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Oz - 20 Kepler 1505 TUP - Le départ
#51
[hrp]Comme il y a des échanges entre les personnages (et je vous avoue que je trouve ça super cool) je vous laisse vous répondre, vous interpeler (Théo est demandé par le petit Bruhuk à la caisse :wasntme: ), broder, avant d'enchainer ... et Bravo ! continuez comme ça. :clap:[/hrp]
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#52
Théo avait été fort surpris de ne pas trouver le mécanicien ballik dans le carré d'équipage, lui qui avait l'air de faire preuve d'un solide appétit en toutes circonstances. Il commanda son menu de petit-déjeuner habituel à l'autochef, et s'attabla pour déguster ses oeufs brouillés, ses lamelles de porçon grillées et son jus d'agrumes. Il avait vidé les trois-quarts de son assiette quand l'idée lui vint de faire défiler sur le panneau TriD de l'autocook les spécialités ballik programmées dans la mémoire de l'appareil. Mal lui en prit. Au fur et à mesure que les clichés holo des plats qu'affectionnait Bruhuk s'affichaient devant ses yeux, son teint se mit à pâlir, ses yeux à se plisser et sa bouche à se tordre en une moue dégoûtée. La gerboulade de limassol de Cerbère eut raison de lui. Il se leva, alla vider son assiette dans le recycleur et commanda un raktajino bien serré.

oO( Beurk... Je suis pourtant pas exigeant, mais je préfère quand même qu'on me tue ce que je mange avant de me le servir ! )

L'appel intercom de Bruhuk lui parvint tandis que son gobelet se remplissait de l'épaisse mixture de cocafé karia. Il consulta les codes d'appel, vit que le ballik se trouvait dans le mini-jardin d'agrément du pont passagers, et répondit :

"De Théo. J'arrive."

Moins d'une minute plus tard, il rejoignait Bruhuk, en train de décorer le jardimec Hu3-Y. En voyant les couleurs criardes dont le pauvre Huey avait été affublé, il nota intérieurement de vérifier si les yeux des balliks voyaient les mêmes longueurs d'onde que ceux des humains.

"C'est... très personnel, comme déco. Que puis-je faire pour toi, mon vieux ?"
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#53
[hrp]Une petite erreur c'est glissé dans les coordonnées de Mandrake dans mes plans et ma liste
Il ne faut pas lire (72566,33362,20451) mais (72566,33362,04512)

Et je ne parviens pas à retrouver la fiche technique du songe. Le lien qui menait à la dropbox est HS. Quelqu'un peut il me la redonner ?[/hrp]
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#54
Lors de l'arrivée de Théo j'étais absorber par mon travail que je ne l'entendit pas venir
Je sursautai au son de sa voix puis je me tournai vers lui

Je fis glisser un gros bac rempli de pièces et bric à braque en tout genre.....

Pour Jim
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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#55
Le vol devait durer environ 24 heures, soit quatre quarts de six heures.

[hrp]j'attends un peu notre commandante et j'enchaine demain s'il n'y a pas d'autres actions[/hrp]
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#56
Zelda était sous l'emprise des impulsions neuromantiques qui transitaient à travers le réseau câblé de ses douilles de poignet. Par dessus tout, elle aimait sentir la chaleur des vagues de données la posséder. Sans résister, elle bascula dans un état second. C'était toujours un moment d'une intime délicatesse. Un moment unique pendant lequel la machine et la jeune femme s'unissait... Frémissant, son esprit ne pu retenir l’écho d'un nano-souvenir arraché aux limbes de son passé.

Zelda avançait lentement dans la ruelle étroite du quartier sud de l'astroport de Kharg, les sens tendus instinctivement. Quelque chose claqua devant elle. Elle se raidit. Une forme décampa de derrière un caisson poubelle renversé. Un petit animal qui cherchait sa proie. Des yeux miroitant luirent comme elle passait devant sa cachette... Au fond de la ruelle, sur la gauche, une ouverture à peine plus large qu'un homme...

