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Bilbo - 22 Kepler 1505 TUP
Le fait que la tourelle se tourne vers lui avait permis à Jim d'anticiper l'avertissement du secrétaire de l'ombre. Une fois le déluge de feu passé il se relevât et se dirigea vers DOM et Bruhuk.

"Ah rien de tel qu'un bon vieux tir de barrage pour exterminer la vermine. Ca va les gars? Besoin d'aide?"
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Levant mon bras et mon pouce en disant OK.

Me tournant vers dame Zelda
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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Messieurs Hicks et Dji se redressèrent à leur tour.

Dji remit son arme à l’épaule et se dirigea vers son véhicule. La vapeur continuait de s’échapper des valves ouvertes, dans un mince filet résiduel. Il remonta à bord alors que son collègue parlait toujours dans sa radio.

Du poudrier communico la sentence tomba : négatif, les autorités locales nous interdisent leur espace aérien. Ils nous assurent que vous recevrez l’assistance médicale demandée. Au bout de la ligne la voix hésita. Je vous recontacte dans 10 minutes pour m’assurer que c’est le cas. Terminé.

Monsieur Djim ressortit rapidement de sa vapocar immobilisée avec une mallette de soin et se rapprocha des blessés alors que Hicks se dirigeait vers le reste du groupe …

Il s’accroupit à proximité de leur prisonnier et vérifia son pouls et l’état de sa pupille. Hummm, vous n’y êtes pas allé de main morte madame. Il se releva.

Nous allons évacuer la zone dans quelques minutes.

Il sembla scruter le ciel en direction de l’Est … Ils comprirent bientôt pourquoi.

Précédé du vrombissement de ses moteurs électriques un engin se dirigeait vers eux. Un immense dirigeable blanc qui sembla surgir des nuages où il s’était jusque là dissimulé. Il s’approchait avec lenteur, jouant avec le vent pour se positionner au dessus de la route digue.

Les silhouettes de soldats à l’uniforme rouge et blanc se dessinaient dans les portes ouvertes sur les flancs de sa nacelle. Une escouade prête à débarquer.

Dji posa la mallette de soin à proximité de Dom : c’était une mallette de chirurgie et de soin d’origine Galactique. Un modèle complet réservée aux véhicules médévac galactiques. Les numéros de série, qui auraient dus normalement être peint sur sa surface et indiquer à quel navire il appartenait avaient été soigneusement effacés. Dom ouvrit la malette.

Tout y était … au vu des dates de fabrication de certains médicaments, l’ensemble devait avoir une vingtaine d’années.

Il pouvait maintenant faire du bon boulot avec ça.

[hrp]Tu peux refaire tes jets avec un bonus de +2 si tu le souhaites.[/hrp]

Hicks raccrocha son micro sur sa radio. Bien, nous allons prendre la suite maintenant. Nous pouvons vous transférer vers une installation médicale si vous le souhaitez.

… il observa l’homme à leurs pieds dont la respiration restait sifflante. Lui aussi sera transféré et nous nous occuperons de son interrogatoire.

Nos hommes vont boucler le secteur et s’assurer de « faire le ménage » et de trouver une explication plausible à tout cela … Il jeta un coup d’œil à Dji.

Ce dernier sourit à moitié en répondant d’une voix trainante : des poches de gaz générés par la décomposition des végétaux qui s’accumule, provoquant certaines hallucinations ? poches ayant put être mise à feu par des engins à vapeur passant par la route digue, provoquant des explosions et la destruction des dits véhicules ?

Hicks haussa les épaules … Un truc comme ça.
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La fouille du corps n'apporta rien de concret... Puis elle rejoignit le groupe.

Elle s'approcha de Dom avec un sourire de soulagement et posa délicatement la main sur l'épaule du Doc...
Heureuse de vous récupérer en vie, Dom... Comme vous pouvez le constater je n'ai pas oublié la promesse que je vous ai faites chez Maître Folas " ...je ne suis pas une va t'en guerre, mais je ne laisserai personne mettre en péril mon navire ou menacer mon équipage..." Mais pour l'instant il faut vous reposer.

Puis Zelda se pencha sur Bruhuk. Elle ne perdit pas son beau sourire, mais fit une petite grimace en observant la plaie carbonisée... Ser Bruhuk, vous êtes un Brave parmi les Braves... Même les tirs de laser ne vous arrêtent pas ! Merci, mon ami... Doc Dom va vous retaper en un rien de temps avec son médibloc remis à neuf !

