Briefing

[MJ]

Mais je vous en prie, si d’aventure vos valets se fûtes par trop avancés sur vos intentions de gîtes et couverts, je ne souhaites point troubler votre maisonnée… En vérité je désirais simplement trouver l‘hostellerie la plus proche."

Au mot valet en particulier, Petrus émet son habituel rire bonhomme puis tape vigoureusement sur l'épaule du jeune impétueux :

"Ahaha, non, non, mes "valets" (il jette un clin d'oeil à l'intention du reste de l'équipage) ne se sont pas avancer : tu es le bienvenu, Marco. Pour ce soir... et même peut-être plus ? As-tu une occupation actuellement ? Tu nous as été, sans le savoir, d'une grande aide en intervenant en faveur de nos clients, ce serait une juste récompense de te procurer une place... si tu le désires bien sûr."

Il s'arrête un moment, regarde Marco de bas en haut en hochant un peu la tête :
"Bon, je suppose que tu ne sors pas d'une de nos Académies Guildiennes, n'est-ce pas ? Peu importe. Au contraire même ! Ce sera ton principal atout. Que sais-tu faire, Marco ?"

[MJ]

Plus tard, je vous soumettrais un eventail de questions qui me permettra de devancer vos desirs, mais pour le moment, je me permet de vous souhaiter humblement la bienvenu dans les locaux de notre compagnie, ou je ne doute pas que votre prochaine croisiere vous permettra de passer de tres agreables moments.

M. Alcaline, si vous desirez ma presence, je suis a votre entiere disposition, sinon je me retire dans ma cabine et vous laisse regler les derniers details du contrat en toute serenité.

Alors qu'il attend la réponse de Marco, Petrus semble se rappeler que Khrys lui a posé une question :
"Hein ? Non, non, reste donc, Khrys, je t'en prie. Pourquoi remettre à plus tard ces questions dont tu nous parles ? Si des problèmes doivent se poser, c'est maintenant et ensemble que nous devons les aborder."

A ce moment, une vision surréaliste se produit : ariana Badlam entre dans la case portant un plateau en bois ouvragé sur lequel s'entassent quelques coupes et une montagne de petites pâtisseries.

A cette vue, Petrus se frotte les mains :

"Tenez, mes amis. Nous serons mieux avec un verre à la main pour discuter de tout cela. Merci, Ariana."

[Semirande]

[Gamberge, gamberge]
"Elle qui n'aime pas être au milieu des gens, elle doit être affreusement gênée"

Sémirande hésite une fraction de seconde, puis se lève rapidement. Attention, pas d'un bond, pas avec nervosité, simplement rapidement.

De quelques pas rapides, elle couvre la distance qui la sépare de mademoiselle Badlam. Elle se plante devant elle, plonge son regard dans celui de l'aimable dame, prend le plateau des deux mains (quatre mains tiennent donc le bel objet), sourit amicalement et dit :
"Laissez, mademoiselle, je vais le faire. Si vous voulez, prenez ma gravichair, j'irai m'en chercher une autre."

Bon :
- soit je prends une remarque acerbe, le plateau sur la gu..le, un jetasse d'enfer, un regard méprisant accompagné d'une prise ferme sur la délicate cargaison qui ne me laisse pas la prendre et je vais m'asseoir, rouge de confusion,
- soit elle me laisse le plateau et je fais le service, commençant par les messieurs-clients, puis les dames-clientes, puis la TSA-Dame si elle est restée, puis l'Honorable Petrus Alcaline, puis l'équipage et enfin moi.

[deltar kirlek]

(Deltar regarde d'un air amusé les deux charmantes demoiselles et le pauvre plateau entre les deux, j'espere qu'il n'y aura de casse, ça serait dommage de gacher de la nourriture, remarque une bataille de choux a la cremes pourrait le faire aussi pense til avec un sourrire en coin)

[MJ]

Alors que les deux jeunes femmes tiennent fermement, chacun de leur côté, le plateau entre leurs mains, Ariana Badlam se fige, fixant le regard de Sémirande, visage inexpressif.

Finalement, l'espace de deux secondes qui, compte tenu de la singularité de la scène, paraissent être une heure, Ariana lâche le plateau et peine à bredouiller :
"M...merci... je... je veux bien. J'ai justement du travail que je..."

