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Oui, rien à signaler commandante. Tout est en ordre et les moteurs, bien qu'un peu déphasés ronronnent maintenant comme des matous après un bon repas. Dés qu'on aura fini le repas festif, je viendrai vous voir sans faute.
(Il y a foule au réfectoire... Beaucoup trop de monde pour qu'Oslar se sente à son aise...)
Jim, es-ce que tu voudrais venir à ma table?
(prenant conscience que la belle Léa était à la source de tous les applaudissements, je fus un peu déconfis... Elle faisait partie de la troupe, et avait aussi des talents... Et Oslar avait loupé le spectacle... Qui visiblement, aux yeux de Zelda était très réussi... Et puisqu'il n'y a pas eu de mauvaise surprise dans le vaisseau, ses compliments alors étaient vraiment sincères... Oslar se mit à rêver du coup au fait qu'ils pourraient passer des heures à parler de projets techniques, de comment se comporter avec les autres, et finir par se confier l'un à l'autre... Puis il se réveilla... Comment une artiste si complète que Léa (et si belle) pourrait bien s'intéresser à lui, si moche et aussi adroit qu'un manchot? Il faudrait qu'il arrête de rêver, tu n'es qu'un passe-temps un peu exotique, dont la fée se désintéressera, après s'être rendu compte de sa nullité endémique...)
Oslar alla à la table qu'il occupait précédemment, Es ce qu'elle a été squattée entre temps?
Si oui, il essaye de trouver une table vide, et à défaut une avec au moins 2 places vacantes, ne contenant pas ou n'étant pas à portée de bras de Dom. Oslar était loin de lui faire encore confiance... Au pire, il mange debout.
Si non, es-ce que le prêtre est toujours là? Si oui, il se met à sa place précédemment occupée, et exprime son retour par un "J'espère que vous ne vous êtes pas ennuyé pendant mon absence? Il faut que je vérifie régulièrement le bon fonctionnement des moteurs et l'alignement du compas par rapport à l'axe de la galaxie... ça prends plus ou moins de temps suivant les fois...". (et j'essaye de me montrer à peu près poli avec ce bougon fini, de toute façon on est est à la moitié du repas passée... Je vais de temps en temps me servir une large portion de la salade de fruits qui accompagnera à merveille ma part de simili cake marbré que je n'avais pas mangé en même temps que le café, (qui de toute façon était complètement froid quand je l'ai avalé d'un trait), mes soupçons étant écartés jusqu'à plus ample information.
(au passage, an allant à ma table, je met au courant Bruhuk du fait que j'ai été contrôler les moteurs, et que tout va bien)
Enfin, Jim me suit-il?
Si oui, et sans autre incident, je me met à lui dire qu'il me fait penser à un gars que j'ai bien connu au moto-neige club... Toujours très silencieux, mais au cœur d'or. Et après on dérive sur le fait que j'ai aussi gardé des contacts avec qques militaires, et blablabla (bref, Oslar n'a jamais été aussi prolixe sur lui et en général... Sans doute l'effet des méthamphétamines sur son cerveau, qui rendaient Oslar plus joyeux que d'hab... Car il était encore sous le coup du compliment de Léa... Qui restait un VRAI compliment!)
(et après la fin du repas, très copieux à cause de la salade de fruits, alors qu'Oslar était prêt à dire (en le pensant vraiment) que c'était la meilleure qu'il n'ait jamais goûté (sans doute à cause du contexte, pour une fois lui qui se sentait toujours de trop se sentait à sa place...), la fatigue de début de digestion se fit sentir... Pour la plupart ici, c'était le début de la matinée, pour Oslar il s'agissait du début de sa période de repos.
(Et dire qu'il y avait encore le rapport à faire dans le bureau de la commandante à faire! Arg!...)
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Pour Théo
En haussant les épaules et grognant signe que je comprnais qu'il était fatigué
>
[Hors rôle play je me suis présenté aux membres du cirque je n'ai las eut de réponse à mon interaction]
le sage a dit le pardon est divin, mais ne paie pas une pizza plein tarif si elle a trois minutes de retard
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[Consultant Léa du regard]
Mais avec plaisir Zelda, je vais immédiatement le chercher.
