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Le vibreur de Spoutkin sonna. Il se leva rapidement et avant qu'il ait eu le temps de sortir fût rejoint par Hicks qui était porteur de mauvaises nouvelles :
Leur prisonnier avait fait un arrêt cardiaque pour une raison inconnue. Il l'accompagna dans une infirmerie de campagne NT6, visiblement un modèle appartenant à un varlet militaire Cygnan d'après les marquages du matiériel. Dans une cuve de gel bleuté, leur prisonnier flottait, le torse ouvert alors que des bras micro-manipulateurs procédaient au remplacement de son cœur par un modèle artificiel.
A mon avis vous pouvez vous recoucher ... il y en a pour plusieurs heures. Une sorte de bombe à retardement biologique semble-t-il : il a été implanté dans son organisme au niveau cellulaire des mécanismes qui s'ils n'ont pas leur dose de produit spécifique ... meure. Le cœur a été le premier touché, mais visiblement les muscles respiratoires sont les suivants. Il désigna les hommes en blanc en train de s'agiter autour de la cuve. Nous essayons de trouver la substance qui pourrait inhiber le mécanisme. Mais pour l'instant nous faisons choux blanc. Tout au plus parviendrons nous à le maintenir pour un ou deux jours.
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Une voix familière retentit derrière Spoutkin et Hicks :
"Je pense qu'on devrait pouvoir le maintenir un peu plus longtemps, pas vrai Zelda ? Et une fois qu'il sera sur pieds, je me ferai fort de le rendre très coopératif." déclara Théo Calderon d'une voix sûre.
Il faisait bien entendu référence au paquet de nuka-gum entamé que Zelda avait trouvé sur le corps de l'informaticien empalé sur un longeron dans l'épave du vapocar des ravisseurs de Dom. Il était fort probable que l'inhibiteur du poison biologique en train de tuer le prisonnier se trouvait mélangé à la gomme à mâcher.
Il fit un signe de tête au Secrétaire de l'Ombre, et serra amicalement la main de leur pilote :
"Salut Spoutkin ! Ca gaze ?"
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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[Hors rôleplay désolé les amis suis perdu avec ce décalage temporel..... surcharge de boulot car mon chef n'est pas là donc suis crevé....j'avoue que je suis perdu et ai du mal à suivre le fil...]
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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[Bon me replonge dans le fil ça risque d'être un peu incohérent pour moi]
Sortant de derrière de Théo timide me dandinant
Machouillant une racine sentant le réglisse.
Je lève la main et salue l'Assemblée
>
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[hrp]pour Bruhuk et ceux qui ont du mal à suivre, résumons :
Après les évènements de la digue et le combat autour des vapocars vous avez réussi à faire un prisonnier, l'homme qui avait enlevé Dom.
L'équipage s'était alors séparé en deux : Spoutkin avait accompagné monsieur Hicks vers un lieu de détention (un cuirassé de guerre) ou le prisonnier devait être interrogé. Pendant ce temps le reste de l'équipe s'enfonçait dans le marécage afin de trouver l'épave de la navette minière et éventuellement tendre un piège à leurs ennemis qui avaient réussi à s'enfuir. Au petit matin, la navette avait été remise en état de vol par Bruhuk, envoyé en orbite. N'ayant plus rien à faire dans les marais Bruhuk et le reste de l'équipage avaient rejoint Spoutkin à bord du cuirassé. L'interrogatoire n'avait pas put encore avoir lieu : le prisonnier avait fait un arrêt cardiaque, gravement empoisonné ... il est actuellement entre la vie et la mort.[/hrp]
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[hrp]De retour après la rentrée et les bouleversements afférant ...[/hrp]
Dom était fatigué, en partie à cause de l'affrontement de la veille mais aussi de la nuit sans sommeil qu'il venait de passer, il se sentait vaporeux comme si une bourrasque de vent pouvait l'assommer.
Il avait donc suivi le groupe sur le dirigeable puis s'était affalé dans un coin pour faire une sieste bien méritée selon lui, laissant les considérations stratégiques aux personnes compétentes. Bercé par le ronronnement des moteurs, il s'endormit et ne réémergea qu'au terme du voyage lorsqu'on le secoua pour qu'il se réveille.
Il courut donc demander de quoi se changer, puis ramassa quelques restes qu'il engloutit aussitôt. Finalement, il descendit l'échelle de corde vers le lieu de détention en bon dernier avec un morceau de viande séchée entre les dents. Le résultat des courses : il était en forme mais il avait mal au cou depuis son réveil, ses affaires étaient propres mais il avait l'air d'un adulte qui avait voulu remettre son uniforme de scout ...
Dom avait bien sûr écouté le discours du Secrétaire et comme souvent, ses oreilles s'étaient dressées lorsqu'on lui avait annoncé que le prisonnier avait été empoisonné.
[Assuré]
S'il s'agit d'un problème médical, je pense pouvoir vous aider. Je ne suis pas un spécialiste en la matière mais j'ai eu une bonne formation et pas mal d'expérience sur des dispositifs vicieux de ce genre. Qu'en dites - vous ?
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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A bord du cuirassier....tout fou encore une nouveauté pour moi.....
Une phrase résonne dans ma tête incessante
....salle des machines.....
Me tournant vers les autres.....
>
Puis vers le DOC...
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Mu par ses puissants moteurs électriques, le "cuirassier du ciel" accéléra l'allure. Grace à l'habile connaissance des courants aériens de son habile commandant, ils rejoignirent, en un temps record, un autre navire ; lui glissant sur les océans...
Commandant, ce fut un plaisir... Félicitation à l'équipage.
Zelda descendit facilement l'échelle de corde et mit pieds sur le pont du cuirassier de type dreadnought. Les semelles de ses bottes battirent le blindage du bateau, d'un son mat... Le vent du large s'empara de sa chevelure et lui recouvrit le visage... D'un geste de la main, elle disciplina les mèches rebelles et contempla les quatre tourelles doubles "all-big-gun" de 15 pouces. Elles étaient remarquables. Leurs bouches menaçantes étaient, pour l’heure, encapuchonnées de cuir et impeccablement alignées dans l'axe avant et arrière du navire. Sur le pont principal, Zelda aperçut une bonne vingtaine de pièces secondaires disposées dans des barbettes et des casemates blindées.
Sans plus attendre, elle fut accueillie par Hicks et fut menée, avec ses compagnons, dans la citadelle centrale, puis conduite dans les cales aménagées où elle retrouva Spoutkin et fit la connaissance de Kiu...
Tout va bien Spoutkin ? Heureuse de te revoir… Comment se présente les choses ?
Theo Calderon Wrote:"Je pense qu'on devrait pouvoir le maintenir un peu plus longtemps, pas vrai Zelda ? Et une fois qu'il sera sur pieds, je me ferai fort de le rendre très coopératif." déclara Théo Calderon d'une voix sûre.
Zelda présenta le paquet de nuka-gum...
Je l'ai découvert sur le corps sans vie de l'un de nos agresseurs... J'espère qu'il contient l'inhibiteur de métabolisme qui stoppera ou tout au moins ralentira les effets destructeurs de la bio toxine... Il faut faire vite... Dom ! Zelda lui tendit paquet.
A vous de jouer...
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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montrant clairement que je m'ennuyais et que l'inactivité n'était pas bon pour moi....
Un grognement....puis %oups% un humm humm dans le genre je me racle la gorge en profondeur....
Me dandinant une grosse clé à molette à la main que j'avais négocier avec un des mécaniciens du bord croisé dans une coursive.
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