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Oz - 20 Kepler 1505 TUP - Le départ
#71
Lorsque Spoutkin sortie de sa cabine il eu tout d'abord un geste de recul et enleva prestement le filet qui plaquait sa moustache sur ses joues (un secret de fabrication qui ne regardais personne). Puis comme il venait de prendre connaissance du message de Théo.
|( L'archéologue bavait à n'en pas douter à l'idée d'approcher une de ces pièces.

Les personnes présentes à la "collation" qu'il avait préparé, avaient l'air d'apprécier ses diverses attentions.
Il se servit un jus de fruit (selon lui un pilote digne de ce nom ne consomme pas de produits déstabilisant la psychoperception, trop dangereux pour la sécurité des passagers) et salua Dame Zelda en tendant son verre vers elle.
Smile J'espère que tout est comme vous le souhaitiez Capitaine

Puis, se penchant à l'oreille de Théo, il lui dit dans un murmure :
|( Ne tombez pas dans le piège de l'archéologue. Ca pue à 15000 mon ami.

Il s'assit avec ses compagnons et un petit sourire au coin de lèvres il revit une image de ses souvenirs :
Wink C'est amusant les coïncidences, je me rappelle que M. Jones s'asseyait souvent là ou s'est installé Dame Zelda.

Puis perdu dans ses pensées :
:^) Han et Lando s'asseyaient toujours face au couloir principal du Faucon, histoire d'avoir un oeil sur l'entrée. Tiens, note pour plus tard : qui est le propriétaire précédant Lando ?
La cathédrale sentait le chocolat
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#72
MdJ Wrote:[Quatre heures avant l’arrivée dans le système de Bilbo]
Elle se redressa s’étirant. Elle récupéra l’affiche et la roula. Consultant son chrono elle s’exclama : tu as vu l’heure ? On a juste le temps de se rafraichir pour le repas de la commandante. Elle s’approcha et lui fit une bise sur la joue. Merci encore. C’est superbe. Elle se dirigea ensuite vers la sortie qui s’ouvrit automatiquement avant qu’elle n’y arrive. Elle se retourna avant de disparaitre en direction de sa cabine : on se voit tout à l’heure ok ?
Ce bisou, Oslar n'en revenait pas. Il se pétrifia et resta muet comme une carpe, voyant la tekno disparaitre. *Il se sentait tout chose à l'idée qu'il avait passé une nuit entière avec quelqu'un sans s'ennuyer à aucun moment, sans faire de gaffe, et en étant lui-même... Et il se sentait quasi autant à l'aise avec qu'avec un logimec... Jamais il n'avait ressenti ça pour un humain...
(sans s'en rendre compte, en réfléchissant, il se caressa la joue, comme pour retenir la sensation de ses lèvres sur son épiderme...
Ca marchait comme ça les relations humaines?
Il suffisait d'écouter, de rendre service et on était récompensé, et quelle récompense...
En plus il avait eu l'impression d'être utile à Léa, et chose rare, malgré le fait qu'ils se retrouvent quasi épaule contre épaule un certain nombre de fois, il ne s'était senti ni en danger, ni mal à l'aise... Il faut dire que la plupart du temps, ils parlaient technique...
Il serait capable de boire les paroles de Léa pendant des heures, et leur collaboration pourrait leur être profitables à tous les 2... Puis ses yeux...

Le buzzer le tira de ses réflexions. Machinalement, il contrôla les panneaux de contrôle, tout allait bien.
Et il avait oublié de lui parler de ses projets... Ca permettra de la revoir, et de continuer à discuter. Il ferait tout pour pouvoir revivre en boucle cette nuit... Et surtout le petit bisou.
Et entre l'habitude de la nuit et son état si particulier, Oslar serait capable d'aller défier Dom...Enfin, s'il avait qques centimètres de tour de bras supplémentaires... Et c'est en sifflotant qu'il se dirigea en direction de sa cabine.
Il faudrait qu'il écume les bases de données pour savoir comment se comporter avec les humaines, car il n'avait jusqu'à présent pas trop de succès de ce côté là... Qu'il aurait aimé avoir l'aisance de Léa... Il l'en admira que plus...

Il alla même jusqu'à se raser entièrement la barbe... Il ne garda qu'un duvet de 2-3 mm, comme sur le reste de son visage... Même si vu la vitesse de repousse de ses poils fera qu'après sa sieste il aura repris sa pilosité normale... On ne sait jamais... Si ça plait plus à Léa...