Dom plongea donc vers les coursives et rejoignit sa chambre, il se saisit alors de son violon et de son archet puis retourna vers le salon en ayant au préalable passé un petit coup de chiffon pour effacer quelques traces de doigts.
[S'adressant au groupe d'artistes]
Alors, je ne suis pas un prodige du violon mais je pense bien me débrouiller, j'ai joué dans pas mal d'orchestres et de petits groupes. Qu'est-ce vous souhaitez comme genre de mélodie ? Du rapide ? Du lent ? De la mélancolie ? Du jazz ?
Pendant que Dom se mettait au point avec le groupe, il posa son regard sur Oslar qui lui donnait l'impression de le fixer, il lui décocha un regard noir mais lorsqu'il vit qu'il ne réagissait pas il comprit. Dom, riant sous cape, attira alors rapidement l'attention de Léa sur Oslar mais à sa grande déception, elle lui adressa un grand sourire.
Je dirigerai les soins des malades dans leur intérêt et m'abstiendrai de tout mal - Médicalserment de Bo Sheng
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Oslar, la tête lourde, vit que Dom parlait à Léa, mais le brouhaha ambiant (et son coup de pompe aussi) rendait leurs paroles incompréhensibles. Mais Dom lui adressait des tonnes de sourires de squale, et d'un coup ça l'énerva... De quel droit! GRRRR
Il partit, puis revint, lui adressa un regard noir... Qui n'était pas pour le rassurer, et qu'il ne comprit pas... Qu'avait-il à lui reprocher?... Pourtant Oslar lui avait envoyé un message pour tenter une réconciliation... Peut-être ne l'avait-il pas vu ou alors avait-il fait (encore) une autre gaffe que le grand homme ne lui pardonnait pas... Il ne l'avait pas fait relire à Zelda pour demander son avis... C'est ça, Oslar avait sans doute fait une bourde... Il faudrait qu'il le montre à la commandante et qu'elle lui donne son avis, qd il irait dans son bureau...
Mais ce qui le rassura un peu est que d'autant qu'il puisse en juger, Léa semblait de glace, voir être un peu agacée par le médecin en chef du vaisseau. Il ne comprit pas pourquoi, mais prenant le bras de Léa, il attira son regard de Léa sur moi, qui me jaugea de manière brève, et retourna aux préparatifs de la suite du spectacle...
Histoire de ne pas trop s'endormir, et aussi pour savoir, il demanda à Jim, un peu rosissant et en hésitant BEAUCOUP... Dis Jim, j'ai vraiment une question à te poser... Une question importante... Ici, je te considère comme le plus gentil, comme un grand frère... Te moque pas, hein, j'ai déjà assez honte de moi là... Voila... Heu... Je ne suis pas doué avec les gens...
(pause plus longue que encore)
Et avec les femmes encore moins...
(grosse pause et rougissement)
Tu pourrais me dire comment on fait avec une femme? Heu... (rougissant façon coquelicot et d'un coup parlant très vite) Je veux dire comment on dépasse la simple amitié, alors qu'elle t'a donné quelques signes encourageants?
(et il regarda Jim l'air tendu, s'attendant à moitié qu'il se foute de lui, moitié avec l'espoir qu'il lui donne des trucs..., le regard ne pouvant pas s'empêcher de dévier pour voir ce qu'il se passait entre Dom et Léa...).
Le reste de la pièce étant parti dans des échanges joyeux et l'équipage se mêlant, détendu avec la troupe de passagers, heureusement, ps grand monde ne remarqua qu'Oslar avait pris le ton crevette rose... Cette fois qui était complétement réveillé et aurait été capable de décrire la position de toutes les personnes présentes, leurs habits et leur attitude, d'un coup en hyper-vigilance, son cœur battant à tout rompre, et la chaleur de la pièce augmentant d'un cran...
Il surprit encore un grand sourire de Dom à l'attention de Léa...
