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la lune intérieure - 20 Laplace 1505 TUP
Dès que le grappin fut réenclenché, Jim visa prestement sa nouvelle cible, lui décochant le grappin directement au fond de sa gueule grande ouverte.

et cette fois il désactiva l'enrouleur pour éviter une nouvelle séance de grappin nautique.
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[hrp]Alors, oui, bien que blessé Dom peut encore se relever et tirer, Spoutkin ... pour l'instant tu ne donnes pas signe de vie. En fait tu as disparu ... (la suite dans ta partie privée).

Donc vous pouvez tous tirer : il y en a trois qui sont à portée : un nouveau qui arrive plein pot et qui n'est pas blessé, un autre qui le suit et qui boite et un troisième qui est fixé, aux prises avec le colonel.

A vous, même difficulté pour les jets que la dernière fois.[/hrp]
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Théo ne sursauta pas lorsque les deux nouveaux prédateurs firent leur apparition. Il avait retrouvé son calme.

Il se redressa légèrement, fit quelques pas le corps plié en deux, et termina son mouvement par une roulade sur l'épaule avant de prendre position, un genou à terre, le fusil laser collé à l'épaule.

Son pouce gauche caressa le contrôle tactile de puissance et le régla au maximum. L'oeil collé au viseur, il ajusta lentement, calmement, pendant plusieurs secondes, décomptant mentalement, tandis que les chiffres du télémètre diminuaient et que le bourdonnement de l'arme montait dans les aigus.

5 secondes... Le réticule remonte le long du poitrail du reptile boiteux... 60 mètres...
4 secondes... Le viseur affiche la gueule entrouverte et les énormes canines luisantes de bave... 50 mètres...
3 secondes... Le réticule est sur l'oeil à la paupière fendue de la créature... 40 mètres...
2 secondes... Pas encore... Toujours cet oeil qui ne cille pas dans le viseur... 30 mètres...
1 seconde... 20 mètres... Feu !


L'arme de Théo cracha un puissant faisceau de lumière cohérente qui fusa vers le prédateur avec le vrombissement menaçant d'un essaim de frelons de Perdide-la-Solitaire en dégageant une puissante odeur d'ozone due à l'ionisation de l'air.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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Dom se redressa et tira en catastrophe sur la chose mais vu la douleur et le fait que le colonel était dans sa ligne de mire ,il ne pu exprimer tout le talent qui était le sien....bon avouons le, il avait tiré largement à coté simplement parce que ça fesait un bon bout de temps qu'il n'avait plus taté du terrein, qu'il était fatigué, blessé et que ces bestioles avaient une belle rangée d'argument pointus et coupant en guisse de dents, suffisament pour le stresser... ce bon vieux colonel n'y était pour pas grand chose mais l'admettre n'était pas exactement dans les préoccupations immédiates de notre cher docteur...

[hrp]jet
3d6
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A rater tous ses tirs Brise se dit qu'il allait finir par blesser un compagnon ce serait ballot. Aussi il resta sur une attention accrue guettant une opportunité facile
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Mmmmmh, mmmmh MMMH... mmh mh !!... ou pas Wink
La cathédrale sentait le chocolat
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Avisant la scène de crime Brise se rends compte que Spoutkin a disparu. Il lui avait bien semblé à un moment qu'il était au contact d'une créature mais il n'était toujours pas réapparu.
Au moins ça il pourra le faire sans risque. Il s'approche du lézard incriminé avec son bras plasma. Si la bete bouge encore il lui enfonce sa torche dans la nuque ... même si elle ne bouge plus d'ailleurs.
Ensuite il va examiner si quelqu'un est dessous ou se cache derrière sans considération pour le spectacle environnant
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Des faisceaux d'énergie zébrèrent l'air, le ionisant. Si certains de ces traits de lumière cohérente se perdirent, ouvrant dans la végétation des tranchées fumantes certains tirs frappèrent leur cible ... Le colonel fouetta l'air de son arme qui s'enroula autour du cou cuirassé de la créature qui lui faisait face; d'un monstre il en fit deux dans un geyser de sang.

Les autres n'eurent pas plus de chance, fauchés en plein élan qui par un tir d'arme énergétique, qui par un grappin harpon ... les monstrueuses bêtes s'abattirent dans une fumée nauséabonde de chair calcinée, faisant trembler le sol lors de leur chute.

Le silence revint dans la forêt et la faune un instant silencieuse lors de l'affrontement reprit avec timidité d'abord, puis avec entrain sa dance de vie et de mort.

tous purent se redresser et se remettre de leurs émotions ... tous ? Heu, une minute ... où était Spoutkin ?
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Lorsque le silence revint, Brise était en route vers la dernière fois où il avait vu Spoutkin, c'est à dire alentour direct de la bête qu'il a négocié.
Le TpT avait son découpeur à fusion actif en s'approchant. L'animal était peut être agonisant et disposé à des réactions imprévisibles. Cela dit à part un -"."- toute créature est... imprévisible.

Après avoir enfoncé sa lame en fusion à la base du cou, Brise se mit à la recherche du disparu. Serait il possible qu'il soit écrasé sous le cadavre ?
Brise accrocha donc le filin de son treuil à la patte griffue et prenant comme déport de force le tronc d'un arbre, il enclencha le treuil.
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la créature était morte, encore tiède mais totalement immobile.

Brise se verrouilla solidement au sol, crocheta son grappin et enclencha son treuil. L'enrouleur diamanté tourna et Brise observa dans son interface l'indicateur de traction varier jusqu'au rouge : il était en limite de charge ... la carcasse se souleva, de quelques dizaines de centimètres.

Les capteurs TpT furetèrent sous le corps à la recherche d'un Spoutkin tout plat.

Non, rien de cela. Il fit sortir un tentacule du sommet de sa soucoupe pour avoir une meilleur vue : là entre deux troncs d'arbre couché, le valeureux Spoutkin reposait. Si les troncs l'avaient protégé d'un écrasement certain, il ne semblait pas en grande forme. Il était gisait inerte, maculé de boue.
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