Elle ralentit en s'approchant. Sa peau se hérissa en guise d'avertissement. Il faisait trop sombre... Zelda fit halte. Ne pas passe par là... Elle se retourna pour revenir sur ses pas. Soudain, elle entendit un cri. Elle s'arrêta de nouveau. C'était un cri aigu, strident. Elle fit volte-face. S'accroupit. Un faible éclat bleuté ceignit ses poignets.

En deux pas Zelda atteignit l'ouverture et se précipita dans la ruelle. Le cri résonna encore. Une femme, songea-t-elle, une fille, puis elle corrigea son impression en contemplant la scène. Non, pas une jeune fille, un enfant, un petit garçon blottit contre un mur. Il avait les poings serrés, sous la terreur, impuissant face à deux hommes. Ils étaient vêtus de tuniques couvertes de symboles sectaires, leurs visages cachés derrière un masque de cuir grotesque, avec becs et cornes. Zelda n'avait aucun doute sur leur intentions.

L'un deux se retourna comme elle s'approchait. Zelda vit, sous le masque de l'acolyte, l'éclat pervers d'un regard fiévreux. Puis, elle perçu le mouvement de la lame tenue comme une épée dans la main gantée. Elle montait en un coup destiné à l'éventrer. Zelda sauta de côté. Le tranchant de sa main siffla en fendant l'air, brisant net le poignet de son agresseur. La main de Zelda remonta ensuite vivement vers la partie inférieure du masque, trouvant et enfonçant profondément du poing la glotte cartilagineuse... L'homme fit un pas en avant, s'effondra sur les genoux et mourut étouffé en quelques secondes. Sans s'arrêter, Zelda bondit vers le second agresseur. Son index et son majeur formaient un poinçon raidis, renforcés par le champs de force du karatapoigne. Ils se dirigèrent vers l’œil, s'enfoncèrent dans la boite crânienne, tournèrent et ressortirent maculés de sang et de cervelle fraîche.

Puis la douleur se fit sentir. Son adversaire avait réussi à lui percer le flanc avant de mourir. Le manche de son couteau était planté dans sa chair. Du sang coulait le long de sa hanche et de sa cuisse... Elle perdit connaissance, en apercevant le gamin s'enfuir à tout jambe.


Le parfum sucré-salé du triche lumière et la caresse soyeuse du ruban luminescent que Spoutkin avait choisit de suivre la ramena à bord. La jeune femme n'avait été absente qu'une fraction de seconde.

D'une voie douce, à peine audible...
Merci Spoutkin, je prends la première veille, vous pouvez aller vous reposer. Ayez également la délicatesse de préparer un repas pour nos passagers et pour l'équipage. Nous ferons une halte d'une heure en espace conventionnel pour honorer la table de nos hôtes. Puis nous replongerons.

Zelda régla la luminosité ambiantes de la passerelle au minimum. Dans la pénombre enveloppante de son siège de pilote, la silhouette immobile de la jeune femme évoquait le corps pétrifié d'une déesse endormie au cœur d'un sanctuaire technologique.
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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#57
A la question de Bruhuk, les images de la gerboulade de limassol revinrent à l'esprit de Théo et il répondit précipitamment :

"Oui, oui, j'ai déjà pris mon déjeuner, merci."

Puis il écouta le ballik exposer son projet :

"C'est un très bonne idée, mon vieux. Mais je ne peux rien pour toi. Mes cours de pilote antigrav comportaient des notions sur l'entretien des répulseurs Gyr, mais à part ça, je suis une vraie bille en mécanique. La seule chose que je sache faire avec les robots, c'est leur demander ce que j'attends d'eux. Par contre, je crois qu'Oslar est roboticien, non ? Tu devrais lui demander son avis."
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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#58
[un peu plus tard]

Le voyage se poursuivait.

Les passagers avaient profité que le Songe passe en période « nocturne » pour se retirer dans leurs cabines. Théo était resté aux commandes, relevant Spoutkin qui avait bien mérité quelques repos.

