2010-02-25, 06:33 PM
[Bein oui, encore un souk]
Cela ressemblait au souk de TF. La violence en moins. Oh, certes, certes, certes... Je le concède : les Corsaires étaient de rudes gaillards et parfois, il y avait des Etres qui volaient, bien que leurs organismes se soient pas prévus pour. Mais il n'y avait pas de meurtre, peu de vols et tous pouvaient aller y faire leurs achats sans crainte. Bon, à certaines heures, dans certains bars...
Mais c'était le milieu d'après-midi, et on ne risquait rien.
La zone franche Corsaire était séparée en trois entités distinctes :
- entrepôt des marchandises en transit. C'était une zone bien définie d'aires de stockage composées en majorité de hangars sous-terrains, mais avec quelques installations de surface.
- Grosses marchandises "A12S", elle ressemblait à la première, mais beaucoup plus petite.
- Petites marchandises. C'était une série de halles reliées par des passerelles, un peu comme sur TF.
Les objets artisanaux occupaient une "petite" de ces halles, et on serait cru transporté sur un autre monde.
Des étals de partout, des sacs d'échantillons ouverts, des produits bruts, alimentaires... de tout ! Le Prêtre vit un stand qui avait un succès fou : le marchand Malachite qui officiait là offrait café de Tréfolia, Kabor, Taô de toutes provenances, pailles de Raktagino fraiches, barres de cytomilles, marmelade déshydratée de larves de Chamus, que les habitants de TF connaissaient bien... Il suffisait de connecter son plot vertébral pour ceux qui en avaient un, ou de passer son auricaisse pour d'autres, ou encore enfin de lire l'étiquette pour connaître la provenance, les toxicités relatives, les risques d'accoutumance ; bref tout ce qu'il y avait besoin de savoir. C'était le bonheur des "buveux d'infusions".
Une autre série de stands était très attirante. Des gemmes de toutes sortes étaient présentées, du gravier blanc, joli mais sans plus, aux pierres semi-précieuses voire précieuses. Toutes étaient protégées par des systèmes antivol ne pouvant en aucun cas causer de blessure au voleur. C'était très beau, on pouvait y passer des heures (d'ailleurs, certains le faisaient).
Cependant, les gemmes vraiment coûteuses étaient stockées dans un bâtiment à part, libre d'accès à tout un chacun bien sur, mais où les mesures de sécurité étaient plus strictes. Mais là-bas non plus on ne blessait pas les voleurs...
Il y avait des hectomètres de stands dans lesquels des milliers de mètres de tissus s'étalaient, avec parfois des vendeurs très pittoresques qui vantaient leurs marchandises. Une visiteuse, une dame qui bien que belle encore était visiblement au soir de sa vie, se fit traiter de "vieille radine" par un vendeur, humain, que manifestement sa marchandise n'intéressait pas. Elle se contenta de pouffer dans sa main et de continuer son chemin.
C'était un lieu vraiment sympa...
Messieurs ?
Cela ressemblait au souk de TF. La violence en moins. Oh, certes, certes, certes... Je le concède : les Corsaires étaient de rudes gaillards et parfois, il y avait des Etres qui volaient, bien que leurs organismes se soient pas prévus pour. Mais il n'y avait pas de meurtre, peu de vols et tous pouvaient aller y faire leurs achats sans crainte. Bon, à certaines heures, dans certains bars...
Mais c'était le milieu d'après-midi, et on ne risquait rien.
La zone franche Corsaire était séparée en trois entités distinctes :
- entrepôt des marchandises en transit. C'était une zone bien définie d'aires de stockage composées en majorité de hangars sous-terrains, mais avec quelques installations de surface.
- Grosses marchandises "A12S", elle ressemblait à la première, mais beaucoup plus petite.
- Petites marchandises. C'était une série de halles reliées par des passerelles, un peu comme sur TF.
Les objets artisanaux occupaient une "petite" de ces halles, et on serait cru transporté sur un autre monde.
Des étals de partout, des sacs d'échantillons ouverts, des produits bruts, alimentaires... de tout ! Le Prêtre vit un stand qui avait un succès fou : le marchand Malachite qui officiait là offrait café de Tréfolia, Kabor, Taô de toutes provenances, pailles de Raktagino fraiches, barres de cytomilles, marmelade déshydratée de larves de Chamus, que les habitants de TF connaissaient bien... Il suffisait de connecter son plot vertébral pour ceux qui en avaient un, ou de passer son auricaisse pour d'autres, ou encore enfin de lire l'étiquette pour connaître la provenance, les toxicités relatives, les risques d'accoutumance ; bref tout ce qu'il y avait besoin de savoir. C'était le bonheur des "buveux d'infusions".
Une autre série de stands était très attirante. Des gemmes de toutes sortes étaient présentées, du gravier blanc, joli mais sans plus, aux pierres semi-précieuses voire précieuses. Toutes étaient protégées par des systèmes antivol ne pouvant en aucun cas causer de blessure au voleur. C'était très beau, on pouvait y passer des heures (d'ailleurs, certains le faisaient).
Cependant, les gemmes vraiment coûteuses étaient stockées dans un bâtiment à part, libre d'accès à tout un chacun bien sur, mais où les mesures de sécurité étaient plus strictes. Mais là-bas non plus on ne blessait pas les voleurs...
Il y avait des hectomètres de stands dans lesquels des milliers de mètres de tissus s'étalaient, avec parfois des vendeurs très pittoresques qui vantaient leurs marchandises. Une visiteuse, une dame qui bien que belle encore était visiblement au soir de sa vie, se fit traiter de "vieille radine" par un vendeur, humain, que manifestement sa marchandise n'intéressait pas. Elle se contenta de pouffer dans sa main et de continuer son chemin.
C'était un lieu vraiment sympa...
Messieurs ?