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Jonction – 28 Kepler 1505 TUP
#21
D'unevoix croassante.

On sentait nettement la panique qui m'envahissait.... tant de douleur et de souffrance qui remontaient à la surface. Je revoyais ma femme et mon fils.
Le contact de la main de Théo eut l'effet escompté et me donna la force de revenir sur terre et de me calmer.
[Hors rôleplay dois je faire un jet pour savoir si je peux le localiser?]
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#22
[hrp]Comme je te le disais, tu as eu l'impression de sentir de manière fugitive cette odeur. Elle a disparue. Mais maintenant, je suis à ton écoute quant à la manière dont tu pourrais retrouver la piste, si tenté que ce n'est pas ton imagination qui t'ai joué e un tour. Une fois que tu m'auras donné ta méthode, que tu me l'auras décrite, je te donnerai un jet de dés à faire, favorisé si tu fais preuve d'imagination, de logique ...[/hrp]
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#23
Reprenant mon calme je jetai des regards circulaires
Puis je me rassis sur la chaise regardant le bol de cidre.

Je fixai longuement Théo.
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#24
Le visage de l'esclavagiste était resté gravé à l'acide dans la mémoire du Ballik. Aucune chance pour qu'il ne puisse l'oublier, ni aujourd'hui, ni jamais. Il en était de même pour son odeur.

Bruhuk se leva donc et commença à déambuler entre les étals, les cahutes de bric et de broc, à la recherche de cette odeur. Avec une certaine logique il remontait le vent, si tenté que l'on puisse parler de vent dans une structure artificielle.

Sur une des parois de grands ventilos pulsaient l'air, dans une technologie NT3 antique bricolée avec les moyens du bord. Il remonta la piste ... [hrp]4d6 avec un bonus de +2 sous perception ou, au choix, sous intelligence + orientation ou intelligence + survie.[/hrp]
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#25
MdJ Wrote:Hél Frang, gir, aki ol sec. Sirty ?

C'était le langage secret du clan... Composé d'un mélange d'InterGal déformé, d'une bonne dose d'expressions empruntés à l'argot des Voleurs des Mondes frontières, et de mots purement et simplement imaginés par Jeanjee et la bande quant ils étaient enfants... Zelda aimé ce dialecte comme une langue maternelle... Les mots lui revinrent sans difficultés. imperceptiblement sa voix prit un accent gutturale, un son qui vibrait au fond de la gorge, et légèrement trainant sur la fin : Mag Broth ! Sist an'oc... Mag mab ! Répondit-elle.

MdJ Wrote:Elle se tourna vers le reste de l'équipage. Bon, JeanJee voudrait me voir en privé. Je vais l'accompagner pendant une petite demi-heure pour rencontrer le reste de la bande. Restez dans le coin en attendant, faites connaissance avec le secteur. Je vous contacte toutes les dix minutes pour vous rassurer et m'assurer que tout se passe bien.

Elle termina son verre alors que JeanJee se levait. A tout à l'heure. Elle suivit sur ces entrefaites JeanJee qui s'éloignait nonchalamment.

Jeanjee et Zelda parcoururent nonchalamment les corridors et les couloirs des bas-fonds. Ils se frayèrent un chemin au travers un monde où la misère et le désespoir, côtoyait l'exubérance et la folie artistique... Les bas-fonds c'était avant tout des odeurs, des bruits, des couleurs, des accents cosmopolites, des mouvements et de l'agitation... On pouvait y croiser tout aussi bien des mendiants emmitouflés dans des couvertures crasseuses, que des dandies arrogeant fringués à la dernière mode... En guise de logement, certains abris de fortune n'étaient rien d'autre que de simples bâches en plastiques tendues entre des tuyaux couverts de rouilles humides... D'autres avaient assemblé des caissons et souder des containers réformés pour former d'invraisemblable baraquements qu'ils louaient à prix d'or...

Une pièce pour un vieux soldat... lui réclama un vieille homme surgit de nul part, bien moins âgé qu'il n'y paraissait. Zelda devina sous les plis du vieux battle-dress délavé et déchiré qui cachait ses formes, l'extrême maigreur de ses membres. L'homme avait le teint gris, les dents translucides et la cornée des yeux voilée par un masque orangâtre... Un accros à la "fleur"... Foutu... La drogue en aura fini avec lui dans quelques mois...

