne jamais te contredire, skipper..." plaisanta-t-il avec un regard admiratif et un clin d'oeil complice à la commandante du Songe d'Aran.

Il essaya de trouver un bout de corde ou un morceau de tissu suffisamment résistant, utilisant à défaut son écharpe de pseudo-lin ou celle de Zelda pour ligoter solidement les poignets de l'homme dans son dos. Puis il le releva sans ménagement, le fit sortir de l'épave, le tenant d'une main par ses poignets "menottés" et de l'autre par le col, et le traîna vers le vapocar des secretaires.

"Allez, viens par là, enfoiré. On a des trucs à se dire et tu vas répondre bien gentiment si tu ne veux pas commencer une carrière de castrat quand j'en aurai fini avec toi..."
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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Zelda sentait mollir graduellement l’ardeur musculaire de son adversaire. Il haletait... Malgré ses efforts pour desserrer l’étreinte qui lui broyait la gorge, le sang commençait à ne plus irriguer correctement son cerveau, et sa trachée lui apportait de moins en moins d'oxygène... Lorsque Théo arriva, mono-filament au poing, l'homme cessa toute opposition.

TOUT LE MONDE AU SOL !

Théo resta interdit. Puis l'enfer se déchaina. Lumière, bruit, chaleur, souffle, débris... Une des parois encore intacte du vapocar se disloqua... comme aspiré par une colonne de vide... Un tsunami de chaleur fouetta Zelda, qui instinctivement ferma les yeux, protégea son visage en croisant ses avant-bras et bloqua sa respiration...

Le déluge s’apaisa… Elle se releva… Passa une main sur sa manche...

Oh, non.... Mes beaux vêtements tous neufs ! Mhmmm... Théo tout va bien ?
Elle gloussa et se mis à rire... Je me sens revivre !

Elle aida le naviborg à mettre l'homme sur pied. Il était encore chancelant mais, malgré la poussière et la boue qui lui collaient au visage, il reprenait des couleurs...

Allons voir Bruhuk et les autres...

Zelda récupéra son poignard et le rengaina, tandis que Théo ligotait le prisonnier.

Puis elle se saisi de son poudrier communicateur Contrôle, ici Zonk... Tout va bien... Enfin presque... Nous avons besoin d'une EvaSan... Deux homme mal-en-point... je vous donne plus de précision dans quelques minutes...

Tout en parlant, Zelda s'approcha de l'homme mort qui s'était empalé sur un axe d'acier... Elle le saisit par les cheveux et examina son visage... Puis elle le fouilla.
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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[ hors rôleplay désolé pour l'absence encore soucis connection et n'aarivais pas à aller sur le forum]
Exécutant les ordres de dame Zelda je me jettai au sol.
Tout en souriant en grimaçant de douleurs.
>
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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[hrp]Une petite chose que je viens de réaliser : mon action se situe après la fouille de Zelda et ce qui en découle[/hrp]
A peine eut-il fini le second bandage de Bruhuk que Dom fut projeté au sol l'explosion provoquée par l'artillerie des Secrétaires. Et cette fois, malgré le réduit dans lequel il était caché, il n'avait pas pu s'orienter et tomber correctement, il eut l'impression de son épaule était en train d'éclater. Il se sentit défaillir. Mais grâce à un intense effort de volonté, il parvint à rester conscient et essaya de se protéger des objet tombant autour de lui avec son bras valide.

Lorsque la pluie de débris cessa il se redressa et, paralyseur au poing, il jeta un coup d’œil rapide à ce qui restait de la navette. Puis en voyant que rien n'avait pu survivre à un tel déluge de feu, il reporta son attention vers le vapocar des kidnappeur. Enfin sur ce qu'il en restait : le véhicule était sur le dos, la totalité des roues brisées et l'on ne pouvait que s'émerveiller sur la capacité de la structure à ne pas s’effondrer malgré la quantité de trous percés par les récents événements.

Dom serra la main sur son arme lorsqu'il vit trois silhouettes sortir du véhicule sans dessus dessous, il hésita à lancer une rafale mais un coup de vent dissipa la poussière et il vit enfin les visages de Zelda, Théo et de son insupportable ex-interlocuteur. Le médecin se leva donc et sortit de son abri et laissa Bruhuk là, en sécurité. Puis se dirigea vers Zelda.

[Grimaçant]
Merci Bruhuk, mais ce que je vous ai fait n'est pas vraiment l'idéal, j'aimerais m'occuper de toi correctement au plus vite. Ne bouge pas trop s'il de plaît, je vais voir ce qu'il se passe.

Il s'adressa ensuite à son capitaine :

[Militaire]
Zelda, il y a deux blessés : moi-même et Bruhuk, je souffre probablement d'une clavicule cassée à l'épaule droite et lui d'une plaie à l'abdomen qui n'a pas touché d'organe vital mais que je n'aime pas. Je peux marcher, lui non.
Il faudrait que l'on fasse venir la bulle immédiatement, à moins que nos Secrétaires aient une meilleure solution.
Avez-vous récupéré ma trousse de soin par hasard ? Je serais plus efficace avec.
...
Une dernière chose : merci.
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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