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Jonction - 27 Kepler 1505 TUP
La situation était quelque peut confuse … Brise était entouré de toute part : par Théo qui tentait de glisser dans la fente d’approvisionnement de sa bulle un antilcool*(Que brise "avala" non sans s'être soulagé sur le pont), Spoutkin avait rabattu son manteau sur la bulle de brise essayant de lui faire croire qu’il faisait nuit en aveuglant ses capteurs optiques, le responsable de la sécurité se tenait à distance pour essayer d’avoir une vue d’ensemble (un sale coup est si vite arrivé), Zelda essayait d’en remontrer aux Kiffs par sa seule présence.

[hrp]@ Zelda : Un petit jet au choix de résistance mentale sous 3d6 ou de commandement + volonté + un mod de 1 (discours plutôt réussi, mais un peu gâché par les autres qui essayent de maitriser Brise) sous 3d6 aussi.

@ Théo : 4D pour toi suite à son petit discours[/hrp]

Le Kiff, ne recula pas d'un pouce pour l'instant se contentant d'emmètre un caquètement de perplexité un peu amusé ... Skkkt' ? Qui commande et qui parle sans y être autorisé ? Qui est le dominant et qui est le dominé ? Skkk ?


Zelda était tellement obnubilée par les Kiffs qui se trouvaient devant elle, qu’elle ne vit pas les forces de sécurité de la station qui, presque de manière nonchalante, convergeaient vers leur position. Au bout de la ruelle, progressant dans sa partie la plus large, un formec anti-émeute de trois mètres progressait sur ses deux pattes articulées dans leur direction.

Cela n’échappa pas aux autres.
[hrp]A vous.[/hrp]

*Invention datant de 524 TUP du professeur Léo Féru-Jigneuse de la loge techno qui la commercialisa pour le prix modeste de 10 cents de crédits la dose.

Cela fit la fortune de la loge techno et celle de la hanse. A disposition dans la plupart des bars de la galaxie, l’antilcool se décline en fonction des espèces et des drogues récréatives absorbées avec un taux d’efficacité de 95 %.
Pour des raisons philosophiques contradictoires l’antilcool est fermement combattu et interdit par l’Eglise de la Liberté Cosmique et celle des Fils de l’Homme. Pour les premiers l’ivresse est de nature divine, ouvrant des perceptions et des voies alternatives à la réflexion. Pour les seconds l’ivresse est un péché dont les conséquences sont une forme d’expiation juste et mérité ; il ne convient donc pas de lutter contre ces dernières.

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