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Dom tenta de retrouver l'humain se trouvant sous la créature des marais qu'il était devenu au bout de de ces 10 jour dans la jungle. Ce fut difficile, ce voyage l'avait épuisé, bien plus que ce qu'il aurait du...Etait-ce parce qu'il avait pensé mourir dévoré par les dinos...peut-être avait il eu peur pour son patient, ce bon vieux moustachu...oui a la réflexion cela lui aurait fait mal que le fringant pilote lui claque entre les doigts..était-ce les dix jour passé dans l'enfer vert personnel de frigidaire le glaçon impérial? c'était éprouvant il en convenant, même durant ses années dans l'armée, il n'avait pas du traverser une synthèse des pires mondes jungle que la galaxie pouvait fournir...et puis pire que tout il n'y avait pas le moindre petit atome d'éthanol à plusieurs centaines de kilometre à la ronde et ça le rendait ronchon....
le repas était correct, voire l'un des meilleurs qu'il ait mangé de sa vie aprés dix jour ou l'odeur de la seve-colle rendait toute nourriture relevée de ce meme parfum douceatre écoeurant....il apprécia en silence ce petit plaisir simple puis
il croassa plus qu'il ne parla sans s'adresser à l'un de ses compagnons en particulier...
"on doit trouver un moyen de se deplacer jusqu'a l'endroit ou on pourra abattre/controler cette chose, sinon on passera le reste de notre courte vie à se cacher comme des vers"
...il ne dit plus un mots de plus de la journée...
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Comme c'est mignon une IA dans ce petit espace de vie organique. Pour Brise tout ce qui était issu de l'électronique était forcément incompatible avec la vie proprement dite... jusqu'à l'apparition de la race TpT qui représente le point de jonction entre l'électronique et l'organique. C'est rempli de pensées phylosophiques que l'être carboné scannait et parametrait la console de Comm. Un de ses cerveaux au moins bossait pour avancer les choses pendant que les 2 autres bâillaient aux corneilles.
Probablement un moment de repos bien mérité, on pourrais croire que jungle désert ou volcan de toute façon dans sa soucoupe il ne ressent pas l'environnement. .. C'est parfaitement exact. Cependant avec le temps son mélange de gaz liquéfié carbone et ions se sature et devient pollué pour rendre la vie du pauvre blob très désagréable avant de le tuer. Heureusement que les autocook savaient synthétiser des blocs de charbon plus ou moins correct mais sans goût et les système de survie filtrer les gaz sur commande.
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Jim s'était d'embler attribuer une des couchettes. Alors que les uns et les autres avait décidé qui de manger, qui de se doucher ou de bricoler les consoles, lui avait décider de dormir.
Et pas qu'un peu. Au moins ici il pourrait dormir sans être embêté par les insectes géants de cette satanée jungle. Sans se réveiller au moindre bruit suspect.
Il avait bien fait comprendre aux autre qu'à moins qu'une escouade de scorpionautes débarque, il ne voulait pas être réveillé.
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Zelda laissa l'eau chaude de la douche couler entre ses omoplates, et les jets hydro-massant pétrirent son corps : dos, cuisses, bras, lombaires, nuque, mollets, poitrine... Tout en appréciant ces minutes de relaxation, la jeune femme faisait le point sur leur situation... Ils avaient parcouru la jungle au mépris du danger et étaient arrivés dans ce fortin autonome. Le colonel leur avait promis un moyen de sortir vers la coque extérieure... Comment ? Un pod de téléportation militaire ? Une navette ?
Une fois vêtue (elle avait enfilé une tenue réglementaire) elle se rendit à la cantine pour prendre un bon repas avec ses compagnons... Le colonel et ses hommes étaient ici chez eux et la discipline militaire avaient repris du service.
Colonel ! Quelle sera la suite des opérations ? Il nous faut atteindre la coque extérieure et rejoindre notre navire pour décortiquer en détail cette aiguille de données... Comment allons nous procéder ?
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Le colonel se redressa des entrailles de la console de com où il indiquait à Brise les branchements de sécurité qu'il ne fallait surtout pas toucher au risque de déclencher une alarme générale. Il le laissa travailler pendant qu'il répondait aux uns et aux autres.
Zelda Zonk Wrote:Colonel ! Quelle sera la suite des opérations ? Il nous faut atteindre la coque extérieure et rejoindre notre navire pour décortiquer en détail cette aiguille de données... Comment allons nous procéder ?
