2013-10-10, 03:35 PM
Virik accepta avec reconnaissance l'aide de l'infonaute, essayant sans y parvenir totalement, de ne pas sortir les griffes en se tenant à son avant bras.
Il passa le seuil du sas avec son assistance, tendant à l'armurier sans même s'en rendre compte, dans un semi cauchemar éveillé, l'arbalète maintenant inutile.
Il passa le second vantail et dans la coursive qui s’ouvrait au-delà s’accroupit, dos à la paroi, tête baissée, oreilles couchées. Sans relever la tête. Il fit un petit signe de la main à monsieur Djal pouvant signifier « ça va », « merci », « pas d’inquiétude »et resta là un long moment. Quelqu’un ou quelqu’une lui passa une louche d’eau. Après l’avoir reniflé par réflexe, il but à longues gorgées avant de rendre celle-ci.
Ce n’est que lorsqu’il commença à avoir mal au dos et aux cuisses qu’il quitta sa posture, se forçant à respirer, à redresser la tête … le train train et les bruits habituels avaient à nouveau envahi l’espace de vie.
Il fit quelques pas hésitants et arrivé à la bifurcation qui marquait le chemin de la passerelle ou celle des quartiers d’habitation où se trouvait sa cabine, il choisit la seconde voie.
Il passa le seuil du sas avec son assistance, tendant à l'armurier sans même s'en rendre compte, dans un semi cauchemar éveillé, l'arbalète maintenant inutile.
Il passa le second vantail et dans la coursive qui s’ouvrait au-delà s’accroupit, dos à la paroi, tête baissée, oreilles couchées. Sans relever la tête. Il fit un petit signe de la main à monsieur Djal pouvant signifier « ça va », « merci », « pas d’inquiétude »et resta là un long moment. Quelqu’un ou quelqu’une lui passa une louche d’eau. Après l’avoir reniflé par réflexe, il but à longues gorgées avant de rendre celle-ci.
Ce n’est que lorsqu’il commença à avoir mal au dos et aux cuisses qu’il quitta sa posture, se forçant à respirer, à redresser la tête … le train train et les bruits habituels avaient à nouveau envahi l’espace de vie.
Il fit quelques pas hésitants et arrivé à la bifurcation qui marquait le chemin de la passerelle ou celle des quartiers d’habitation où se trouvait sa cabine, il choisit la seconde voie.