Le roncier

[Gurvan]

Lorsqu'il vit le medtek s'engouffrer dans le grand compartiment ouvert sur le vide en passant au-dessus du pirate, Monsieur Antillès lança la commande d'arrêt d'urgence de la tourelle laser pointée vers la sortie du salon. Il espéra qu'il était allé assez vite.

Bon, maintenant ça suffit.

Il lança une série de commandes mentales, faisant faire des manoeuvres désordonnées mais tournant autour du Transistel pirate à l'infopilote, tandis que l'infotir continuait de pilonner l'adversaire, la Fleur de la Mort toujours réglée pour provoquer des avaries sur la coque.

Il se leva, bondit jusqu'à ses quartiers, et referma la porte étanche derrière lui avant que la dépressurisation de sa cabine ne commence. Il ouvrit sa cantine, en sortit son exosquelette. Il coupa sa combinaison, se harnacha avec des gestes rapides et précis, puis rebrancha le champ de protection.

Il ressortit de sa cabine, attendit que le vide soit fait sur la passerelle tout en surveillant ce qui se passait dans le salon passagers sur la trivid intérieure.

Lorsque la dépressurisation fut complète, il désactiva le champ de force de la baie, sortit le blaster de sa prothèse arme, et se hâla à l'extérieur du vaisseau, commençant à progresser le long de la coque en s'aidant des divers points d'ancrage disposés ça et là, en direction du salon passager dont la grande verrière béait sur le vide spatial.

[Sémirande]

[Vite]
Mademoiselle Chalmak s'approcha du type sans connaissance. Elle n'y connaissait rien en médecine, mais...

Monsieur Edelman entendit un bref message radio disant "Ne tirez pas" suivi d'un vol de plaques de caillebotis. Monsieur Edelman la vit se redresser, son élégant EtouRach dans sa main droite, son étrange prothèse de manipulation électrique au bout du bras gauche. Sans quitter le type des yeux, elle émit un de ses messages lumineux dont les lettres d'Univerlang dansèrent sur le corps "Veillez à ce qu'il n'y en ait pas un autre. Gare aux autres tirs de Fleur de la Mort. Pas d'émission : je me demande si nos émetteurs n'ont pas été piratés"

Elle avait dégagé le forban. Ses doigts, couverts d'une combi NT6 passaient, après une petite résistance, celle de l'autre. Elle lui prit son pistolet à plasma et, avec mille précautions, rangea le très dangereux monofilament, qu'elle mit dans une des ses poches.

Les yeux écrivirent "Il n'y a personne ?"

Puis elle changea de prothèse : c'était maintenant une robotique "Olive Mark 500" flambant neuve celle-là, destinée à l'entretien de son propre corps. Elle fit le compte des éventuels organes artificiels que l'autre aurait portés. Elle les mit hors service d'un coup. Pas d'état d'âme : elle grilla les puces. Même les yeux y passèrent s'ils étaient modifiée. Elle modifia la position de la combi NT6 du pirate, la fit glisser doucement vers le cou de l'homme, à même la peau. Puis elle le défringua totalement, coupant les vêtements qui auraient résisté. Il ne lui resta rien, même pas sa casquette. Elle lui ouvrit la bouche, à la recherche d'un éventuel poison. Monsieur Edelman la voyait travailler comme si elle changeait une des batterie de Chubby : froidement, sans passion. Un vrai robot, quoi. S'il avait su ce qui se passait dans sa tête...

Une fois cela fait, elle reprit son EtouRach, l'approcha doucement pour traverser la combi de l'homme et tira une bille à bout touchant. Elle ne le quitta des yeux que quant il ne fut plus qu'un cocon lié au sol.

Fouillez ses poches écrivirent ses yeux. C'était à elle de veiller.

Dans la main, elle portait maintenant le pistolet à plasma qu'elle avait rechargé. Elle s'approcha d'une paroi. Là ! Regardant toujours de droite de gauche, elle tira son câble de communication et le brancha à la console de comm qu'elle venait de repérer. "Contrôle,mademoiselle Chalmak. Contrôle, m'entendez-vous ? " Elle écouta, attentive au délai de réponse. Elle compta soigneusement les secondes. Ils étaient peut-être occupés, mais si la latence durait toujours après ce premier appel, elle serait fixée.