MdJ Wrote:[hrp] Donc tout le monde se retrouve au repas de la commandante. Vous arrivez dans l’ordre de vos posts.[/hrp]
Oslar s'était pomponné, avait changé ses vêtements et c'est avec des vêtements repassés et un peu plus de déodorant que d'hab qu'il arriva dans la salle commune.
L'ordinateur avait détecté pendant sa douche sonique une tension légèrement plus élevée et un rythme cardiaque plus élevé que depuis qu'Oslar était à bord et ajouta discrètement un léger régulateur de tension dans le café (qu'il déconseilla à Oslar ce matin) qu'il servit quand même. Oslar avait pour habitude de se servir un café tous les matins , histoire de faire comme les autres, mais il s'agissait de l'équivalent de son repas du soir. Il l'accompagna donc d'un solide sandwich, d'un yaourt nature, d'un jus de fruit vitaminé et d'une part de cake aux fruits en temps que dessert...

Oslar arriva sur ces faits dans la salle commune... Et fait rare, avec un large sourire...

[hrp]Comme Oslar devrait prendre pas mal de temps à se pomponner, même si le post arrive dans les premiers, je pense qu'Il arrivera alors qu'une bonne moitié des gens seront là... Es-ce que Léa est déjà assise quand il arrive? Si oui, ça risque de lui poser un gros problème métaphysique, selon la place qu'elle aura choisi... Surtout si c'est à côté de Dom...[/hrp]
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#73
Après avoir quitté le hangar et les bestioles qu'il avait aidé à réveiller Dom retourna dans sa cabine et soigna un peu son apparence. Après un passage sous la douche sonique, il se coiffa et se rasa : à la manière de la classe supérieure de sa planète natale, une courte natte à l'arrière du crane et le reste du visage entièrement rasé, barbe et sourcils inclus.

Ceci étant fait, il se vêtit d'un uniforme fraichement nettoyé et se dirigea vers le salon pour participer à la petite réception. Il salua à peu près tout le monde, sauf Oslar bien entendu qui fit tout pour rester hors de portée. Il but et mangea assez peu, il avait peu faim et l'alcool ne lui faisait rigoureusement aucun effet : des litres d'éthanol pur auraient été nécessaires pour qu'il ressente un début d'ivresse c'était l'unique effet secondaire son "traitement".

Dom en profita donc pour "sociabiliser" avec les passagers, il tâcha de les saluer un à un et de discuter de leur spécialité et de les féliciter. Il demanda des nouvelles des petits chiens, à un moment il essaya de discuter musique avec Léa et le poète fou Mel.

[Interrogatif]

Alors si j'ai bien compris, dans votre spectacle vous avez de très belles créatures bien dressées qui agissent, mais au delà de ça qu'elle est la musique derrière cela, comment créez-vous un poésie à partir des mouvement d'un animal ?
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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#74
Bien que Dom ne le salua pas, sur son passage, Oslar fit un signe de tête et se fendit même d'un timide "Salut Don" apparemment dans le vide... Soit il n'avait pas entendu, ce qui est fort possible, soit il ne voulait pas entendre, ce qui est aussi possible... (S'il pensait le brimer, ce ne serait pas aujourd'hui! Dit-il en commençant avidement son petit déjeuner...
Une pensée le fit sourire : "Il faudrait peut-être que j'aille lui parler... Il a l'air un peu asocial... Mais peut-être qu'avec la bonne médication il se décontracterait..." ^^
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#75
Spoutkin Wrote:Puis, se penchant à l'oreille de Théo, il lui dit dans un murmure :
|( Ne tombez pas dans le piège de l'archéologue. Ca pue à 15000 mon ami.

Théo dévisagea brièvement le premier pilote et lui répondit sur le même ton, le menton tendu en direction des éventuels passagers déjà présents :

"On en reparlera plus tard, si tu veux bien..."

Il se déplaça en direction des buffets dressés le long de la paroi, commença à se composer une assiette tout se présentant à ceux de leurs hôtes qui se trouvaient sur son chemin.
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#76
Le regard de Zelda s'était perdu dans l'abîme infini de l'espace lorsque ser Spoutkine arriva. Zelda admira l'allure "vielle Empire" du Naviborg. Spoutkine ressemblait à un naute tout droit sortit d'un holoalbum de famille. Le torse bombé, le dos droit... et cette magnifique moustache !