(devant le mutisme de Jim il continua)
Pis... Pis pourquoi ça me rend nerveux dés qu'elle parle avec quelqu'un d'autre? Pourquoi j'ai plus la tête à rien d'autre même si je sais que je n'ai aucune chance...? Pis... Pourquoi je passe de la plus grande euphorie à la plus crasse déprime en 5 minutes... A des moments je me sens comme sur un nuage, l'autre je suis glacé et j'ai l'impression que mon estomac est changé en titanium en fusion... Pis pourquoi je suis aussi doué avec les bots, et aussi nul avec les gens?
D'un coup il se tût, et espéra que ses dernières tirades, n'aient pas été trop entendues, car sans s'en rendre compte il avait progressivement monté le ton... [pensée] Quel doué pour faire des gaffes [fin de pensée], se dit-il en faisant une tête de 2 pieds de long...
La réaction de Jim n'était pas forcément celle qu'il espérait...
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Bien entendu chacun s’était poliment présenté à Bruhuk, Echangeant quelques mots, même le taciturne Anton Apofis qui grommela en direction du ballik un « enchantéd’vous’renconcontrer » Avant de replonger dans son verre (de jus d’agrume).
La suite du spectacle se déroula sans anicroche particulière.
Ce fût ensuite au tour de Néo Nokobé, qui était revenu avec des cerceaux, des tabourets et de multiples accessoires de taille réduite, adapté à la morphologie des chiots.
Les dix minutes qui suivirent furent peuplées de minuscules boules de poils qui courraient en cercle, faisaient des figures géométrique en quadrilles, qui sautillaient de rythme avec la musique avant dans un grand final que les chiots forment une pyramide dans les deux mains tendues de monsieur Nokobé.
Vient le tour de monsieur Minsk.
Comment dire … Les néo-shakespeariens étaient un mouvement né à Foutenlère, une Université sectorielle sur secteur de Prima il y a six cents ans. Considéré comme archaïques, incompréhensibles les textes antiques et plus particulièrement le Shakespeare dont on avait trouvé les écrits dans les archives de certains manges poussière, avaient été modernisés, expliqué, simplifié …
Subir.
C’était le verbe. Ils subirent pendant presque vingt minutes les déclamations compassées de monsieur Minsk qui à force de décortiquer finissaient par réduire les œuvres qu’il citait en une bouillie infâme aux oreilles de la plupart.
Alors qu’il saluait gravement Léa, tout en sourire figé, les invita à la suivre vers le hangar du formec, seul lieu où la hauteur du plafond permettait à Anton d’exercer son art.
Ce dernier commença par des balles, trois, puis quatre, cinq avant d’y ajouter un chapeau, une quille … Puis il prit des torches … qu’il alluma. Fort heureusement il s’agissait de flammes holographiques, néanmoins lorsque l’on diminua la luminosité l’effet était saisissant, dessinant dans l’obscurité paraboles et runes lumineuses.
Et ce fut terminé … La petite troupe salua à l’unisson et les remercia.
Ils se mêlèrent ensuite à l’équipage, discutant de leurs performance avec ceux qui le souhaitaient. Bien entendu Léa refusa de dévoiler ses trucs et Minsk s’épanchai largement sur les mots qu’il avait choisit.
Chacun put enfin, rassasié, contenté, rejoindre sa cabine ou son poste.
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MdJ Wrote:Bien entendu chacun s’était poliment présenté à Bruhuk, Echangeant quelques mots, même le taciturne Anton Apofis qui grommela en direction du ballik un « enchantéd’vous’renconcontrer » Avant de replonger dans son verre (de jus d’agrume).
La suite du spectacle se déroula sans anicroche particulière.
Ce fût ensuite au tour de Néo Nokobé, qui était revenu avec des cerceaux, des tabourets et de multiples accessoires de taille réduite, adapté à la morphologie des chiots.
Les dix minutes qui suivirent furent peuplées de minuscules boules de poils qui courraient en cercle, faisaient des figures géométrique en quadrilles, qui sautillaient de rythme avec la musique avant dans un grand final que les chiots forment une pyramide dans les deux mains tendues de monsieur Nokobé.
Vient le tour de monsieur Minsk.
