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Furax je me mis à suivre dame Zelda
En moi grondait une rage que j'avais peine à contenir
On nous avait pris le shaman du groupe donc je l'aivais plutôt mauvaise voir très mauvaise je dois dire.
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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Le tenancier répondit à Théo : oui, il était avec un type. Un voyageur friqué qui m'a laissé un bon pourboire. Tiens, il a disparu lui aussi ?
L'homme fronça les sourcils, visiblement en train d'additionner dans son crane les différents indices, questions.
Jim qui jetait un coup d'œil dehors sur la rue qu'ils venaient de quitter, observa plusieurs choses :
D'une : la marchande ambulante avait saisit par le bras un homme en tenue bleu à brandebourgs dorés, avec un casque blanc à pointe de cuivre rouge et tentait d'amener celui-ci en direction de l'auberge, le tout au milieu d'un cercle de badauds amusés ou soucieux de donner leur avis sur ce qui s'était passé.
De deux : Dji venait de sortir sur le pas de la porte après avoir payé les emplettes de madame Zonk et portait dans ses bras un grand carton fermé par un ruban rouge. Pour l'heure il semblait vaguement perplexe, cherchant à localiser ses protégés, son attention étant bien entendu attirée par la marchande, le policier et la foule qui les entouraient.
...
[Pendant ce temps dans le venelle]
Spoutkin s'élança en avant, espérant pourvoir rattraper la vapocar qui devrait obligatoirement ralentir au bout de la rue. Il courrait de toutes ses forces espérant pourvoir bondir sur le porte bagage arrière quand le cri de Zelda retentit comme un claquement de fouet.
Zelda avait perdu quelques instants à observer la scène, se demandant bien ce qui pouvait se trouver sur le toit du véhicule. Un corps ? Oui, mais celui d'un type couché avec une arme longue qui mettait en joue Spoutkin qui se rapprochait ignorant le danger.
Ce dernier, par un réflexe bienheureux, se jeta sur le coté, entrant en collision avec un tonneau rempli d'immondices. Le trait de lumière cohérente fendit un pavé à l'endroit où il aurait dut se trouver, avant qu'un second tir fasse bouillonner le contenu du tonneau, dégageant des vapeurs méphitiques.
La vapocar tourna au coin, sur la gauche, s'engageant en direction de la large rampe qui descendait en zizagant en direction de la ville basse.
Zelda consulta son éventail et en conclu qu'en piquant un sprint à travers la cours de la maison suivante, en passant dans la ruelle suivante et en grimpant sur le toit suivant (où séchait du linge) par l'escalier extérieur elle devrait être en mesure de rattraper de justesse le véhicule avant qu'il ne s'engage dans la descente.
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Théo Calderon lança un "Merci l'ami" à l'aubergiste en surchauffe neuronale et un "Viens, Jim !" à son compagnon tout en filant en direction de la porte par laquelle Dom et, il en était maintenant sûr, son ravisseur, avaient disparu.
Dès qu'il eut franchi le seuil, il sortit son pistolet-paral, désactiva la sécurité et ajusta l'arme sur réglage "fort", attentif aux moindres mouvements et bruits suspects.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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Théo passa la porte qui s'ouvrait sur une petite courette servait essentiellement de lieu d'aisance (un petit cabanon en bois servait à cette office) et de réserve de tonneaux ... une seconde porte de service s'ouvrait sur une palissade donnant sur la ruelle à l'arrière du bâtiment.
Cette deuxième porte était déjà ouverte.
Théo jeta un coup d'œil en coin dans la venelle : Zelda se tenait avec Bruhuk à l'entrée de celle-ci sur sa gauche, au coin de la rue principale observant son éventail.
Spoutkin se tenait à quelques mètre de lui, sur sa droite, accroupit derrière un tonneau d'ordures fumantes.
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Jim ne suivit pas Théo tout de suite dans la venelle. "Je te rejoins de suite, tu me cris s'il y a un problème." Il voulait d'abord savoir quel crédit l'homme, visiblement de la rousse, accorderait à la vieille femme.