Quelques secondes plus tard, ce fut au tour d'Oslar d'entrer... Tout guilleret... Le mécanicien en second était de bonne humeur ! un parfum subtile marquait son sillage ! Zelda lui lança un clin d’œil...

Sur ses pas, Dom arriva ... Il avait revêtu un uniforme tiré à quatre épingles... Il ne manquait plus que Jim et Bruhuk... Quant à leur hôtes, ils arriveraient sans doute ensembles ! Zelda ne serait d’ailleurs pas surprise qu'ils fissent une entrée "artistique"...
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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#77
Zelda Zonk Wrote:Quelques secondes plus tard, ce fut au tour d'Oslar d'entrer... Tout guilleret... Le mécanicien en second était de bonne humeur ! un parfum subtil marquait son sillage ! Zelda lui lança un clin d’œil...
Par contre le clin d'oeil que Zelda fit à Oslar le plongea dans des abimes de perplexité... Il en oublia son sandwich un instant... Es-ce que la tekno avait parlé à Zelda de moi? Je ne savais pas si les femmes parlaient beaucoup entre elles... Puis Oslar décida que si elle avait parlé de lui à Zelda, c'est que je devais être important à ses yeux, et si ça venait du fait qu'il était un peu mieux habillé qu'à l'accoutumé, c'est que Léa s'en rendrait compte aussi... Dans les 2 cas, ce serait bien, et donc après avoir encore agrandi la banane sur son visage, il fit un clin d'oeil à la jolie commandante, et mordit de plus belle dans son sandwich qui était toujours le même que tous les matins, mais qui avait ce jour là un goût particulièrement savoureux...
Il faudra que je potasse des hypno-formations sur la psychologie humaine, et les rapports homme/femme à la prochaine escale...

Oslar s'était installé comme à son habitude vers la sortie, sur une table où il était seul, et l'air de rien, écoutait toutes les conversations qui ne tournaient qu'autour de nos passagers... Mais Oslar se dit qu'aucun de ses compagnons n'avait connu le contact épaule contre épaule d'un de nos invités, et encore moins un bisou sur la joue... Et les conversations passèrent au second plan...
Un instant à cette idée sans s'en rendre compte il perdit sa posture habituelle (dos vouté, l'air de s'excuser d'exister), et bomba un peu le torse... Puis revint à sa posture habituelle, ses pensées reprenant un autre cours...
Il pensa aussi "Oslar, regarde toi! Elle ne s'intéresse qu'à toi que pour tes connaissances... Rêve pas, tu es trop moche pour elle... Puis elle, c'est un ange... Trop belle, trop intelligente, trop tout pour toi..." (soupir). Un instant son sourire s'effaça progressivement...
... Et revint petit à petit : elle l'avait choisi, et pas Bruhuk... Et pis elle a pas eu l'air de s'ennuyer... (gros soupir d'espoir). Il aurait aimé être plus à l'aise avec les autres (comme Léa... ha Léa... Quel beau prénom!) et pas affublé de ce physique à la noix... Un moment il envia Spoutkin... Il aurait aimé avoir sa prestance, son assurance, l'air de marcher comme s'il était l'empereur lui-même...
Qu'es ce qu'il aurait aimé pouvoir se faire refaire entièrement. A commencer pouvoir grandir de 10 cm, de manière à ne pas être le nez quasi à la hauteur de sa poitrine... puis il aimerait une carrure plus grande, où Léa pourrait se réfugier, pas ce physique de gringalet...
Il termina son sandwich en espérant quand même que la conversation avec la teknote interrompue il y a qques minutes reprendrait... tout à son rêve éveillé, il s'imagina les longues conversations techniques qu'ils auraient sur la capacité à améliorer l'aspect de la cabine de Bruhuk ou sur l'amélioration des vêtements qu'ils mettraient en place... Et puis il rêva qu'un jour il trouve le cran de lui annocer que c'était quelqu'un d'important à ses yeux, et qu'elle lui tomberait dans les bras, comme dans les holo-épisodes qu'il avait entrevu à certains moment dans les salles d'attente... Ensuite l'embrasser... Mais ce ne sera pas encore demain la veille...
Son café était quasiment froid à force d'être remué pour rien... Il prit conscience qu'il remuait depuis un bon moment son café alors que les plaso-sucres gisaient inutiles sur son plateau repas... Il se maudit en se disant qu'il n'était pas dans son état normal... Lui qui expédiait son repas du matin au plus vite pour éviter de croiser Dom dans la cantine... Soudain ses pensées furent interrompue par une silhouette qui entra dans son champ de vision... Léa?
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#78
Miss Léa Lime fit une apparition remarquable et remarquée. Elle était vêtu d'un Kimono ajusté, de soie jaune brodée de motifs géométriques verts... La robe, formée de rectangles de tissus pliés et cousus artisanalement, lui tombait sur les chevilles. La démarche de la jeune femme était courte. Chacun de ses pas était rythmée par le claquement singulier de ses sandales de bois.

