2006-06-15, 08:42 PM
En fait je viens de relire ce qui était écrit dans l’encyclopédie et on a quand même un certain nombre de précisions je corrige donc et complète ce que j’avais écrit plus haut:
Les données transmises peuvent être textuelles, audio et par extension je propose que nous disions vidéo et Tridi.
Le coût de ces communication est de 1 crédit par année lumière et par seconde.
Il est précisé qu’on peut en une seconde transmettre 10.000 signes (à titre de curiosité le présent texte compte signes espaces compris 6262 signes). Cela signifie que la plupart des communications et demandes textuelles simples se font en moins d’une seconde.
Le coût d’une communication textuelle est donc une simple règle de trois :
Nombre d’années lumière x nombres de signes / 10.000 = nombres de crédits que ça coûte
Si on veut simplifier on pourrait aussi considérer que le la facturation minimale est de 1 crédit par A.L.
Pour les communications audio le coût passe à :
Temps réel en secondes x nombre d’AL x 1 crédit
Pour le reste je propose que :
Pour les communications vidéo bi-di + audio on passe à
Temps réel en secondes x nombre d’AL x 3 crédits
Pour les communications vidéo tri-di + audio on passe à
Temps réel en secondes x nombre d’AL x 4 crédits
On s’aperçoit que ça devient rapidement ruineux d’envoyer ne serait-ce que ce texte de Sol III à Viala : disons à la louche 40.000 A.L x 6262 (nombre de signes du présent texte) / 10.000 = 25.048 crédits, soit le prix d’un logimec neuf.
Et surtout que ce message mettra plus de 13 heures pour arriver …
Pour les communications planétaires au sein d'un même système solaire, un coût très réduit (ou gratuit dés lors que l'on utilise les moyens de communication du bord) permettant un dialogue directe et comportant l'audio, la vidéo, le Tri-di et les datas
Qui paye quoi ? On imagine bien que l'expéditeur du message se doit dans ces conditions être le plus bref possible et direct (sauf à signifier que l'argent n'est pas un problème pour lui : il s'agit dés lors d'une forme de comportement social). De manière corollaire on peut imaginer que la dite communication comporte en fin de message une indication permettant à la personne recevant le message de savoir si la réponse sera payée par l'expéditeur d'origine et si oui à quelle hauteur (durée). La réponse dans ce cas se doit d'être rapide et allant à l'essentielle afin de ne pas ruiner le crédit de l'expéditeur. On imagine difficilement une base scientifique comme LulaB aux moyens réduits se permettre de faire ses réponses coûteuses à n'importe quel uluberlu qui leur envoierait des demandes de l'autre bout de la galaxie. Par contre certaines corporation peuvent se permettre de payer de telles réponses en raison du fait qu'ils espèrent bien vendre quelque chose.
En gros le problème du coût engendre obligatoirement des règles de savoir vivre : ne pas poser de question si on est pas prêt à payer la réponse, ne pas faire payer la réponse si l'on compte vendre quelque chose à celui qui a payé la demande (voir le lui rembourser si on est très commerçant) et dans tous les cas être clair, concis et rapide.
Trois conséquences sont possibles.
D’une part l'existence d'un courrier privé : les vaisseaux de la guilde Naviborg peuvent en complément de leur cargaison, dés lors que leur itinéraire est connu, des enregistrements de messages plus long ou plus complets dans leur ordinateur de bord : pour une fraction du prix (1 crédit par minute par exemple) demandée par une communication directe ils diffuseront à l'arrivée dans le système solaire destinataire les messages. C'est ce qui permet de recevoir son journal vidéo complet des derniers potins de Prima, la vidéo de deux heures montrant les premiers pas de la petite dernière ou encore un dossier technique complet sur les bulles de Ziek industrie). On peut encore imaginer que ce courrier lent puisse faire l'objet de sauts de puces : le navire n'effectuant qu'une partie du voyage et laissant au spatioport intermédiaires ces messages pour acheminement final (et il ne touche dans ce cas qu'une fraction de la somme de transport). Ce serait là une source de revenue "annexe" assez profitable, les messages informatiques n'étant pas encombrant par définition.
