2015-03-01, 07:20 PM
[hrp]Désolé pour le retard[/hrp]
Chacun s’équipa donc, prenant armes, matériels, communico.
Le sas d’entrée du Songe était presque trop petit pour accueillir tout le monde.
Ils se serrèrent autour de la soucoupe antigrav de Brise, laissant le sas intérieur se refermer et attendirent un court instant que la pression s’équilibre : la pression était très légèrement différente à bord de la station, plus faible, plus adaptée à certaines espèces oxy-respirantes Xéno, tout en restant bien tolérée par les humains.
Dans un soupir pneumatique le sas extérieur glissa.
Ce fut tout d’abord un mur de bruit qui les percuta : Grincements métalliques, chocs sourds répétitif, des cris en Gal IV, grésillements , le tout sur fond de ronronnement de ventilation et de bourdonnement électrique.
Puis vint l’odeur, alors que l’air s’engouffrait dans le sas : Une fragrance complexe fait de graisse industrielle, d’ozone, de plastique chauffé, d’une pointe d’ammoniaque et d’odeurs organiques indéterminées.
En posant le pied sur le quai du dock ils purent mettre des images sur ces stimuli. Le long de l’immense quai dont la courbure servait d’horizon, les engins de levage, les exosquelettes chargeaient ou déchargeaient des marchandises sur les vaisseaux voisins, une équipe de maintenance réparaient dans des éclairs stroboscopique de lumière cohérente une partie du revêtement blindé du sol.
Dans un sifflement ils virent passer devant eux une bulle de transport collective qui se déplaçait sur un rail gauss. Ces bulles permettaient de se rendre à n’importe quel point de la station. A travers des verrières ils purent voir ses passagers : un groupe de corporatistes humain, tous vêtus d’un même costume sombre à l’holocravate de couleur vive et au col de veste montant décoré de pièces d’argents à la mode d’ Hystel. Les hommes passèrent comme une flèche dans leur véhicule, sans leur prêter la moindre attention.
Le navire voisin du leur était un classe IV, visiblement occupé à charger du grain en vrac à l’aide d’une antique chargeuse à bande dont le tapis cognait à chaque cycle. C’était un navire Ganeshien, la Mâlâ, dont certains membres d’équipages étaient descendus à quai pour surveiller le transbordement de leur marchandise à leur bord. Deux Babarlermite, des créatures centaurienne , éléphantines à la peau grises, dont le sommet du crane culminait à 4 mètres du sol et dont l’épiderme fragile était couvert de plaques métalliques récupérées de ci de là comme l’usage de leur peuple le voulait, se tenait à coté de leur sas. C’étaient la première fois que les membres du Songe en voyaient en vrai : ils étaient rares de ce coté de la galaxie, leur monde natal, Ganesh II se situait sur l’autre bras de la galaxie, mais l’holo-TV les avait popularisé. C’était une des plus grande race Xéno astro-pélerine a faire partie de l’Empire. Chaque babarlermite pesait dans les 5 tonnes, se déplaçant lourdement sur ses quatre membres inférieurs et se servant de ses deux tentacules latérales dotées de crochets rétractables pour les manipulations plus fines.
Une de ces créatures tourna la tête en leur direction, ses trois yeux noirs clignant l’un après l’autre en un salut informel.
Un peu plus loin derrière des caissons vides abandonnés, un petit groupe de six ou sept Kiffs en robe de bure noire les observait avec attention, capuche repliée sur la tête cachant leur groin camus ne laissant que leurs yeux rouge briller dans l’ombre. Ils les fixaient, bougeant lentement pour masquer leur nombre exact, mains dissimulés comme à leur habitude dans les replis de leurs robes.
Ils se séparèrent donc en deux groupe : Zelda, Spoutkin et Théo se dirigeraient vers la capitainerie. Pour leur secteur le bureau le plus proche se trouvait à environ 400m. Ils pouvaient s’y rendre à pied ou appeler une bulle collective.
Quant à Brise, Bruhuk, Jim et Ji, ils pouvaient commencer par interroger l’équipe de maintenance qui se trouvait non loin, mais cela les rapprocherait des Kiffs, ou se rendre au bureau technique de la station qui d’après leur plan se trouvaient de l’autre coté de l’anneau à 250 mètres. Sinon ils pouvaient bien entendu trainer sur le quai et essayer d’interroger les uns et les autres.