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Zelda fut soulagée... Spoutkine s'était mis à l'abri du tir de laser mortel qui finissait de consumer le tonneau de détritus.
D'un geste sec elle referma son éventail qu'elle glissa dans son corsage et elle se lança vers la cours de la maison voisine.
Par ici... On a une chance de leur barrer la route... Zelda avait aperçu Théo... Pas le temps de lui expliquer...
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Je me mis à courir avec Zelda
Soufflant comme une forge
Mon tromblon lui aussi mis en mode paralysant.
Scrutant les alentours afin de voir si on ne risquait pas de se faire prendre en tenaille par la suite sur nos arrières....
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Théo se tourna vers l'intérieur de l'auberge et lança un puissant :
"Jim, les ravisseurs de Dom s'enfuient !"
Puis il bondit dans la ruelle et appela le premier pilote du Songe d'Aran :
"Spoutkin, tu n'as rien ?"
Constatant que l'intéressé avait adroitement évité ce qui ressemblait à un nouveau tir de laser et se relevait indemne, il s'élança en courant à la suite de Zelda et de Bruhuk, l'arme en main et le regard mobile, jetant des coups d’œil rapides de chaque côté et vers le haut des bâtiments aux alentours pour ne pas se faire surprendre par un tireur embusqué.
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Jim Highway Wrote:Jim ne suivit pas Théo tout de suite dans la venelle. "Je te rejoins de suite, tu me cris s'il y a un problème." Il voulait d'abord savoir quel crédit l'homme, visiblement de la rousse, accorderait à la vieille femme.
Jim ne put observer que quelques instants le manège de la femme, agrémenté des commentaires, avis et témoignages des passant et témoins ... Pour l'heure le policier de la reine (que l'on appelait ici homme-de-police) semblait quelque peu perplexe, il fouilla dans sa veste et en sortie son arme préférée : un carnet défraichi (mais réglementaire) et un crayon avec lesquels il entreprit de prendre des notes.
Encore une fois cela ne dura qu'un instant : Jim fut tiré de son observation par le cri de Théo :
Theo Calderon Wrote:"Jim, les ravisseurs de Dom s'enfuient !"
Théo détala ensuite, à la suite de Zelda et Bruhuk qui prenaient des chemins de traverse pour rattraper la vapocar qui leur avait échappée.
La course ne dura pas longtemps, ils en étaient à la moitié, après avoir grimpé quatre à quatre un escalier qui donnait sur un toit : Bruhuk avait pris la tête, quand Zelda avait manqué de tomber en essayant de sauter au dessus d'une rambarde de bois pourri qui avait cédée sous son poids, sur leurs talons arrivaient Théo, puis les autres s'ils avaient suivit.
L'effort avait fait naitre sans la poitrine des spationautes la sensation de leur cœur battant, de leur poumons peinant à s'emplir de l'air vicié par les fumées de charbon alors qu'ils zigzaguaient à présent entre les cheminées fumantes sur le toit incliné.
Les yeux de Zelda se posèrent machinalement sur son éventail : Ils y seraient dans trois minutes et la vapocar conti ... Quoi ?!
Le traceur de Dom s'était immobilisé en pleine rue. A environ 120 mètres de leur position actuelle. Elle fixa son attention sur le point lumineux pendant une dizaine de secondes : il avait recommencé à bouger, quittant l'artère principale et empruntant un escalier tortueux qui descendait vers docks. Le mouvement se poursuivait à une dizaine de kilomètres heures.
Que faites vous ?
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Me retournant afin d'attendre les autres
Je mis mon tromblon en mode paralysant et me cachai dans un coin afin d'avoir une vue du chariot à vapeur
[Lors de son premier arrêt avant que les autres me rejoignent du fait que je suis arrivé le premier....que vois je donc?...puis je tenter un tir?]
Je fis des signes à Théo pour lui signaler qu'ils avaient marqué un arrêt et que c'était une opportunité d'agir maintenant....
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