Zelda écouta Dji et Hiks... Ok ! répondit-elle... On a eu chaud ! Merci pour votre intervention ! Sans vous on serait encore sur les toits de la ville... Nous acceptons bien volontiers le transfère vers une antenne médicale, mais pour l'interrogatoire de celui là - Zelda pointa l'homme du doigt - je souhaite que mon équipe soit présente, du moins ceux qui seront sur pied !

Pour terminer elle se tourna vers ses compagnons :

Bravo les gars... Jim, je ne savais pas que l'on pouvait faire du snipe avec des micro-missiles ! C'était du cousu main... Quand à vous Spoutkin, il était inutile de servir de cible pour m'impressionner vous savez ! Et, merci Théo pour le coups de mains... Vous avez tous êtes extra, dans la bagarre.
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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[hrp]Jets envoyés pour les soins (4d6) sur Dom (14) et Bruhuk (11) contre 11 (Intel.) + 4 (Méd.) + 2 (Bonus) = 17[/hrp]
Dom accepta avec joie le matériel de Dji, ravi de pouvoir travailler correctement. Il resta néanmoins un instant près de Zelda pour lui glisser quelques mots à l'oreille :

[Discret]
Zelda, cet homme là, il ne m'a pas enlevé au hasard, il nous connaissait, et même très bien. Il en avait après le Songe, apparemment lui et ses hommes voulaient y avoir accès pour récupérer quelque chose de bien caché. Je pense que ça fait un moment qu'ils sont après nous.
Et d'ailleurs, d'après ce que j'ai réussi à lui faire dire, il n'était pas le commanditaire de tout ce bazar. Je pense qu'on pourrait pas mal en apprendre si on pouvait l'interroger.


Il quitta Zelda pour revenir vers Bruhuk toujours assis dans son abri.

[Rassurant]
Bien bien Bruhuk, ça va aller mieux, je m'occupe de toi tout de suite.

Il héla également Spoutkin pour qu'il soit son bras droit, au sens propre, pour les soins.

Dom commença par sa propre épaule, il ne tenait pas particulièrement à être paralysé par la douleur au moment de s'attaquer à la blessure, autrement plus grave, de Bruhuk. Après un injection qui anesthésia son bras jusqu'à l'épaule, il réduit la fracture de la clavicule avec l'aide de Spoutkin puis il immobilisa son épaule et avant-bras à l'aide d'un bandage durcissant. Il termina par un deuxième injection sensée stimuler la croissance des os.

Il s'occupa ensuite de Bruhuk et lui injecta également une bonne dose anesthésiants qui lui paralyserai certainement la totalité de la jambe . Aidé une nouvelle fois par Spoutkin, il allongea Bruhuk sur le flanc et commença à travailler : il désinfecta les deux plaies causées par l'impact du rayon énergétique. Les blessures de ce type comportaient toujours des tissus totalement brûlés qu'il devait enlever avant de refermer la plaie mais ce n'était pas le genre de chose que l'on pouvait faire de dehors au milieu de de la boue. Dom se contenta donc un bon bandage et d'une injection de puissants antibiotiques.
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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Dom Irazacky Wrote:Zelda, cet homme là, il ne m'a pas enlevé au hasard, il nous connaissait, et même très bien. Il en avait après le Songe, apparemment lui et ses hommes voulaient y avoir accès pour récupérer quelque chose de bien caché.
[Discrète] C'était à prévoir... L'accident de la navette était une mascarade pour nous faire venir ici et nous tendre un piège...

Zelda se tourna vers Hicks et Dji...
Bon, les garçons... Voici ma décision ! La navette et le lieu du crash ne doivent plus être très loin... On la récupére, ou on la détruit, et ensuite on rejoints le reste de l'équipe pour l'interrogatoire.