Les heures s’écoulaient.

Solitaire, au plot de pilotage, Théo guidait le Songe au sein de ce qui ressemblait à une soupe de grumeaux en sol majeur qui lui laissait en bouche une impression de tarte aux pommes.

L’exercice ne présentait pas beaucoup de difficultés, tout au plus les grumeaux limitaient l’horizon de sa psychoperception. Un coin idéal pour une attaque de pirates … mais la zone, bien en deçà des frontières impériales était réputé sure.

Soudain, dans un coin de son esprit connecté aux communications du bord, il perçut qu’il avait un message en attente. Il profita d’une émersion en espace newtonien destiné à l’aider à se repérer pour le lire alors que le navordi déterminait sa position exacte.



Pendant ce temps, alors que Bruhuk dormait paisiblement dans ses nouvelles installations Oslar veillait sur les machines. Il s’ennuyait un peu à vrai dire de ce coté là : les varlets tournaient rond, Théo au commandes ne faisaient aucune manœuvres qui auraient put mettre à mal la structure du navire. Il se contentait donc de surveiller, lançant quelques diagnostiques routiniers et simulations.

Il fut tiré de sa rêverie par une voix féminine … toctoc ? Je peux entrer ? C’était Mademoiselle Léa qui se tenait à la porte de la salle des machines. La porte s’était ouverte sans qu’il l’entende, tout concentré qu’il était.

Elle était vêtue d’un sarouel, d’un large T-Shirt de l’équipe de hussarde la loge techno de Mandrake et pieds nus. Elle tenait à la main un pad holographique.

Salut, vous êtes mécanicien ? J’ai besoin d’un peu d’aide pour la composition de ma dernière holo-affiche du spectacle. Vous vous y connaissez en longueurs d’ondes visibles ?