Elle sort de la case, laissant Sémirande faire le service, ce qui suscite une remarque hilare de Petrus Alcaline :

"Eh bien, mes amis, notre commandante aime avoir les choses en main en toutes circonstances, n'est-ce pas ? Je crois que vous serez entre de bonnes mains !"

[Khrys]

Oh, vous savez, ce sont des questions pratiques: quels sont vos loisirs préférés, quels genres de video TriD visionnez vous le plus souvent, quelles sont vos habitudes alimentaires particulieres? Ou encore pratiquez vous un sport de facon reguliere, avez vous des animaux de compagnie particuliers, avez vous besoin d'une liaison à la Toile particuliere (sécurisé?)?
Quels sont vos couleurs préférées, vos musiques préférés, vos paysages préférés?
Pour vous détendre, vous faut-il bouger et vous dépenser, ou bien vous reposer longuement dans une ambiance paradisiaque?
Dépensez-vous sans compter pour vos loisirs, la priorité est-elle à la découverte culturelle ou aimez-vous l'inconnu?
Avez-vous des horaires de sommeil particulier, avez-vous besoin d'etre au courant des dernieres actualités du secteur galactique, dormez vous tous dans la meme chambre ou etes-vous isolationnistes?

[...]

(en fais je continue jusqu'a ce que Petrus ou le client m'arrete, et je leur repond: vous voyez, cela est préférable d'etre mis a disposition du client dans un moment de tranquillité...) :wink:

[Semirande]

[Action discrète]
Pendant que je sers, en silence ou avec un minimum de mots, j'examine la clientèle. Qui est soigné, qui l'est moins, quels gadgets ont-ils sur eux (les gadgets visibles évidemment) ; je ne m'attends pas à trouver des armes, mais y en a-t-il néanmoins ?

[Au fait ...]

un regard, apparemment anodin, vers Dame Naania Vikavocjha Loö Lu et je sais que chacun respecte infiniment l'autre, sa différence, sa compétence, son status social si humble puisse-t-il être fin du regard.

Et comment a-t-elle pris cela, la vieille peau ?

[Guest]

Marco semble quelque peu décontenancé par le regard noir de Sémirande lorsqu’il tourne la tête dans sa direction, mais la venue d’Ariana lui donne tout autre chose réfléchir Il parait particulièrement fasciné et la fixe sans mot dire jusqu’à ce qu’elle fasse retraite, ne semblant pas même s’apercevoir de la scène surréaliste se déroulant autour des petits fours. Il se reprend alors et déclare :

« A vrai dire votre offre généreuse m’intéresse fortement… bien que je ne sais point si j’eusses les qualités requises pour…
Onc me prête bonne réputation dans le milieu des armes, car je défis vingt et quatre marauds en combat singulier ainsi que sept autres coquins en duel au pistolet devant témoins, dont le marquis de Chang qui… Mais excusez moi, je m’égare. Adonc si j’eus compétences en multiples armes, et je n’ai point de mal à m’accoutumer aux armes-lumières que j’eus occasion de tenir en main, et sait combattre en usant et prenant soin de montures… On m’accordent également bonne compréhension des rouages et engrenages mais c’est la matière fort nouvelle et point ne puis tirer grande fierté de mes découvertes… »

EDIt : pour moi le froncement de sourcil ne correspond pas au sourire (qui est effectivement particulièrement hypocrite...) d'où déstabilisation du Spacien Volant... si tu le préfère, j'éditerais mon post, ça n'a pas grande importance, ça me donnait surtout une entré en matière.

[Semirande]

[Précision]
Tatatatata ... Tu as mal lu mon post :roll: De regard noir il n'y eut pas :!: Ce sont mes yeux qui sont aussi noirs que ma peau. :lol:

On aurait pu dire que je me suis conduite en parfaite hypocrite, si mon boulot n'avait pas été - aussi - de rester aimable en toutes circonstances.

Mais peut-être une petite conversation amicale et privée te pend-elle au nez, dans les jours qui viennent :?: Va savoir ...

a+

[Semirande]

[Re-précision]
Un plissement des yeux n'est pas un froncement de sourcils. :mrgreen:

Et j'aurai l'audace de repréciser que je ne fus pas hypocrite mais diplomate ; comme en témoigne l'usage du conditionnel (et pédante, en plus )

Suite en privé, après le briefing ... :wink:

[O maître vénéré]
Question subsidiaire : y-en a-t-il qui auraient des prothèses ? Je sais que c'est auss peu probable que les armes ; mais par acquis de conscience ...

(Parani parana paranu parano)