2010-02-28, 05:08 PM
Monsieur Antillès passa trois longues heures dans le hangar à bulles, travaillant sur la nouvelle douze-places.
Il vérifia tout. Il apparia son plot vertébral au navimec, émit un petit sifflement admiratif : rien moins qu'un nouveau modèle de chez AutoNav Systèmes, à commande vocale, avec un processeur à pseudo-personnalité. Il contrôla les répulseurs antigrav, les boosters à poussée vectorielle, les déflecteurs de contrôle latéral. L'appareil tournait comme une horloge. Il ouvrit les trappes de visite qui dissimulaient les manchons d'alimentation et de diagnostic, y raccorda les câbles de maintenance du hangar. Il se connecta à la Toile, consulta la banque de données du constructeur et téléchargea les manuels et les logiciels d'entretien. Il laissa la console technique portable se configurer automatiquement sur les paramètres de la bulle.
Puis, après un bref passage par le salon de l'équipage pour une pause café au cours de laquelle il croisa Miss Chalmak, il se rendit à la passerelle. C'était une pièce ovale, aux courbes harmonieuses. Il y avait deux larges consoles en croissant de lune dotées d'afficheurs holos. La plus grande, devant la baie d'observation à champ de force, était traditionnellement dédiée aux systèmes de navigation et aux senseurs. La deuxième, plus proche de l'entrée, servait généralement de contrôle auxiliaire de la propulsion, et de pupitre de tir, d'où on pouvait commander l'armement sol et antinavire. Deux autres consoles plus petites, situées de part et d'autre de l'entrée, tournaient le dos à la baie d'observation. L'une d'elle relayait les informations en provenance des dispositifs de maintien de vie. L'autre contrôlait l'hypercom. Bien sûr, les consoles pouvaient être reconfigurées au gré des besoins et leurs fonctions réparties de manière différente.
Gurvan s'installa à la console principale et étudia les quatre plans de vol déposés par Sémirande. Il amena les données du répertoire astrographique de bord dans l'un des afficheurs TriD. Il collecta tous les renseignements disponibles sur cette colonie Extro par laquelle ils devraient faire un crochet avant de se rendre sur Marine.
Lorsqu'il déconnecta son plot et mit la console en veille, le soleil levant commençait à projeter ses rayons par la verrière énergétique.
Il vérifia tout. Il apparia son plot vertébral au navimec, émit un petit sifflement admiratif : rien moins qu'un nouveau modèle de chez AutoNav Systèmes, à commande vocale, avec un processeur à pseudo-personnalité. Il contrôla les répulseurs antigrav, les boosters à poussée vectorielle, les déflecteurs de contrôle latéral. L'appareil tournait comme une horloge. Il ouvrit les trappes de visite qui dissimulaient les manchons d'alimentation et de diagnostic, y raccorda les câbles de maintenance du hangar. Il se connecta à la Toile, consulta la banque de données du constructeur et téléchargea les manuels et les logiciels d'entretien. Il laissa la console technique portable se configurer automatiquement sur les paramètres de la bulle.
Puis, après un bref passage par le salon de l'équipage pour une pause café au cours de laquelle il croisa Miss Chalmak, il se rendit à la passerelle. C'était une pièce ovale, aux courbes harmonieuses. Il y avait deux larges consoles en croissant de lune dotées d'afficheurs holos. La plus grande, devant la baie d'observation à champ de force, était traditionnellement dédiée aux systèmes de navigation et aux senseurs. La deuxième, plus proche de l'entrée, servait généralement de contrôle auxiliaire de la propulsion, et de pupitre de tir, d'où on pouvait commander l'armement sol et antinavire. Deux autres consoles plus petites, situées de part et d'autre de l'entrée, tournaient le dos à la baie d'observation. L'une d'elle relayait les informations en provenance des dispositifs de maintien de vie. L'autre contrôlait l'hypercom. Bien sûr, les consoles pouvaient être reconfigurées au gré des besoins et leurs fonctions réparties de manière différente.
Gurvan s'installa à la console principale et étudia les quatre plans de vol déposés par Sémirande. Il amena les données du répertoire astrographique de bord dans l'un des afficheurs TriD. Il collecta tous les renseignements disponibles sur cette colonie Extro par laquelle ils devraient faire un crochet avant de se rendre sur Marine.
Lorsqu'il déconnecta son plot et mit la console en veille, le soleil levant commençait à projeter ses rayons par la verrière énergétique.
"Par notre sainte patronne Rosalia, je jure d'assurer à travers toute la Galaxie la libre circulation des Etres, leur sécurité et leur confort et de les amener à bon astroport fût-ce au péril de mon vaisseau ou de ma vie."
Serment Navyborg
Serment Navyborg