Sans plus attendre elle entra et s’approcha : Vous voyez je me demande comment les couleurs rendront pour les principales espèces Xéno que nous allons rencontrer : moi j’aime bien les couleurs vives comme tu vois. Elle lui colla le pad sous le nez. Mais je me demande si les écritures seront bien lisibles pour un Padesha ou un Malachite. Tu pourrais simuler ce que ça donnerait ?
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#59
Oslar était parfaitement à l'aise dans les entrailles du vaisseau, et le fait que tout soit e ordre et ne demande qu'une attention diffuse lui permit de n'avoir à jeter qu'une attention ponctuelle à la machinerie, qui avait un ronronnement tout à fait normal. Il ne fallait que surveiller toute les 1/2h pour vérifier que les réglages des moteurs soient optimaux. Il avait un chrono à sa montre qu'il régla sur 25 minutes, et donc même super absorbé, son attention sera attirée par le buzzer...
Le fait qu'il veille la nuit pendant que les autres dorme lui permettait d'avoir une excuse pour ne pas vivre au même rythme que Dom, ce qui l'arrangeait bien. Il dormait dans sa cabine une bonne partie de la "matinée" du jour standard (notion assez floue dans l'espace, où les rythmes naturels étaient perturbés par le manque de luminosité, mangeait rarement à midi pile, la plupart du temps en cabine, allait voir encore tout ensommeillé le capitaine pour les nouvelles, Bruhuk pour savoir s'il avait besoin d'aide, et passait le reste du temps soit à faire de petits travaux de maintenance (que ce soit du bras cybernétique de Zelda, ou des divers appareillages du vaisseau, ou à vérifier si le réseau n'avait pas de faille de sécurité, et quand il n'avait rien de plus à faire, il s'enfermait à double tour derrière le sas de la salle de commande des machines, histoire de concevoir la combinaison climatique dont il rêvait... Car même si son corps s'habituait peu à peu à la chaleur ambiante, lui aussi souffrait un peu dés que la température avoisinait les 20°C...
Donc il étudiait une structure moléculaire qui permettrait à la fois la régulation thermique mais qui laisserait passer la transpiration ou l'air mais ferait barrage à l'eau sous forme liquide... Il ne voulait pas que la combinaison soit plus inconfortable que les anoraks que l'EG a amené et qui protégeait bien mieux que les peaux d'animaux fourrés utilisés traditionnellement sur sa planète...
Rapidement, la fibre synthétique parut à Oslar le meilleur choix possible car non putrescible. Après, il ne voulait en faire qu'une sorte de parka, utilisant l'évaporation de l'eau du corps humain qu'il bloquait ou non en fonction du degré d'humidité souhaité. Il y avait 3 exigences dans sa tête :
- Confort extrême, de manière à pouvoir dormir dedans au cas où, vêtement ne pesant pas plus de 5 kg,
- Température et hygrométrie identique de partout dans la combinaison,
- Recyclage au maximum des matériaux inutilisés, quitte à les modifier.
Et se fixa 4 contraintes :
- Puisque la température et l'hygrométrie devait être régulée, il fallait noyer des capteurs et un circuit de circulation de fluide caloporteur aussi facile à se connecter qu'à se déconnecter,
- Ne JAMAIS transiger avec la sécurité,
- n'utiliser que des matériaux hypoallergéniques,
- la combinaison ne devait pas faire plus de 5 mm d'épais pour rester agréable à porter. Ce sera largement suffisant pour isoler d'un delta de température de l'ordre de 50 Kelvin. Pas de quoi sortir avec dans l'espace, ou de côtoyer les vapeurs brûlantes d'un volcan, mais ça sera suffisant pour la majorité des cas.
Après un rapide tour du côté des réserves, Oslar avait trouvé un synthécuir pour siège, qui avait l'immense avantage de pouvoir se thermoformer, et de se souder sans problème sur lui-même. Il ferait parfaitement l'affaire pour l’enveloppe extérieure. Et pour la partie interne, des vieux draps, recyclés puis rassemblés dans le four moléculaire en un tissus plus agréable à porter, en se basant sur le toucher de la soie fera l'affaire... Restait à, en s'inspirant des systèmes d’interconnexion des combinaisons spatiales à trouver un système qui permette une connexion simple.
La seule partie vraiment active serait le tronc, qui contiendra tous les systèmes de circulation des fluides. Une seconde après chaque enclipsage d'autres éléments, les circuits de fluides caloporteur s'ouvraient, et la nouvelle configuration de capteurs se mémorisait en quelques millisecondes. On pourra dans l'absolu mettre des tous seront esclaves de la veste et ne pourront pas fonctionner de manière autonome. Plutôt que d'utiliser des pompes, assez lourdes et volumineuses, Oslar opta pour les osmo-tuyaux, cet artéfact de haute technologie était semi-organiques et sous l'effet de courants se contractait, à été inspiré du système de circulation de la sève des plantes... Ce n'était pas le système le moins onéreux, mais question silence, c'était royal...
Le clipsage des vêtements ne posait pas vraiment de problème, il suffisait de recycler des attaches magnétiques.
Oslar avait prévu d'installer les 2 clips sur :
Chaque manche, pour d'éventuels gants, et chaque jambe de pantalon, pour d'éventuels bottes, "extensions" qu'il ne prévoyait pas de construire dans l'immédiat, mais au cas où... Les clips devait interconnecter également le pantalon et la veste.
Puisque la veste serait portée surtout par l'équipe de mécanos du vaisseau, il faudrait pour qu'elle soit pratique comporter un tas de petites poches, et une ventrale pour stocker les outils et le pantalon comportera 2 poches extérieures, plus une poche oblongue sur chaque cuisse pour permettre de porter clefs, mètres, etc...
En temps que pirate, Oslar disposa également une poche "anatomique" à l'intérieur de chaque cuisse de manière à dissimuler soit de l'argent, ou de petits objets (pas plus grands qu'un portefeuille) en toute discrétion à l'intérieur de la combinaison...
Et sur la poche du cœur, prévoir la place de l'insigne de sa fonction (comme il s'agit de modèles unique, elle comportera à l'origine l'emblème de la loge teckno... Mais rien n'empêchera de la personnaliser ou de laisser l'emplacement de l'insigne vide)

