Au coeur des ténèbres ...

[Sémirande]

Krrr … mon fidèle commandant Gurvan, j’insiste séance tenante pour que vous montiez sans plus tarder à mon bord, les navettes récupèreront vos équipes d’exploration. Faites manœuvrer le Méphisto pour vous rapprocher de mon navire. Je fais moi-même mouvement dans votre direction.

[Sourire]
"Oh, eh bien mesdames messieurs, m'est avis que tout ne se passe pas exactement comme le prinprince le voudrait. A mon avis, ils doivent avoir une palanquée de suiveurs. De quelle faction ? Mystère.
Je me colle au Nod, capitaine ?"

[Sémirande]

PS
MdJ : il y aurait un "trou" dans le NOD où je pourrais entrer le Méphisto (70 x 30 x 30 mètres si mles souvenirs sont bons) ?
Histoire de gager du temps.

[Djal Gorda]

j’insiste séance tenante pour que vous montiez sans plus tarder à mon bord, les navettes récupèreront vos équipes d’exploration.

@MJ : Je suis un peu perdu dans la timeline !... Suis-je de nouveau à bord du Méphisto, ou suis-je encore à bord du nod ?

[MdJ]

// @ Sémirande : oui. Il y a de grands hangars dont les opercules sont grand ouverts et qui peuvent accueillir jusuq'à des classes V
// @ Djal ... toujours à bord du Nod en train de terminer la mise en place de la dernière bombinette atomique.

[Gurvan]

En d'autres temps et d'autres lieux, Monsieur Antillès aurait mis un mouchoir sur le micro du téléphone, aurait frappé plusieurs fois le combiné contre une paroi, et aurait raccroché au milieu d'une phrase. Mais en l'occurence, il connecta son plot à la console des transmissions et parla tout en générant mentalement des déphasages et des changements aléatoires de fréquence :

"Votre Excellence, pouvez-vous répéter votre dernier message ? Nos communications sont brouillées, nos commandes de navigation sont défaillantes, et nos réparations imparfaites. Les nanites ont fait de gros dégâts avant de disparaître..."

[A Sémirande]
"Oui, démarre les moteurs, deux ou trois impulsions aléatoires en direction des hangars, et ensuite redresse de justesse avant d'y rentrer, comme si on avait du mal à maîtriser le navire..."

[Sémirande]

[A Sémirande]
"Oui, démarre les moteurs, deux ou trois impulsions aléatoires en direction des hangars, et ensuite redresse de justesse avant d'y rentrer, comme si on avait du mal à maîtriser le navire..."

[Sourire carnassier]
"A tes ordres... Cela dit ton histoire de communications qui flageolent ne tient pas la route. Rien qu'avec un communico du commerce, on peut les appelller, à la distance où ils sont. Enfin..."
Le Méphisto partit comme à la rencontre du vaisseau de cochonou... euh, pardon, de Sa Grâce le Prince Sikkmakva (que le Grand Cthulhu l'ait en sa Sainte Garde).

Il couvrit donc une petite dizaine de kilomètres et soudain leva légèrement le nez tout en engageant un tonneau. Il se stabilisa mais repartit ensuite irrésistiblement sur babord puis retourna vers le Nod, en direction d'un point situé à mi chemin entre l'accès qu'avaient emprunté les équipes qui s'étaient rendues à bord et le puits qu'ils avaient foré au laser. Sa vitesse augmenta, alors qu'il recommença son lent tonneau, sans pouvoir le stopper cette fois. Il faucha au passage un assemblage tarabiscoté de fils de nanites qui avaient du être une antenne hertzienne, et dont des morceaux partirent à la dérive alors qu'une grande partie se désagrégeait en poussière noiratre. Le Transistel continuait d'avancer en tournant sur lui-même, vers le mur de titanesque du Nod. Le choc semblait inévitable, et allait être terrible pour le vaisseau de Lucifer Transport. Mais au dernier moment, le tonneau s'arrêta, et le Méphisto changea de direction, tournant maintenant comme une roue autour de son axe. Il allait vers une grosse ouverture, faite pour accueillir des unités de sa taille. C'était un orifice sombre, hostile, comme la porte de l'enfer. La bouche engloutit le petit navire qui tournait encore et encore, et qui allait taper le font de la salle.
Cinq secondes plus tard, les Kiffs virent un nuage de nanites embrasées sortir comme l'haleine d'un dragon de Müler malade, seul témoignge visible de la violence du choc.
Trois secondes plus tôt.
[PV - hertzien - petite puissance]
"Monsieur Shark : le tas de scories à 11 heures. Un canon. Petite puissance. Faites-nous un beau spectacle." L'autre n'eut pas besoin qu'on lui répète deux fois.
Le Méphisto était maintenant stoppé, ses lasers "en vue" de l'entrée. Mieux, il était prêt à bondir hors de cette cave, à pleine puissance.