D'autre part se pose la question de la transmission des informations et des bases de données. Comment dans l'Empire sait-on ce qui se passe ? Certains services sont par définition gérés par des organismes de tutelle comme la hanse des marchands qui gère et transmet à ses frais les prix des matières premières, les cours de bourse, les échanges bancaires. De même des organisme d'Etat transmettrons les lois, les informations relevant de la sécurité ou de l'intérêt général ... Pour le reste ce sont des informations privées qui font l'objet d'un commerce et qui dés lors peuvent se vendre sous forme d'abonnement ou à la demande : on peut imaginer qu'un vaisseau de commerce ait payé un abonnement pour être mis au courant par hyperonde des mouvement de vaisseau dans son secteur et du type de marchandises chargés par ses concurrents afin de ne pas se retrouver avec une marchandise invendable arrivé à destination. De même un vaisseau de tourisme aura intérêt à recevoir des informations ciblées de flot plus ou moins continu, en ce qui concerne les restaurants, les plages et les nouvelles attractions touristiques ...
Enfin il est possible que certaines corporation comme des transporteur spatiaux réguliers de type Edénienne Transgalactique des banques privées ou de grandes compagnies commerciales possède des réseaux privés par lesquels transite leur informations.
En effet à partir d’une certaine taille l’achat et l’entretien d’une balise gigacom est sans doute anecdotique par rapport à la valeur de l’information ou des installations concernées : par exemple par rapport au prix d’un Lehouine c’est marginal.
Ou, dés lors que les navires concernés sont assez proches (ligne régulière entre deux planètes par exemple), de simples communicateurs interstellaires portant à 200 AL, peuvent permettre de créer un réseau privé à moindre coût. On peut par exemple imaginer que la Confrérie Corsaire relaie gratuitement pour ses membres dans certains secteurs comme l’alliance des 12 Soleils les messages, ce qui fait gagner à tout le monde des crédits (mais au détriment de la confidentialité : même si c’est interdit et même si les messages sont codés, les briseurs de code peuvent s’en donner à cœur joie).
On peut même envisager que ces réseaux privés dés lors qu’ils sont fiables et garantissent un bon niveau de sécurité peuvent prétendre revendre une partie de leur capacité de transfert inutilisée …
Tout cela pour dire que l'information est un commerce qui fait vivre sur les planètes des milliers de petits métiers destinés à sa collecte et à sa transmission.
Les données transmises peuvent être textuelles, audio et par extension je propose que nous disions vidéo et Tridi.
Le coût de ces communication est de 1 crédit par année lumière et par seconde.
Il est précisé qu’on peut en une seconde transmettre 10.000 signes (à titre de curiosité le présent texte compte signes espaces compris 6262 signes). Cela signifie que la plupart des communications et demandes textuelles simples se font en moins d’une seconde.
Le coût d’une communication textuelle est donc une simple règle de trois :
Nombre d’années lumière x nombres de signes / 10.000 = nombres de crédits que ça coûte
Si on veut simplifier on pourrait aussi considérer que le la facturation minimale est de 1 crédit par A.L.
Pour les communications audio le coût passe à :
Temps réel en secondes x nombre d’AL x 1 crédit
Pour le reste je propose que :
Pour les communications vidéo bi-di + audio on passe à
Temps réel en secondes x nombre d’AL x 3 crédits
Pour les communications vidéo tri-di + audio on passe à
Temps réel en secondes x nombre d’AL x 4 crédits
On s’aperçoit que ça devient rapidement ruineux d’envoyer ne serait-ce que ce texte de Sol III à Viala : disons à la louche 40.000 A.L x 6262 (nombre de signes du présent texte) / 10.000 = 25.048 crédits, soit le prix d’un logimec neuf.
Et surtout que ce message mettra plus de 13 heures pour arriver …
Pour les communications planétaires au sein d'un même système solaire, un coût très réduit (ou gratuit dés lors que l'on utilise les moyens de communication du bord) permettant un dialogue directe et comportant l'audio, la vidéo, le Tri-di et les datas
Qui paye quoi ? On imagine bien que l'expéditeur du message se doit dans ces conditions être le plus bref possible et direct (sauf à signifier que l'argent n'est pas un problème pour lui : il s'agit dés lors d'une forme de comportement social). De manière corollaire on peut imaginer que la dite communication comporte en fin de message une indication permettant à la personne recevant le message de savoir si la réponse sera payée par l'expéditeur d'origine et si oui à quelle hauteur (durée). La réponse dans ce cas se doit d'être rapide et allant à l'essentielle afin de ne pas ruiner le crédit de l'expéditeur. On imagine difficilement une base scientifique comme LulaB aux moyens réduits se permettre de faire ses réponses coûteuses à n'importe quel uluberlu qui leur envoierait des demandes de l'autre bout de la galaxie. Par contre certaines corporation peuvent se permettre de payer de telles réponses en raison du fait qu'ils espèrent bien vendre quelque chose.
