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Virik avait alterné les périodes de repos et de sommeil, de patrouille et d’affut.
Il avait tenté, sans succès, de déjouer la surveillance électronique mise en place par Monsieur Djal ; il s’était penché sur la manière dont l’aération, les fluides divers et variés parvenaient au stand … un de ses condisciples avait, pour remplir sa mission, utiliser ce moyen pour introduire dans le palais d’un seigneur local marqué du sceau de l’infamie, gaz explosif, catalyseur et détonateur.
Mais ici tout semblait en ordre … pour l’heure.
Il ne relâcha pas pour autant sa vigilante attention : il vit madame Sémirande se coucher sous l’aile de son appareil, en un geste qui n’était pas sans être chargé symboliquement. Qui veillait sur qui ? Les machines avaient elles une âme ? Un esprit ?
Il prit un siège et s’installa dans un coin, dos à un mur porteur. Il changea la batterie de son armure de force, la laissant branchée en continue. Puis il s’enroula dans sa cape et attendit … gardant un œil mi-clos sur la silhouette de la cyborg. Tout à l’heure il reprendrait sa position. Pour l’heure il veillait sur elle.
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[hrp]Djal ? Khrys ? Cuperno ? Eron ?[/hrp]
"Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie."
(Troisième Loi de l'Architecte Clarke)
//Allez, on se réveille, ou bien on part sans vous.
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Sémirande Wrote://Allez, on se réveille, ou bien on part sans vous.
Est-ce bien raisonnable de s'éloigner de l'engin? Est-ce que cette créature féminine n'est-elle pas là pour nous éloigner?
Khrys se tourna vers Djal puis décida de laisser Hermes en surveillance et de l'avertir en cas de mouvement (humain ou non).
Tout à un prix, même les hommes ont le leur.
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// voilà pourquoi j'évite de poster en ce moment: je ne suis pas cohérent :bug:
Tout à un prix, même les hommes ont le leur.
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Comme à son habitude, après les longues journées de labeurs qu'imposait la préparation à la course, Eron s’apprêtait à retourner au vaisseau.
Malgré la mauvaise place obtenue par Semirande, il était tout de même satisfait que tous les efforts accomplis n'eurent pas été vain et que l'aventure continue.
Cherchant du regard quelqu'un souhaitant l'accompagner il attendit quelques instant avant de partir.
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Après les trois premières journées de travail avec Djal et Sémirande sur la Roquette, Eron Azad avait fait la connaissance de Gurvan lorsque ce dernier avait fait son retour surprise au sein de l'équipe. L'ex-capitaine du Méphisto allait donc reprendre le commandement lorsque le Lilith s'arracherait à la gravité d'Epsilon Agrippines.
Monsieur Antillès avisa Sémirande qui installait son sac de couchage sous l'aileron de son hoverjet, et Virik qui se tenait à plusieurs mètres de là, aux aguets, surveillant les alentours et veillant sur le repos de sa coguildienne et amie.
Il déplia sa grande carcasse, et s'approcha de Monsieur Azad. Ainsi que le voulaient les usages au sein de la Guilde, les navyborgs se tutoyaient quelque soient leurs grades et positions hiérarchiques respectives :
"Ces dernières journées ont été fatiguantes, et le camping, je ne suis pas fan. Je rentre avec toi, Eron. On prendra un pot à bord et on discutera un peu."
"Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie."
(Troisième Loi de l'Architecte Clarke)