Zelda continua de tapoter la poussière qui collait à ses vêtements, et fit un signe à Spoutkine, Théo et Jim...
On a un contrat et je n'oublie pas qu'il nous permettra d'équilibrer les comptes pour nos pénalités de retard... Business is business ! En route...
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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Tout en regardant les soldats le long des filins pour les rejoindre, il ne put qu'agréer aux ordres de Zelda

"Je suis d'accord avec toi captain, Money is money. Par contre il faudra que l'on regarde d'un peu plus prêt la navette. nos assaillant ont peut être fait preuve d'opportunisme pour nous tendre cette embuscade. ou alors ils ont effectivement saboter la navette et cela demande des moyens conséquent pour l'avoir fait aussi discrètement."
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Relevant la tête et regardant dame Zelda.
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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[hrp]Oubli de ma part : Zelda peut récupérer sur l’informaticien décédé un ordinateur NT6 endommagé, un communicateur crypté et verrouillé, une combinaison ceinture NT6 énergétique (éteinte), un pistolet laser et un paquet de nuka-gum entamé. Pas de pièces d’identité, pas d’implant auriculaire.[/hrp]

Alors que le ballon approchait Hicks et Dji prirent soin de ranger ou de faire disparaître dans leur véhicule toute trace de technologie, récupérant les armes qu’ils avaient prêtées et fouillant cadavres et prisonniers.

Le dirigeable acheva de se positionner au dessus de la route digue. De sa nacelle descendirent huit manœuvriers qui entreprirent de verrouiller à quelques points d’accroche des élingues afin de stabiliser le ballon.

La manœuvre était visiblement habituelle et fut rapidement effectuée, les soldats se servant des troncs, des pieux des embarcadères pour accomplir leur mission.

Le dirigeable coupa ses moteurs et fut doucement amené au sol par de puissants treuils.

Les soldats débarquèrent en bon ordre, sous le commandement d’un jeune officier à la casquette blanche et à la veste bleue nuit aux boutons dorés. Ce dernier, après avoir donner des ordres afin de sécuriser le site, s’approcha de monsieur Hicks et après l’avoir salué lui adressa la parole :

Monsieur, le commandant du dreadnought Obale vous adresse ses salutation et espère que son tir a été assez précis à votre gout : il demande si il peut s’éloigner de la cote à présent. La marée l’oblige actuellement à forcer ses moteurs pour maintenir un point fixe dans le delta … Hicks répondit par la positive, laissant le lieutenant remonter à bord pour transmettre par radio le message.

Bien … il jeta un coup d’œil à son véhicule immobilisé. Nous allons ramener notre véhicule et le prisonnier à notre train. Si vous le souhaitez ce dirigeable pourra vous assister pour la recherche de l’épave que vous cherchiez à localiser.

Il observa un instant Dom qui achevait de s’occuper de Bruhuk et de lui-même. Si vous le désirez vous pouvez nous accompagner ... nos équipes médicales s’occuperont de vous.

Dom fit un premier diagnostique après traitement : leur situation pour l’un comme pour l’autre était stabilisée. Mieux, grâce aux nanos reconstructeurs injectés, et à la pommade symbiotique appliquée avec intelligence, il y avait fort à parier qu’un passage en hôpital ne serait pas nécessaire, si ce n’est pour rassurer tout le monde. A condition de ne pas prendre de nouveau coup, ca devrait aller. La douleur avait refluée pour l’un comme pour l’autre, ne laissant qu’un vague sentiment de gêne qui mettrait quant à lui plusieurs heures à se dissiper
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Théo Calderon rendit le fusil Gauss aux Secrétaires de l'Ombre et récupéra le paralyseur camouflé en pistolet à poudre qu'il avait passé à Dom. Il tenait toujours fermement le prisonnier auquel la redoutable Zelda avait proprement mis une branlée.

"Bouges un sourcil, coco, et je te colle ça dans la gueule et je presse la détente. Ca ne te fera pas de trou, mais le résultat ne sera guère mieux. Tu as déjà vu de la bouillie d'avoine ? C'est ce à quoi ressemble une cervelle qui s'est prise une décharge infrasonique à bout touchant..."

MdJ Wrote:Nous allons ramener notre véhicule et le prisonnier à notre train. Si vous le souhaitez ce dirigeable pourra vous assister pour la recherche de l’épave que vous cherchiez à localiser.

Durant ses années de service dans les Douanes Impériales, Théo avait acquis quelques connaissances dans l'art de tirer les vers du nez à toutes sortes de personnes plus ou moins rétives, aussi se permit-il d'intervenir :

"C'est très aimable de votre part. Toutefois, ainsi que le capitaine Zonk l'a indiqué toute à l'heure, nous étions directement visés par ce rapt, et je souhaiterais participer à l'interrogatoire de cet individu. Nous pourrons ensuite profiter de votre offre et utiliser le dirigeable pour accélérer les recherches."
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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