Il fallait maintenant encore résoudre ces problèmes dans les semaines qui viennent :
- Assurer un enclipsage facile des différents éléments de la combinaison, et un désenclipsage aussi simple, par simple pression sur un senseur réglé sur l'ADN du porteur. Ca aussi est simple, il suffira de détourner un interrupteur de porte de cabine...
- programmer l'EPROM qui sera noyé dans la combinaison pour réguler la vitesse de circulation du fluide caloporteur,
- trouver un fluide caloporteur qui ne soit toxique pour aucun Être en cas de fuite (je pense que mes travaux pourront être réutilisés, alors autant faire les choses bien), ainsi qu'un autre qui surveillera tous les capteurs et lancera tous les ordres nécessaires au déclenchements des divers magnétismes...
- trouver comment l'enclipsage se connectera facilement et avec précision, sachant qu'il s'agit de capteurs sur un tissus souple... Le plus simple serait un enclipsage manuel... Mais il faut un système qui ne se désenclipse pas, même en tirant sur la prise avec une traction de 50 kg (au delà, ce sera le tissu qui se déchirera autour de la prise...),
- Trouver un système qui bloque à l’arrêt la circulation du fluide caloporteur, en cas de déchirement des tuyaux, ou de fuite, limitant son écoulement à quelques centimètres cube de fuite,
- Travailler sur une interface qui puisse confirmer le bon enclipsage de nouveau vêtements (par petite diode souple, par exemple sur la manche, qui s'éteignent rapidement)
- Travailler sur la possibilité de réguler la respiration du tissus en fonction de l'hygrométrie désirée par son propriétaire. Et en cas d'humidité dépassant les 75%, prévoir un système qui permettra de recycler l'eau qui fatalement se condensera en points bas...
- enfin, travailler sur le fait que cette combinaison devra être lavable n'importe quel vêtement standard et puisse être retournée chaque soir, pour être reportée le lendemain sans que tout soit détruit.

Mais de manière totalement égoïste, Oslar commença à concevoir une combinaison "V1" qui ne comportera aucun système de régulation de l'hygrométrie... Même si les clips seront assez grands et conçus pour pouvoir prévoir la place des bus pour les capteurs et un passage pour le fluide caloporteur.
Il concevrait ensuite le reste pour sa combinaison V2... Ce qui lui fera pas mal de pain sur la planche...

... Et une petite voix lui dit de surveiller en plus l'activité de communication du vaisseau avec l'extérieur...

[hrp]Quels jet(s) faire pour tout ça?

PS : il serait bien à cette occasion de nous expliquer comment fonctionne la commande "dice"...[/hrp]
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#60


La nuit se passait mal agité de souvenir du passée qui font soudainement surface. Il est vrai que je n'avais pas fait ces rêves depuis longtemps et pourquoi maintenant pourquoi ici? C'est un bruhuk rêvant de son clan et sa famille décimés par ces infâmes esclavagistes je revoyais nolok et brahak mes deux enfants emmenés dans la cale du vaisseau enfermés dans des cages physio-affaiblissantes puis le corps de saaraak mon épouse morte à mes pieds gisant dans son sang une tache verte s'ellargissant autour d'elle......
En sursaut et en sueur je me réveillais .... des larmes coulaient de mes yeux... épaisses et chaudes.....au contact de l'air elles se cristallisaient en produisant un tictic lorsqu'elles touchaient le sol
La rage grondait en moi la haine s'influait en moi tel du venin....
Je le levais m'habille juste d'un pagne et descendit dans les soutes
Scrutant les dépôts de pièces je trouvai ce que j'étais venu chercher
Un gros bidon pour gaz de pression que je suspendis via une potence.....
Puis je lancai libre cour à ma rage et ma colère.......
[Je lance libre choix au MJ de voir si mon barouf dans la cale réveille les autres]
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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