Si votre décision est toujours de rejoindre la coque extérieure et votre navire, nous avons effectivement des shunt hyperspatiaux sous la surface qui vous permettrons de rejoindre la surface intérieure. Généralement les points d'arrivées sont des temples ou des lieux de culte. Néanmoins nous disposons de quelques points d'accès un peu plus discrets pour introduire des personnes à fin de renseignement ou pour certains membres de la cours impériale qui aiment se mêler à la population primitive ... Le visage du colonel eu un léger rictus de dégout ... pour satisfaire leurs pulsions.
D'ici nous pourrons accéder à un tube de descente sui nous mènera aux installation intérieures.
Il y a effectivement en sous sol de la lune intérieure toute une gamme d'engins, mais seul un varlet nous permettra de nous déplacer correctement raison des fluctuations de la gravité et ces engins sont bien gardés. Enfin, dernière possibilité, les propulseurs gauss : nous disposons de capsules destinées à des escouades complètes, capsules propulsés par impulsions électromagnétiques. Ce moyen de transport est destiné au départ à déployer des troupes et du matériel lourd de manière rapide à la surface intérieur en se passant des téléporteurs qui sont extrêmement énergivores et assez lent. Nous n'avons jamais eu à les utiliser et ils sont assez peu surveillés. Par contre la descente, une fois la ligne de partage de gravité passée, se fait en chute libre, avec ejection et descente finale avec une technologie nt3 : le parachute.
Dom Wrote:"on doit trouver un moyen de se deplacer jusqu'a l'endroit ou on pourra abattre/controler cette chose, sinon on passera le reste de notre courte vie à se cacher comme des vers"
Il se retourna vers le médecin.
Je suis bien d'accord avec vous docteur : Maintenant que nous sommes ici il est aussi simple de continuer de l'avant et essayer de trouver l'IA qui contrôle tout ceci que de revenir en arrière. Mais dans un cas comme dans l'autre je vous aiderai. La décision sera la votre.
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Lorsque Zelda libéra la douche et vint prendre place au réfectoire, Théo tira un plateau empli de récipients fumants du four à induction, et le posa devant le pacha tout en se levant pour aller jeter le sien au recycleur :
"A moi la douche ! Tiens Skipper, je t'ai gardé ça au chaud..."
Il passa lui aussi plusieurs minutes sous les flux bienfaisants de la douche sonique. Il en ressortit propre comme un sou neuf et revigoré, enfila le boxer et le tee-shirt à régulation thermique, puis le pantalon et la veste réglementaires en abestos de qualité militaire, et chaussa les rangers tout en se passant la boule dépilatoire sur le menton et les joues.
Il revint s'asseoir au réfectoire devant un café serré parfumé à la cannelle tandis que le colonel énonçait leurs différentes options.
"Votre système de capsule gauss avec approche finale en parachute a l'air très amusant et je mourrais d'envie de l'essayer. Mais je partage l'avis de Dom. Etant donné que votre compagnie nous permet non seulement d'échapper temporairement au don d'ubiquité de cette IA mais également de ne pas arriver totalement démunis face à elle, je suis d'avis d'aller lui démontrer la supériorité de l'ingéniosité humaine sur les froids calculs d'un esprit désincarné..."
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L'idée de "battre le fer temps qu'il est chaud" n'était pas pour déplaire à Zelda... Ok ! Alors il faut savoir où frapper, et comment... dit Zelda en plantant chirurgicalement sa fourchette dans le pavé de viande synthétique qui jouxtait l'accompagnement de patates et de haricots verts... Dès que l'aiguille de données aura dévoilé ses mystères, nous saurons quoi faire... Zelda trancha la viande d'un seul coups de lame et la porta à sa bouche, elle le savoura avec délectation...
Si tout le monde est d'accord, nous n'avons pas une minute à perdre... Je ne suis pas une championne en informatique ou en base de donnée. Brise et d'autres spécialistes devront s'en charger... En attendant, faisons un point sur notre arsenal et nos équipements. Zelda termina par un dessert sucré à la crème chantilly...
Les heures qui suivirent furent consacrées à l'inventaire du matériel, armes et armures, suivi d'une rapide mais complète formation quant à leur maniement. Zelda se demandait qu'elle pouvait bien être le point faible de l'IA despotique de la Lune Céleste... oO(un gros bouton reset ? un point de restauration ? un programme virus ? une faille de sécurité ?) Elle repensa également à la disparition des blocs mémoires de Kald... Ils étaient demeurés introuvables... Existait-il un lien entre l'IA de la Lune Intérieure et L'IA du vaisseau ? Pourquoi Kald avait-il paniqué ? Avait-il ressentit l'appel dévorant de son âme damnée ?