Zelda accueilli la jeune femme avec un chaleureux sourire.
"Miss Lime... vous honorez ma table avec élégance. C'est de la soie naturelle ?... Prenez place je vous pris. Monsieur Spoutkine nous a préparé un brunch dans les règles de l'art. J'ose espérer que notre bord vous donne entière satisfaction, et que vous êtes installé confortablement ?"

Zelda désigna le siège situé à sa droite : "En attendant Jim et vos trois amis, puis je vous offrir un rafraîchissement ?"
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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#79
Finalement j'entrai enfin dans le carré afin de participer au brunch avec les autres.
Changé une chemise hawaïenne et une salopette toute propre.
Mes sens olfactifs entrèrent immédiatement en action devant le fait accompli de la présence des nouveaux passagers.....
Avec rapidité je rejoignit Théo signe que je craignais de faire la boulette irréparable
%sois fort mon pote pas de vagues....%
Levant la tête mes gros yeux globuleux regardant Théo
>
Discrètement je pointais la tête vers les nouveaux
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#80
Léa avait posé sa salade de fruit sur le buffet et s’était mêlée à la foule. Elle témoignait à chacun du même intérêt, eut un mot gentil pour chacun. Elle remercia la commandante de ses attention avant de la prendre par le bras et de la guider en direction de la table ou se tenait Oslar. Je tenais à vous remercier pour l’aide que m’a apporté monsieur Varigue. Vous avez là un homme précieux. Je suis certain que tout votre équipage est aussi serviable que lui.

Elle s’éloigna ensuite en direction de monsieur Spoutkin … Et bien monsieur, c’est à vous que nous devons ce festin. Vous êtes un de nos pilotes c’est ça ?

Elle n’alla pas plus loin : la porte s’ouvrit sur messieurs Mel et Anton. Alors que le premier avait revêtu une redingote longue noire aux revers satinés et le second un pantalon moulant et un justaucorps moulant rouge sans manche. Sourire aux lèvres après avoir salué d’un mouvement de tête Mel elle fit quelque pas fit l’accolade à Anton. Elle entreprit ensuite de présenter tout le monde … La porte glissa de nouveau, laissant s’échapper une nuée de boules de poils jappantes et couinantes qui se dispersèrent dans la pièce, se glissant sous les tables, zigzaguant entre les chaussures.

Spoutkin sentit soudain que l’on tirait sur le bas de son pantalon. Il baissa les yeux et vit un chiot jaune pastel de la taille d’une balle de tennis qui s’acharnait à mordre et à tirer sur son ourlet de pantalon Grrrrrrr-Garouuuuf !

Vilain chiot ! laisse le monsieur tranquille tonna une voix toute proche. C’était monsieur Nokobe. Il portait un immense sarong et une veste brodée. Il s’était rasé et ses cheveux longs avaient été attachés en une natte huileuse repliée sur elle-même en un éventail décoratif.

Il se saisit de l’animal qui emporta un fragment de tissus dans sa gueule et le porta à hauteur du visage de monsieur Spoutkin : Dis pardon au monsieur Zeus … La bestiole grognait à quelques centimètres du nez du pilote, exhibant des dents blanches de la taille de grains de riz.

Pendant ce temps Mel s’était assis à la table d’Oslar, son choix se portant sur une boisson alcoolique au parfum anisé. Il secoua la tête tristement on observant la scène. Si tu n’as jamais connue les bonnes manières, tes manières sont forcément mauvaises. Qui dit mauvaises manières, dit péché. Qui dit péché, dit damnation.
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