Comment dire … Les néo-shakespeariens étaient un mouvement né à Foutenlère, une Université sectorielle sur secteur de Prima il y a six cents ans. Considéré comme archaïques, incompréhensibles les textes antiques et plus particulièrement le Shakespeare dont on avait trouvé les écrits dans les archives de certains manges poussière, avaient été modernisés, expliqué, simplifié …
Subir.
C’était le verbe. Ils subirent pendant presque vingt minutes les déclamations compassées de monsieur Minsk qui à force de décortiquer finissaient par réduire les œuvres qu’il citait en une bouillie infâme aux oreilles de la plupart.
Alors qu’il saluait gravement Léa, tout en sourire figé, les invita à la suivre vers le hangar du formec, seul lieu où la hauteur du plafond permettait à Anton d’exercer son art.
Ce dernier commença par des balles, trois, puis quatre, cinq avant d’y ajouter un chapeau, une quille … Puis il prit des torches … qu’il alluma. Fort heureusement il s’agissait de flammes holographiques, néanmoins lorsque l’on diminua la luminosité l’effet était saisissant, dessinant dans l’obscurité paraboles et runes lumineuses.
Et ce fut terminé … La petite troupe salua à l’unisson et les remercia.
Ils se mêlèrent ensuite à l’équipage, discutant de leurs performance avec ceux qui le souhaitaient. Bien entendu Léa refusa de dévoiler ses trucs et Minsk s’épanchai largement sur les mots qu’il avait choisit.
Chacun put enfin, rassasié, contenté, rejoindre sa cabine ou son poste. Le spectacle permit à Oslar de se remettre de ses émotions... La réaction inattendue de Jim lui avait fait du bien, au final, car le vieux routard avait pas vraiment pris à la légère ce qu'il avait dit... Et Oslar le remercia chaleureusement, après le spectacle car sur le moment, il l'avait plutôt trouvé saumâtre... Mais ça permettait de dédramatiser la situation, et il en fut au final super reconnaissant.
N'ayant pas assisté à la première partie du spectacle (et au comportement... machonneur des chiots), Oslar admira le ballet des petites boules de poils et alla remercier Néo pour sa patience et la vivacité de ses petites bestioles...
Les tirades de Monsieur Minsk et le sabir alambiqué qui les accompagnait furent un peu trop longue pour Oslar, et avec la fatigue et les émotions de la mâtinée, il ne put se retenir de piquer quelques fois du nez....
La performance d'Anton était aussi sympa, et Oslar n'étant que très peu coutumier de spectacles (sur sa planète d'origine, tout le monde est plus dans la survie, ou certaines fois au contraire dans l'excès de fêtes de l'équinoxe, qui se transformaient en général en beuverie, où les bagarres allaient bon train, Oslar préférait rester à étudier les schémas techniques et à se perfectionner à la programmation que d'y aller...), ce genre de performance artistique était inconnue. Il en avait vu en TriD certaines fois, mais c'est une chose de les voir d'un oeil distrait et une autre de voir en direct tout ça.
En plus le technique qui consistait à claquer des mains au début le déconcerta un peu... Sur son monde, on tapait des pieds (ou de la chope), mais bon, c'est vrai que le seul art qui avait vraiment été développé était la danse traditionnelle, ou la musique d'accompagnement de ces danses, 2 arts pour lesquels Oslar était tout sauf doué... Pis ça ne l'intéressait pas vraiment en plus... Pis avec qui aurait-il répété les pas?
Oslar n'avait pas assez de recul pour juger des performances, alors il resta en retrait, et adopta l'attitude moyenne de l'équipage... Quand fut arrivé le tour de se trouver face à Léa, il rougit comme une pivoine, et dit (non sans avoir dégluti avec difficulté " dommage que je n'ai pas pu assister à ton spectacle... D'après ce que j'ai entendu il était très poétique?Je ne savais pas qu'en plus d'être une technicienne, tu faisais aussi partie de la troupe..."
Et là, Léa eu une réaction étrange... Elle lui saisit le poignet, et dit simplement " Petit homme au grand coeur, vous ne le savez pas encore, mais le rêve est votre allié. Il a déposé un cadeau pour vous. cherchez et vous trouverez." et s'en fut gracieusement, libérant le bras qu'elle venait de saisir au niveau du poignet, sur cette parole sibylline et se mêla à d'autres conversations. Oslar en resta comme 2 ronds de fritte.