Madame Chalmak dit, à voix haute : "Je sais que c'est un poil grossier comme mise en scène, mais ils doivent être occupés à scanner ailleurs, du moins je l'espère. Bon, ils peuvent venir. Ah, ces lasers à UV, j'en suis contente, vous ne pouvez pas savoir !

Au fait, on lance un SOS, des fois que ce soient des Impériaux, des Cygniens ou des Alliés en approche ?"

[Sémirande]

[Oubli]
"Mon dieu, au fait. Il faut prévenir les derniers qu'on a déménagé. Leur tunnel ne passe pas loin de notre caverne, ils ne devraient pas avoir trop de mal.

Moi, je calcule notre fuite, juste avant les explosions, afin que nous soyons masqués par les dégagement de chaleur, d'énergie et de poussière."

[Gurvan]

[Sourire carnassier]
"A tes ordres... Cela dit ton histoire de communications qui flageolent ne tient pas la route. Rien qu'avec un communico du commerce, on peut les appelller, à la distance où ils sont. Enfin..."

[Clin d'oeil]
"Bah, du moment que ça nous fait gagner un peu de temps..."

Au fait, on lance un SOS, des fois que ce soient des Impériaux, des Cygniens ou des Alliés en approche ?"

[Re-clin d'oeil]
"Ca va définitivement foutre en l'air l'imposture des coms qui yoyotent, mais oui, bien sûr qu'on appelle au secours."

"Mon dieu, au fait. Il faut prévenir les derniers qu'on a déménagé. Leur tunnel ne passe pas loin de notre caverne, ils ne devraient pas avoir trop de mal.

"Je m'en occupe." Ce qu'il fit via un faisceau crypté de neutrinos.

Gurvan jeta un regard par l'ouverture du hangar en direction de laquelle étaient braquées les six tourelles laser :
"S'il y en a un qui pointe le bout de son museau par là : Feu à volonté !"

[Sémirande]

[Geste d'excuse vers son supérieur]
"Pardonne-moi, commandant. Mademoiselle K’trin, pouvez-vous envoyer un volontaire sous invisibilité jusqu'à la porte, afin qu'il nous fasse un point en visuel ? C'est risqué, je sais, mais..."

[Khrys]

Khrys était passablement occupé (et donc ne vit pas le manège de Khaadaric). L'ensemble des rescapés réclamait sa présence permanente. Ils ne parlaient pas, mais une terreur indicible brillait dans leur regard.
Qu'avaient-ils subit dans ces cocons!? Valait mieux peut-être ne pas leur demande de suite, le choc physiologique de la sortie du cocon devait être traité avant de penser à les faire parler.

Khrys allait de personne en personne, diagnostiquant et traitant au mieux de ses capacités, il accompagnait de gestes tendres ses soins. De temps à autre, il surveillait sur son ordinateur si le maintien de vie (de fortune) tenait le choc. Valait mieux que ces gens soient calme, ils consommeraient moins d'oxygène d'un part, et un vent de panique serait très difficile à contenir avec les moyens actuels.