2015-06-14, 03:56 PM
Transport Mixte de classe V : le Pélican
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Le Pélican est un cargo mixte de grande capacité en exploitation depuis 250 ans dans le secteur VI et VII de l’Empire sous le pavillon de la Compagnie des Messageries Impériales.
La compagnie exploite actuellement 122 Pélicans qui font l’objet d’une location longue durée de la division Novae.
En effet cet appareil est un ancien appareil militaire développé sur appel d’offre de la division Novae et des Scorpionautes en 9610 pour un transporteur lourd multi-usages sous le nom d’Astrolabe.
Au terme de l’appel l’offre et des tests conduits par l’Armée c’est le projet des chantiers Pergol et Jesper de Camihold V qui fût retenu. Le contrat initial portait sur la construction de 600 appareils destinés pour deux tiers à la division Novae et pour le reste aux Scorpionautes.
Les appareils initiaux furent livrés en trois versions distinctes sous le nom d’Astrolabe A, B et C.
L’Astrolabe A était un porte chasseur, transportant vingt appareils lourds et des réserves Antimatière pour leur ravitaillement. L’Astrolabe B était un navire d’assaut, transportant soldats en hibernation et véhicules de débarquement lourds. Sa version C était un navire usine destiné, à servir de base mobile de soutien et de réparation.
Le cahier des charges initial prévoyait un moteur Varlet à haut rendement capable de propulser l’engin à 8 AL/H, de réserves AM offrant une autonomie améliorées. Ces résultats furent obtenus au prix d’un nombre de batteries défensives réduites, ce qui fut tout au long de la carrière de ce navire un de ses points faibles.
En 9650 une nouvelle commande pour 2000 appareils complémentaires fut passée, et produite par les chantiers Pergol et Jesper et par les chantiers Komet sous licence. Ces appareils furent acquis pour 80 % par la division Novae et pour 20% par les Scorpionautes. Pour ces derniers une nouvelle version vit le jour : l’Astrolabe D.
La version « D » était un navire profondément modifiée, re-motorisée par un varlet de marque Pratt lui permettant de filer à 9 Al/H en transportant 8 chasseurs, quatre barges de débarquement, 24 formecs lourds, 200 soldats et disposant de vastes soutes pouvant être facilement transformés comme réservoir d’antimatière. Les 192 navires initiaux survivants encore en possession des Scorpionautes furent au cours des années suivantes transformés en modèle « D ». Ils sont toujours en dotation au sein du corps, faisant l’objet régulièrement de mises à jour matérielles et de refontes.
En 9820 la division Novae retira du service actif ses Astrolabes encore en service. 1000 appareils furent préparés et stockés en réserve dans les arsenaux de Vulcania et d’Héphaïstos. 200 appareils furent démantelés pour leurs pièces détachées. 500, après avoir été désarmés, furent vendus à des compagnies à fin de démantèlement ou, dans quelques rare cas, pour exploitation sur des lignes commerciales. Une centaine d’appareils furent préemptés par divers services civiles de l’Administration Impériale.
La compagnie régionale des Messagerie Impériale obtint les 125 appareils restant : ils firent l’objet d’un contrat de location de longue durée et leur aménagement intérieur fit l’objet d’une profonde refonte. Ils prirent dés lors le nom de Pélican. Si l’on conserva les hangars qui servent aujourd’hui aux navettes passagers, les espaces de stockage afin d’embarquer le fret nécessaire aux colonies visitées, les cloisons blindées, des batteries d’armes firent place à de confortables installations, jardin d’agrément et restaurants panoramiques.
L’on peut observer et visiter des Astrolables de Type A et B au musée de la guerre de Prima. Ce sont hélas des coques vides, leurs moteurs Varlet et leurs batteries de fleur de la mort ayant été démantelées et récupérées.
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Le Pélican est un cargo mixte de grande capacité en exploitation depuis 250 ans dans le secteur VI et VII de l’Empire sous le pavillon de la Compagnie des Messageries Impériales.
La compagnie exploite actuellement 122 Pélicans qui font l’objet d’une location longue durée de la division Novae.
En effet cet appareil est un ancien appareil militaire développé sur appel d’offre de la division Novae et des Scorpionautes en 9610 pour un transporteur lourd multi-usages sous le nom d’Astrolabe.
Au terme de l’appel l’offre et des tests conduits par l’Armée c’est le projet des chantiers Pergol et Jesper de Camihold V qui fût retenu. Le contrat initial portait sur la construction de 600 appareils destinés pour deux tiers à la division Novae et pour le reste aux Scorpionautes.
Les appareils initiaux furent livrés en trois versions distinctes sous le nom d’Astrolabe A, B et C.
L’Astrolabe A était un porte chasseur, transportant vingt appareils lourds et des réserves Antimatière pour leur ravitaillement. L’Astrolabe B était un navire d’assaut, transportant soldats en hibernation et véhicules de débarquement lourds. Sa version C était un navire usine destiné, à servir de base mobile de soutien et de réparation.
Le cahier des charges initial prévoyait un moteur Varlet à haut rendement capable de propulser l’engin à 8 AL/H, de réserves AM offrant une autonomie améliorées. Ces résultats furent obtenus au prix d’un nombre de batteries défensives réduites, ce qui fut tout au long de la carrière de ce navire un de ses points faibles.
En 9650 une nouvelle commande pour 2000 appareils complémentaires fut passée, et produite par les chantiers Pergol et Jesper et par les chantiers Komet sous licence. Ces appareils furent acquis pour 80 % par la division Novae et pour 20% par les Scorpionautes. Pour ces derniers une nouvelle version vit le jour : l’Astrolabe D.
La version « D » était un navire profondément modifiée, re-motorisée par un varlet de marque Pratt lui permettant de filer à 9 Al/H en transportant 8 chasseurs, quatre barges de débarquement, 24 formecs lourds, 200 soldats et disposant de vastes soutes pouvant être facilement transformés comme réservoir d’antimatière. Les 192 navires initiaux survivants encore en possession des Scorpionautes furent au cours des années suivantes transformés en modèle « D ». Ils sont toujours en dotation au sein du corps, faisant l’objet régulièrement de mises à jour matérielles et de refontes.
En 9820 la division Novae retira du service actif ses Astrolabes encore en service. 1000 appareils furent préparés et stockés en réserve dans les arsenaux de Vulcania et d’Héphaïstos. 200 appareils furent démantelés pour leurs pièces détachées. 500, après avoir été désarmés, furent vendus à des compagnies à fin de démantèlement ou, dans quelques rare cas, pour exploitation sur des lignes commerciales. Une centaine d’appareils furent préemptés par divers services civiles de l’Administration Impériale.
La compagnie régionale des Messagerie Impériale obtint les 125 appareils restant : ils firent l’objet d’un contrat de location de longue durée et leur aménagement intérieur fit l’objet d’une profonde refonte. Ils prirent dés lors le nom de Pélican. Si l’on conserva les hangars qui servent aujourd’hui aux navettes passagers, les espaces de stockage afin d’embarquer le fret nécessaire aux colonies visitées, les cloisons blindées, des batteries d’armes firent place à de confortables installations, jardin d’agrément et restaurants panoramiques.
L’on peut observer et visiter des Astrolables de Type A et B au musée de la guerre de Prima. Ce sont hélas des coques vides, leurs moteurs Varlet et leurs batteries de fleur de la mort ayant été démantelées et récupérées.