[hrp]Que faites-vous ?[/hrp]
Chacun s’équipa donc, prenant armes, matériels, communico.
Le sas d’entrée du Songe était presque trop petit pour accueillir tout le monde.
Ils se serrèrent autour de la soucoupe antigrav de Brise, laissant le sas intérieur se refermer et attendirent un court instant que la pression s’équilibre : la pression était très légèrement différente à bord de la station, plus faible, plus adaptée à certaines espèces oxy-respirantes Xéno, tout en restant bien tolérée par les humains.
Dans un soupir pneumatique le sas extérieur glissa.
Ce fut tout d’abord un mur de bruit qui les percuta : Grincements métalliques, chocs sourds répétitif, des cris en Gal IV, grésillements , le tout sur fond de ronronnement de ventilation et de bourdonnement électrique.
Puis vint l’odeur, alors que l’air s’engouffrait dans le sas : Une fragrance complexe fait de graisse industrielle, d’ozone, de plastique chauffé, d’une pointe d’ammoniaque et d’odeurs organiques indéterminées.
En posant le pied sur le quai du dock ils purent mettre des images sur ces stimuli. Le long de l’immense quai dont la courbure servait d’horizon, les engins de levage, les exosquelettes chargeaient ou déchargeaient des marchandises sur les vaisseaux voisins, une équipe de maintenance réparaient dans des éclairs stroboscopique de lumière cohérente une partie du revêtement blindé du sol.
Dans un sifflement ils virent passer devant eux une bulle de transport collective qui se déplaçait sur un rail gauss. Ces bulles permettaient de se rendre à n’importe quel point de la station. A travers des verrières ils purent voir ses passagers : un groupe de corporatistes humain, tous vêtus d’un même costume sombre à l’holocravate de couleur vive et au col de veste montant décoré de pièces d’argents à la mode d’ Hystel. Les hommes passèrent comme une flèche dans leur véhicule, sans leur prêter la moindre attention.
Le navire voisin du leur était un classe IV, visiblement occupé à charger du grain en vrac à l’aide d’une antique chargeuse à bande dont le tapis cognait à chaque cycle. C’était un navire Ganeshien, la Mâlâ, dont certains membres d’équipages étaient descendus à quai pour surveiller le transbordement de leur marchandise à leur bord. Deux Babarlermite, des créatures centaurienne , éléphantines à la peau grises, dont le sommet du crane culminait à 4 mètres du sol et dont l’épiderme fragile était couvert de plaques métalliques récupérées de ci de là comme l’usage de leur peuple le voulait, se tenait à coté de leur sas. C’étaient la première fois que les membres du Songe en voyaient en vrai : ils étaient rares de ce coté de la galaxie, leur monde natal, Ganesh II se situait sur l’autre bras de la galaxie, mais l’holo-TV les avait popularisé. C’était une des plus grande race Xéno astro-pélerine a faire partie de l’Empire. Chaque babarlermite pesait dans les 5 tonnes, se déplaçant lourdement sur ses quatre membres inférieurs et se servant de ses deux tentacules latérales dotées de crochets rétractables pour les manipulations plus fines.
Une de ces créatures tourna la tête en leur direction, ses trois yeux noirs clignant l’un après l’autre en un salut informel.
Un peu plus loin derrière des caissons vides abandonnés, un petit groupe de six ou sept Kiffs en robe de bure noire les observait avec attention, capuche repliée sur la tête cachant leur groin camus ne laissant que leurs yeux rouge briller dans l’ombre. Ils les fixaient, bougeant lentement pour masquer leur nombre exact, mains dissimulés comme à leur habitude dans les replis de leurs robes.
Ils se séparèrent donc en deux groupe : Zelda, Spoutkin et Théo se dirigeraient vers la capitainerie. Pour leur secteur le bureau le plus proche se trouvait à environ 400m. Ils pouvaient s’y rendre à pied ou appeler une bulle collective.
Quant à Brise, Bruhuk, Jim et Ji, ils pouvaient commencer par interroger l’équipe de maintenance qui se trouvait non loin, mais cela les rapprocherait des Kiffs, ou se rendre au bureau technique de la station qui d’après leur plan se trouvaient de l’autre coté de l’anneau à 250 mètres. Sinon ils pouvaient bien entendu trainer sur le quai et essayer d’interroger les uns et les autres.
[hrp]Que faites-vous ?[/hrp]