[MdJ]

Pendant qu'il est occupé à parler, il ne fait pas attention à la bombe humaine quasi invisible qui fonce sur lui et qui, malgré l'activation de la ceinture de vol, à du mal à bien se diriger.
Il fit le geste qu'il ne fallait pas. Se laisser distraire par l'infirmier volant.....
Aura t'il le temps d'apprécier le coup de paralyseur réglé en mode hard ? et de voir dans la foulée des griffes qui foncent vers lui ?

Khaadaric vola, passa la porte arrachée et tira avant de le percuter toutes griffes sorties.

Le tir manqua le pirate, passant par dessus son épaule pour se perdre dans l'espace, mais il parvint à lui porter un coup de griffe magistral à la volée ... les griffes composites passèrent l'armure énergétique, s'enfoncèrent profondément dans le flanc blindé de la combinaison de combat et furent arrêtées par la dernière couche de protection.

En grognant il arracha d'une torsion ses griffes ... un coup pour rien : sans protection il l'aurait quasiment coupé en deux, mais là il avait affaire à un type lourdement carapaçonné.

Le pirate s'il ne l'avait vu, l'avait senti. Il tituba légèrement sous le choc et leva son fusil à plasma, tentant de trouver ce qui l'avait heurté et profondément entaillé sa combinaison de combat.

Petit fumier attend que je te trouve ... Le canon de son arme balayait l'espace à la recherche d'une cible à incinérer.

[khaadaric]

Petit fumier attend que je te trouve ... Le canon de son arme balayait l'espace à la recherche d'une cible à incinérer.

je continues a tourner bouger ( tout en étant invisible ) et je fais feu avec mon paralyseur et mon laser intégré en puissance max.
Je vais bien avoir un centième de temps ou il sera de coté ou de dos....

[Gurvan]

Gurvan ne souvenait plus si Khaadaric avait l'écouteur sans-fil de son persoc glissé dans son oreille lorsqu'il avait quitté la passerelle en mode furtif. Il opta donc pour un message texte avec cryptage maximum qu'il envoya via son plot vertébral :

"Occupe-le. J'arrive par l'extérieur de la coque. On va se le faire..."

Tout en progressant le long de l'enveloppe d'hyperfilament du Méphisto, il se répétait des instructions qui tournaient en boucle dans sa tête comme un mantra :

Ne pas se fatiguer. Pas de mouvements brusques. Profiter de ma propre inertie.

A mi-chemin de la baie d'observation du salon, il activa toutes les options de ses yeux artificiels : senseurs IRUV, macrovision, résolution augmentée. A l'approche de l'ouverture dans la coque du navire, il enclencha sa pompe osmotique, et attendit que le speed modifie sa perception et sa vitesse de réaction avant de continuer.

Ne pas se fatiguer. Pas de mouvements brusques. Profiter de ma propre inertie.

[MdJ]

Elle avait dégagé le forban. Ses doigts, couverts d'une combi NT6 passaient, après une petite résistance, celle de l'autre. Elle lui prit son pistolet à plasma et, avec mille précautions, rangea le très dangereux monofilament, qu'elle mit dans une des ses poches.

Les yeux écrivirent "Il n'y a personne ?"

Puis elle changea de prothèse : c'était maintenant une robotique "Olive Mark 500" flambant neuve celle-là, destinée à l'entretien de son propre corps. Elle fit le compte des éventuels organes artificiels que l'autre aurait portés. Elle les mit hors service d'un coup. Pas d'état d'âme : elle grilla les puces. Même les yeux y passèrent s'ils étaient modifiée. Elle modifia la position de la combi NT6 du pirate, la fit glisser doucement vers le cou de l'homme, à même la peau. Puis elle le défringua totalement, coupant les vêtements qui auraient résisté. Il ne lui resta rien, même pas sa casquette. Elle lui ouvrit la bouche, à la recherche d'un éventuel poison. Monsieur Edelman la voyait travailler comme si elle changeait une des batterie de Chubby : froidement, sans passion. Un vrai robot, quoi. S'il avait su ce qui se passait dans sa tête...

Une fois cela fait, elle reprit son EtouRach, l'approcha doucement pour traverser la combi de l'homme et tira une bille à bout touchant. Elle ne le quitta des yeux que quant il ne fut plus qu'un cocon lié au sol.

Une fois rassurée sur l’absence de tout autre personne elle se livra à une fouille minutieuse. Le type avait pris une violente décharge et serait out pour un petit moment.

Un scan médical et de sécurité complet seraient nécessaire pour savoir exactement de quoi il était équipé. Elle fit avec les moyens du bord.

Elle commença à neutraliser ses prothèses répar dont la droite portait le filépée intégré. Elle continua de l’examiner.

