2013-04-17, 07:01 AM
Virik s’était rendu aux arguments des unes et des autres, s’installant dans le jardin, aménageant le cabanon pour en faire un lieu de vie décent … pour une quarantaine de jours visiblement. Le commandant ne voulait pas voler en solo et se refusait semble-t-il a confier les commandes à monsieur Eron tant que tout doute quant à sa santé mentale n’était pas levée.
Il comprenait, bien qu’il eut préférer faire des sauts de puce au rythmés par les phases de repos de leur unique pilote et commandant en direction de la civilisation. Plus tôt ils seraient lavés de tout soupçon quant à leur état mental, le mieux ce serait de son point de vue.
Mais, il se plia au protocole de quarantaine et aux précautions supplémentaires sans état d’âme.
Sa première tache fut d’enfermer ses armes et armure, après les avoir nettoyé, vérifié, rechargé, dans son coffre personnel. Il demanda aux mécaniciens d’y ajouter un système de verrouillage complémentaire afin qu’en plus de ses codes personnels il faille l’autorisation du commandant de bord pour l’ouvrir. Il rendit ensuite ses codes d’accès à la console de sécurité à ce même commandant, n’étant plus à même d’assurer sa fonction pour l’heure.
Il prit le temps de se reposer, de méditer, avant de se mettre à un programme de mise en forme exigeant l’incitant à repousser ses limites … Son temps de repos était consacré à des liaisons holographique avec le reste de l’équipage : Il transmit à Djal les images de la caméra holographique, lui demandant de l’aider à monter celles-ci sous forme de reportage qui pourrait être exploité par les chaines Tri-vi … Avec Cuperno et Khrys il veilla à ce que les documents légaux faisant de la compagnie l’inventeur de l’ensemble de leurs découvertes soient prêts. Enfin il fit un peu de paperasse, rédigeant son journal personnel, complétant ceux destinés à ses supérieurs de l’Alliance et de l’Empire, en plus du rapport pour l’ordre hatani qu’il avait bien l’intention de pouvoir un jour déposer en personne.
L’arrivée du navire de la division Novae l’avait un peu surpris. Ils n’avaient laissé guère de trace derrière eux puisqu’ils avaient retiré les mémoires de la navette du Cortez … Mais les Novaes étaient des professionnels, disposaient de matériel classé secret Impérial, avaient eux aussi put analyser les poussières et la densité d’étoiles ne leur laissait qu’un nombre de piste limité pour les trouver. Et ils avaient sans doute eu de la chance dans leurs investigations.
Il ouvrit une communication en direction de la console du commissaire de bord ou de son adjoint : Messieurs, pouvez-vous transmettre les documents d’invention que nous avons rédigé au navire Novae pour un enregistrement légal ? Demandez un récépissé s’il vous plait. Cela n’augurera pas du traitement que recevra notre demande, mais nous aurons une preuve … Joignez quelques éléments de preuves chronodatés par les enregistrements de ma broche légale. Merci.
Il comprenait, bien qu’il eut préférer faire des sauts de puce au rythmés par les phases de repos de leur unique pilote et commandant en direction de la civilisation. Plus tôt ils seraient lavés de tout soupçon quant à leur état mental, le mieux ce serait de son point de vue.
Mais, il se plia au protocole de quarantaine et aux précautions supplémentaires sans état d’âme.
Sa première tache fut d’enfermer ses armes et armure, après les avoir nettoyé, vérifié, rechargé, dans son coffre personnel. Il demanda aux mécaniciens d’y ajouter un système de verrouillage complémentaire afin qu’en plus de ses codes personnels il faille l’autorisation du commandant de bord pour l’ouvrir. Il rendit ensuite ses codes d’accès à la console de sécurité à ce même commandant, n’étant plus à même d’assurer sa fonction pour l’heure.
Il prit le temps de se reposer, de méditer, avant de se mettre à un programme de mise en forme exigeant l’incitant à repousser ses limites … Son temps de repos était consacré à des liaisons holographique avec le reste de l’équipage : Il transmit à Djal les images de la caméra holographique, lui demandant de l’aider à monter celles-ci sous forme de reportage qui pourrait être exploité par les chaines Tri-vi … Avec Cuperno et Khrys il veilla à ce que les documents légaux faisant de la compagnie l’inventeur de l’ensemble de leurs découvertes soient prêts. Enfin il fit un peu de paperasse, rédigeant son journal personnel, complétant ceux destinés à ses supérieurs de l’Alliance et de l’Empire, en plus du rapport pour l’ordre hatani qu’il avait bien l’intention de pouvoir un jour déposer en personne.
L’arrivée du navire de la division Novae l’avait un peu surpris. Ils n’avaient laissé guère de trace derrière eux puisqu’ils avaient retiré les mémoires de la navette du Cortez … Mais les Novaes étaient des professionnels, disposaient de matériel classé secret Impérial, avaient eux aussi put analyser les poussières et la densité d’étoiles ne leur laissait qu’un nombre de piste limité pour les trouver. Et ils avaient sans doute eu de la chance dans leurs investigations.
Il ouvrit une communication en direction de la console du commissaire de bord ou de son adjoint : Messieurs, pouvez-vous transmettre les documents d’invention que nous avons rédigé au navire Novae pour un enregistrement légal ? Demandez un récépissé s’il vous plait. Cela n’augurera pas du traitement que recevra notre demande, mais nous aurons une preuve … Joignez quelques éléments de preuves chronodatés par les enregistrements de ma broche légale. Merci.