Après 15 minutes de marche, Jeanjee et Zelda débouchèrent dans une partie de la station un peu plus tranquille. Jeanjee souleva un rideau de perle noires et entra dans une pièce meublée avec élégance. Assise confortablement sur un large sofa en cuir de Tantal de Rigel, une jeune femme à la beauté resplendissante patientait en feuilletant distraitement un TriDmag de mode Primane...

Zeli, s'écria t-elle en abandonnant sa lecture... Les deux jeunes femmes s'embrassèrent avec affection. Laisses moi t'voir, Sist... Comme t'es belle... T'es une femme, nam !... P' t'être un peu trop musclé, un vrai gars manqué... Et vises moi un peu c'te dégaine... C'est pas comme ça qu'tu vas abibocher les galants...

Zelda sourit
Y peuvent toujours courir, nam !... Symp la déco, Sist !...
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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#26
Théo observait le manège de Bruhuk avec attention. Lorsqu'il le vit s'éloigner, bougeant la tête dans toutes les directions comme pour s'assurer que ses récepteurs olfactifs ne manqueraient pas la moindre trace de phéromones suspectes, il se tourna vivement vers Mama Felit et lui demanda :

"Il y a des esclavagistes qui descendent par ici ? Vous savez dans quel coin ils traînent ?"

Il garda un oeil sur Bruhuk tout en écoutant la réponse de la propriétaire du bistrot, bien décidé à le rejoindre et à l'aider dans sa recherche lorsqu'il aurait obtenu quelques informations.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#27
Jim aussi s'était levé de table et collait au plus près de Bruhuk. Il s'agirait pas que dans un accès de rage il fasse une bêtise.
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#28
Comme en transe je cherchais, captivé et bloqué sur cette sensation odorante.
Plus rien ne comptait pour moi il fallait que je trouve ce pourri.
Grommelant sans cesse et de façon plus rauque
Théo me suivant sachant que dans cet état aucun stimulis ne pouvaient me faire réagir .
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#29
Il semblait que Bruhuk était pour le moins énervé, ou en colère ou les 2.
Brise ne savait que faire d'autre que suivre de pas trop loin car les Kiffs pourraient facilement tenter une embuscade d'autant qu'il n'en avait point vu encore dans le coin.
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#30
@Bruhuk et à ceux qui l’accompagnent :

Bruhuk reniflait, s’arrêtait, prenait de grande respiration en tournant là tête d’un coté et de l’autre. La source s’approchait.

Au détour d’une ruelle fait de conteneurs entassés, soudés, reconvertis en logements, ils parvinrent à la paroi sur laquelle s’ouvraient, les uns au dessus des autres trois grands ventilateurs.

L’on avait peint sur la paroi, à hauteur du ventilateur le plus bas, une grande figure humanoïde, dont la tête se situait au niveau des pales qui tournaient lentement, brassant l’air. Une créature bleutée, à six bras, dont l’œil unique ornait l’axe du dispositif. Un dieu accroupi ? En tout cas s’était un lieu de culte, pour l’heure désertés, mais la présence de petites coupelles posées au sol renfermant offrandes symbolique, nourriture, boisson, petits papiers, cendres, jouets ne laissait pas de doute.

Les yeux globuleux de Bruhuk se levèrent au niveau du ventilo : l’odeur venait de l’autre coté. Il en était certain … Soudainement l’odeur, comme si l’on avait tourné un interrupteur, se coupa. Il renifla encore et encore, perçu brièvement une effluve discrète, puis plus rien.

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@ Zelda :

Après avoir retrouvée son amie, les embrassades terminées on la fit assoir et on lui servit « le poison de son choix » comme aimait à l’appeler Jeanjee. Ce dernier lui demanda : te voilà drôlement accompagnée … y a un porte flingue à vue de nez qui cause pas, et l’autre le zarbi qui renifle à tout va. Bref, drôle de mecs. Il haussa les épaules.
Bon, tu voulais quoi frangine ? En quoi on peut t’aider ?
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