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[hrp]En attendant que Brise nous dise s'il s'occupe ou pas l'aiguille de données[/hrp]
Zelda Zonk Wrote:En attendant, faisons un point sur notre arsenal et nos équipements.
Le colonel invita ceux qui le souhaitaient à faire un tour dans l'armurerie. Cette dernière était bien approvisionnée : il y avait de quoi équiper une escouade complète de scorpionautes de pied en cape. Armures de combat énergétiques, absestos de qualité militaire, cellules énergétique, communicateurs à neutrino, ordinateurs de combats, drones furtifs, bloc médicaux portables, champ de furtivité individuel et collectif, plasma lourd sur affut, charges d'explosifs, mines, grenades ... il ne manquait qu'un nucleartac autopropulsé. Chacun put prendre, malgré les demandes de confirmation répétées de l'IA au colonel, ce qu'il souhaitait ...
[hrp]considérez qu'il y a tout ce que vous souhaitez en équipement militaire au sens large, individuel et collectif transportable; faite votre liste.[/hrp]
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Le moment est important, aussi c'est avec un florilège d'ondées à la surface de sa structure carbonée qu'il récupéra la fameuse barrette de données. Il l'inséra dans l'interstice prévu et ouvrit le dossier.
Soucieux d'un possible espionnage, il n'envoya pas les données sur le comm de ses collegues mais diffusa les images via un projecteur holo portable qui traine dans le coin pour partager l'avancement son étude. C'est un peu mieux que son écran trivid lorsqu'il y a pas mal de personne au spectacle. Il ne montra que les données clé et compréhensibles car lui même analysait le tout un tantinet plus rapidement.
Par prudence, il produisit un clone de l'aiguille inclus dans son propre HD mais sans le notifier nulle part ni en faire mention. Clone qu'il verrouilla proprement
Dans le même temps il réfléchissait sur l'un de ses cerveaux en se disant que au besoin ils pouvaient détourner l'attention de l'IA... du moins ses sbires en ouvrant l'aiguille dans un lieu choisi ce qui permettrait quelques débordements discrets par ailleurs
A l'armurerie, Brise chercha une unité à type de champs de force qu'il pourrait adjoindre à sa soucoupe pour les coups durs. Il dispose déjà d'un champ de force mais une fissure indique son manque de puissance évident. Il songe donc à le doubler ce sera pas du luxe.
De plus il songe à remplacer sa pile atomique qui a bien morflé dans les marais et pourquoi pas en prendre une de secours
Si le projecteur holographique est suffisamment petit, il le garde dans un coin pour se le greffer plus tard.
Parmi ses trousses, il dispose d'un médiblok chose dont il n'y pense que très rarement va savoir pourquoi. Il le met à jour ce sera ça de gagné.
Il s'empara aussi d'un étourdisseur et un paralyseur.
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Théo prit le temps nécessaire pour s'équiper d'une armure de combat énergétique toutes options.
Il commença par se sangler dans l'exosquelette, puis revêtit la cuirasse légère et confortable, pourtant composée d'un mille-feuilles de protections anti-impact et ablatives, doublées par un champ de force multi-couches activable à volonté. Il laissa de côté le synthéviseur, mais prit soin de charger les logiciels de contrôle de la tenue et les programmes tactiques sur le nanordi de combat monté en brassard, puis vérifia l'appariement de ce dernier avec son plot vertébral, de sorte que son implant neural lui permettait d'accéder instantanément aux données du senseur IRUV, du géolocalisateur et des capteurs audio multispectre, mais aussi d'utiliser le comset à neutrinos pour transmettre ses messages et de surveiller ses propres paramètres vitaux via le logimed intégré.
Il passa une ceinture antigrav et la brancha sur la microchambre à fusion de l'armure, ainsi que le paralyseur de poing fixé sur son avant-bras, le graser d'épaule passé en bandoulière, et le fusil à plasma monté sur le gyro-support de taille. Il garnit les différentes poches de la tenue de chargeurs de rechange pour le paralyseur et le graser, passa un karatapoigne à chaque main, attacha une filépée à sa ceinture, et glissa une vibrodague dans un étui fixé à sa cuisse droite.
Il compléta l'équipement par un drone de reconnaissance et un champ de furtivité individuel.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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