En gros le problème du coût engendre obligatoirement des règles de savoir vivre : ne pas poser de question si on est pas prêt à payer la réponse, ne pas faire payer la réponse si l'on compte vendre quelque chose à celui qui a payé la demande (voir le lui rembourser si on est très commerçant) et dans tous les cas être clair, concis et rapide.
Trois conséquences sont possibles.
D’une part l'existence d'un courrier privé : les vaisseaux de la guilde Naviborg peuvent en complément de leur cargaison, dés lors que leur itinéraire est connu, des enregistrements de messages plus long ou plus complets dans leur ordinateur de bord : pour une fraction du prix (1 crédit par minute par exemple) demandée par une communication directe ils diffuseront à l'arrivée dans le système solaire destinataire les messages. C'est ce qui permet de recevoir son journal vidéo complet des derniers potins de Prima, la vidéo de deux heures montrant les premiers pas de la petite dernière ou encore un dossier technique complet sur les bulles de Ziek industrie). On peut encore imaginer que ce courrier lent puisse faire l'objet de sauts de puces : le navire n'effectuant qu'une partie du voyage et laissant au spatioport intermédiaires ces messages pour acheminement final (et il ne touche dans ce cas qu'une fraction de la somme de transport). Ce serait là une source de revenue "annexe" assez profitable, les messages informatiques n'étant pas encombrant par définition.
D'autre part se pose la question de la transmission des informations et des bases de données. Comment dans l'Empire sait-on ce qui se passe ? Certains services sont par définition gérés par des organismes de tutelle comme la hanse des marchands qui gère et transmet à ses frais les prix des matières premières, les cours de bourse, les échanges bancaires. De même des organisme d'Etat transmettrons les lois, les informations relevant de la sécurité ou de l'intérêt général ... Pour le reste ce sont des informations privées qui font l'objet d'un commerce et qui dés lors peuvent se vendre sous forme d'abonnement ou à la demande : on peut imaginer qu'un vaisseau de commerce ait payé un abonnement pour être mis au courant par hyperonde des mouvement de vaisseau dans son secteur et du type de marchandises chargés par ses concurrents afin de ne pas se retrouver avec une marchandise invendable arrivé à destination. De même un vaisseau de tourisme aura intérêt à recevoir des informations ciblées de flot plus ou moins continu, en ce qui concerne les restaurants, les plages et les nouvelles attractions touristiques ...
Enfin il est possible que certaines corporation comme des transporteur spatiaux réguliers de type Edénienne Transgalactique des banques privées ou de grandes compagnies commerciales possède des réseaux privés par lesquels transite leur informations.
En effet à partir d’une certaine taille l’achat et l’entretien d’une balise gigacom est sans doute anecdotique par rapport à la valeur de l’information ou des installations concernées : par exemple par rapport au prix d’un Lehouine c’est marginal.
Ou, dés lors que les navires concernés sont assez proches (ligne régulière entre deux planètes par exemple), de simples communicateurs interstellaires portant à 200 AL, peuvent permettre de créer un réseau privé à moindre coût. On peut par exemple imaginer que la Confrérie Corsaire relaie gratuitement pour ses membres dans certains secteurs comme l’alliance des 12 Soleils les messages, ce qui fait gagner à tout le monde des crédits (mais au détriment de la confidentialité : même si c’est interdit et même si les messages sont codés, les briseurs de code peuvent s’en donner à cœur joie).
On peut même envisager que ces réseaux privés dés lors qu’ils sont fiables et garantissent un bon niveau de sécurité peuvent prétendre revendre une partie de leur capacité de transfert inutilisée …
Tout cela pour dire que l'information est un commerce qui fait vivre sur les planètes des milliers de petits métiers destinés à sa collecte et à sa transmission.
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.