Le type avait un régène militaire modifié. Un truc capable de lui balancer à la demande des drogues de combat. Difficile à neutraliser sans risquer de le tuer ou à disposer des codes adéquats … elle se contenta de retirer les réservoirs de drogue, une demi-douzaine de minuscules flacons implantés sous l’aisselle gauche … des drogues courantes si l’on en croyait leur étiquette … certains d’entre eux était vide.

Elle essayait de se concentrer tout en faisant abstraction des chocs qui parcouraient la structure de la Durandale … une autre plaque tomba dans le couloir, laissant s’échapper son flot d’entrailles tubulaires. Minute … cette explosion là ce n’était pas un coup de fleur de la mort sur la coque externe ; ça semblait venir de l’intérieur du navire.

Fouillez ses poches écrivirent ses yeux. C'était à elle de veiller.

Pendant ce temps Khrys avait fouillé le havresac technique et les haillons déchiqueté du type. Il y trouva une carte d’identification : Rollo Tomasi, technicien de première classe, des petits objets personnels, enregistrements tridi musicaux, briquet laser, paquet de cigarette, son pad de communication et dans le havresac de multiples outils et pièces qu’il ne put identifier faute de connaissances suffisantes dans le domaine.

Dans la main, elle portait maintenant le pistolet à plasma qu'elle avait rechargé. Elle s'approcha d'une paroi. Là ! Regardant toujours de droite de gauche, elle tira son câble de communication et le brancha à la console de comm qu'elle venait de repérer. "Contrôle,mademoiselle Chalmak. Contrôle, m'entendez-vous ? " Elle écouta, attentive au délai de réponse. Elle compta soigneusement les secondes. Ils étaient peut-être occupés, mais si la latence durait toujours après ce premier appel, elle serait fixée.

… elle attendit trois secondes : Vous êtes en vie ? Nous devons faire face à une tentative d’abordage … dans le hangar juste au dessus de vous. Toutes nos équipes de Sécurité sont engagées.

Je prends contrôle ! C’était une autre voix dans laquelle elle reconnue les inflexions du Lieutenant Commandeur Hunt Chalmak ! Foutez le camp : deux formecs de combat sont en route. Ca va tirer à l’arme lourde dans le coin.

[Sémirande]

[In Petto]
"Et ça continue..."

[Obéissante]
"Madame, oui Madame. Vers où ? Où est le hangar de troisième chasseur ? On va leur filer un coup de main. On a neutralisé un de leurs commandos. Qu'est-ce qu'on en fait ?"

Une fois la réponse entendue.
"Madame, oui Madame."

Au Marchand :
"Monsieur Edelman, on se casse. On a été abordés. Deux formecs dans le coin."

Mademoiselle Chalmak, suivie - ou non - du marchand partit soit vers la direction indiquée soit vers où le destin choisirait de les mener.
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Edit : changé On le liquide ? en Qu'est-ce qu'on en fait ?
//Faut pas charrier, quand même |(

[Khrys]

Sémirande, un pirate, c'est la peine de mort non? On peut toujours le balancer dans le vide... ]

Bref, on rentre à l'intérieur. Au pire, s'ils manquent de pilote, vous prendrez le chasseur qui reste... 8)

Moi, je vais donner un coup de main à l'infirmerie, je pense qu'il y aura d'autres blessés, on laisse les morts derrières, ils ne sont pas prioritaires. :ugeek:

[Sémirande]

Sémirande, un pirate, c'est la peine de mort non? On peut toujours le balancer dans le vide... ]

"... Nous sommes des gens civilisés." Mais elle avait hésité un brin.

Bref, on rentre à l'intérieur. Au pire, s'ils manquent de pilote, vous prendrez le chasseur qui reste... 8)

Les yeux au ciel "Commissairiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire !" Il n'en ratait pas une.

Moi, je vais donner un coup de main à l'infirmerie, je pense qu'il y aura d'autres blessés, on laisse les morts derrières, ils ne sont pas prioritaires. :ugeek:

S'interposant. "Vous pouvez aller à l'infirmerie, mais en connaissance de cause. Ils ont été abordés, et ça se bat à l'arme lourde au niveau du dessus." Là où était l'infirmerie.

Puis Sémirande agit selon les instructions reçues du Lieutenant Commandeur Hunt.

[Sémirande]

[Au fait : trophée]

Mademoiselle s'est attribuée l'armure énergétique du quidam :devil:

Bein non, finalement...