Jim Highway Wrote:Arrivé dans la première cabine d'équipage il se mit en devoir de la fouiller de fond en comble.
Jim entreprit une fouille minutieuse des cabines. Il devint rapidement évident que les enquêteurs de la division Nova avaient agit avec soin, répertoriant tous les objets personnels avant de les mettre sous scellés et d'enfermer ceux-ci dans leurs coffres.
Il ne restait rien, pas même une poussière suspecte : les aspirateurs logimecs avaient passé au peigne fin les lieux, cataloguant pollens, cheveux, poussières afin de pouvoir en extraire signature génétique, origine, signature géologique spécifique.
Néanmoins il s'astreignit à répéter la même opération chambre par chambre, se couchant au sol, inspectant les parois à la recherche de caches, démontant les panneaux de maintenance pour vérifier si on y avait rien caché ... Le tout allait lui prendre plusieurs heures laborieuses.
[hrp]Un petit jet à 5d6 sous perception + 1 de mod en raison du temps que tu prends ? Merci.[/hrp]
Zelda Zonk Wrote:...
Puis, elle se saisit d’un premier cube mémoire à l’aide d’une clé à clamp antigrav. Elle l’aligna grâce aux senseurs optiques situés sur le bord du réceptacle. Lorsque tous les guides furent alignés et au vert, elle poussa fermement pour le mettre en place. Elle entendit le « noise » caractéristique de la machinerie lorsque la mémoire fut installée correctement. De son côté, Bruhuk avait effectué les mêmes procédures pour installer le second cube de mémoire dans l’emplacement supérieur. Rebranchons tout ces câbles et si ça ne marche pas ! Un bon coup sur le bas de caisse…
Elle ne fut pas obligé d'aller jusque là ... Le second cube fut installé, le verrouillage correctement effectué le cube passa au vert clair alors que la cavité se remplissait de gel neuronal, noyant le cube qui continua à luire faiblement à travers la masse gélatineuse qui assurait sur toute sa surface une connexion optimale.
Spoutkin Wrote:Alors que Théo et Zelda échangeaient, Spoutkin se rebrancha sur l'ordinav afin de "sentir" tout changement qui interviendrait avec le branchement des mémoires de rechange qui allait avoir lieu dans les minutes qui suivraient.
...
Bon, voyons comment je peux te régler pour améliorer tes systèmes. Pas envie de partir à l'aveuglette au premier passage en Triche Lumière.
...
La baie vitrée était encrassée par la dernière entrée atmosphérique et Spoutkin se mit en devoir de nettoyer ce qui pouvait l'être.
Spoutkin s'était assis à une console libre. Il se rendit compte que Théo avait déjà lancé un diagnostique sur les armes et que celui-ci était limité en raison de l’absence de connexion à l’ordinateur central. Impossible d’étalonner les armes pour l’instant.
La baie était composée en partie de matière énergétisée, et les aménagements intérieurs du songe étaient pour la plupart d’entre eux fabriqués de matière auto nettoyante. Cependant il avait raison : les rares surfaces qui ne l’étaient pas étaient couvertes d’une fine pellicule de carbone déposée lors de l’incendie qui avait ravagé l’armurerie et l’infirmerie.
A l’instar d’une antique intendante sortie d’un film bi-di, il passa un doigt sur le montant de la verrière, ramenant celui-ci couverte d’une couche de poussière noire … Hummm il allait lui falloir un logimec nettoyeur ou de l’huile de coude, des chiffons, de l’eau et du savon.
…
Dom Irazacky Wrote: ...Voyons cette cache dont a parlé Bruhuk.
Dom commença donc à arpenter la salle des machines du Songe d'Aran à la recherche de ce que Bruhuk avait qualifié de "Bloc de Compression à Gaz". Il avait une certaine habitude des déguisements et caches en tout genre mais les salles des machines n'étaient pas ses candidates préférés pour dissimuler des objets.
Alors que Zelda terminait d’installer le dernier cube il rechercha ce fameux « Bloc de Compression à Gaz » … le BCG. En fait il s’agissait de la chambre d’expansion des gaz provenant de la combustion par le système environnemental des poussières, débris et autres matière non récupérables passant à travers le système de filtre. Celles-ci étaient brulées par un flux plasmique avant que la chaleur soit réutilisée pour chauffer les quartiers de vie du navire. Normalement le système ne pouvait être ouvert qu’avec des luxes de précaution pour ne pas déverser ses gaz brulants et sous pression.
Bruhuk qui laissait Zelda remettre en place les panneaux de protections de l’ordinateur se dandina en direction de Dom Et après avoir reniflé en sa direction demanda par une série de grognements, immédiatement traduits, si celui-ci avait besoin d’aide. Une de ses lourdes paupières se referma-t-elle de manière rapide sur son œil globuleux ?
Il lui demanda de se reculer et glissa une main entre les conduits, non loin du BCG, coupant le champ de confinement qui isolait celui-ci. Dom retint sa respiration, mais la déflagration qu’il aurait put un instant redouter ne se produisit pas. Les voyants indiquant que le faux BCG était sous pression s’éteignirent. Le Ballik entreprit d’annuler avec un petit coupeur de champ à main les liaisons magnétiques qui fermaient la cache.
[hrp]Teasing de malade
[/hrp]
…
Zelda referma enfin le dernier panneau.
Les voyants de l’ordinateur passèrent au vert, puis au jaune alors que la programmation par défaut du système maitre était réinjecté dans les cubes mémoriels.
Une à une les consoles se reconnectèrent, lançant une vérification de niveau I automatiquement. Sur la console de commandement Théo vit s’afficher la demande suivante : « console de commandement reconnectée. Interrompre le programme d’aide d’urgence ? O/N ? »
La vie revenait au sein de tout le navire alors que les systèmes se reconnectaient, communiquant les uns avec les autres. Pour ceux qui étaient connectés par des plots vertébraux c’était comme s’ébrouer après une longue paralysie.
…
La cache s’ouvrit, dévoilant son contenu. La cavité par elle-même aurait put contenir un humain de taille standard, mais l’objet qu’elle recelait était bien plus petit.
Flottant au sein d’un champ de stase reposait une caissette de bois vernie de couleur miel, d’environ soixante dix centimètres de longueur pour une trentaine de hauteur et de profondeur.
C’était une boite marquetée d’essences de bois sombre en arabesques géométriques et floraux, aux arrêtes de vermeil finement travaillés en motifs zoomorphes.
Au centre du couvercle, incrusté dans le bois, figurait un « mon » en de métal précieux rehaussé de pierres semi précieuses.
Une armoirie traditionnelle ronde, représentant un motif de fleur symétrique en or au centre de laquelle une vague de lapis-lazuli et d'émeraudes s’enroulait sur elle-même.
L’ensemble était incroyablement élégant et visiblement antique, fabriqué à la main.