Puis la fatigue le repris, le petit somme pendant la performance de monsieur Minsk n'avait que recharger que temporairement ses batteries.
Il arriva tout de même à s'excuser en baillant auprès de "l'artiste" en néo-littérature, mais sa performance n'était pas très active par rapport aux autres, et Oslar avait passé une nuit entière à veiller sur les machines, donc la fatigue de la nuit l'avait rattrapé et était en train de le submerger. Mais s'il voulait, Oslar serait enchanté d'écouter son spectacle plus tard dans l'après-midi, s'il n'y avait pas d'impératif technique (et étonnamment, Oslar trouverait bien un moyen de se défiler poliment d'ici là... Quitte à faire sonner son comlink et simuler un appel qui demandait son attention)
Puis Oslar sentit qu'il était vraiment temps de se retirer. Il se dirigea vers le bureau de la commandante, marchant à peine droit car ivre de fatigue. Son bureau étant fermé, il revient à sa cabine et envoya un message à la commandante à partir de son ordinateur disant " Excusez moi de ne pas avoir attendu que vous ayez terminé les mondanités avec nos passagers. Vous pouvez annuler toutes les modifications de mots de passe, je vous expliquerai pourquoi je les ai changé tout à l'heure dés mon réveil. Là, je suis désolé, mais ma nuit de veille dans la salle des machines m'a crevé, je dois me reposer de toutes les émotions de ce début de journée... Oslar"
Et sur ce, alors qu'il se dévétit pour prendre une douche, il sentit une petite épaisseur dans une des poche de poitrine. Il retira de la poche un coquelicot en papier crépon et tige métallique d'à peine 5 cm, un peu froissé, planté dans un petit bout de papier carré d'à peine 3 cm de côté, qui portait une écriture serrée sur laquelle était marqué entre les 2 faces en standard intergalactique " Je pense que vous avez une certaine affinité avec cette fleur. Restez vous-même. Léa"... Ce qui ne manqua pas de faire rougir Oslar. Il prit délicatement la fleur et la mit sur sa table de chevet. Il alla prendre une douche et ne s'endormit qu'avec peine, submergé par des sentiments contradictoires. Etait ce une manière de se moquer de lui, ou alors avait-elle fait ça parce qu'elle avait vraiment remarqué qque chose?
Mais quoi qu'il en soit, à son réveil, il décida de passer le délicat papier sous vernis, histoire que la fleur ne se déchire pas à la première occasion, la passât à l'analyseur moléculaire, pas pour le résultat, mais pour sauvegarder la position exacte de chaque atome de manière à pouvoir la recréer si elle était perdue ou déchirée, et la mit à sa boutonnière...
Puis après avoir prévenu Bruhuk de son réveil, par communicateur interne, il lui expliqua qu'il devait se rendre chez la commandante, et se dirigea au bureau de la commandante... Mais c'est fou comme la petite fleur en papier le fit se sentir plus fort...
Il expliqua calmement à la commandante le pourquoi il n'avait pas pu lui expliquer ses soupçons (au demeurant infondés), et pourquoi il avait décidé de changer tous les codes au cas où nos invités avaient eu de sales intentions...
Et il termina en disant qu'on devrait au niveau de l'équipage déterminer de codes de conversation qui pourraient passer pour anodins pour expliquer des trucs du genre "J'ai un soupçon de danger. Isolons nous pour en discuter dans un endroit " ou "Je parle sous contrainte. Faites l'inverse de ce que je vous dis" ou simplement "Danger! Retirons nous au plus vite!". Même si Oslar sait très bien que ce genre de truc ne peut marcher que s'il n'y a pas de télépathes, au moins ça permettra peut-être de se sauver de problèmes...
Puis sans autre intervention, une demie heure plus tard, il se retrouva avec Bruhuk à bichonner les moteurs, et travailler sur la modification de combinaison NT6 qu'il serait possible de faire, et il discuta sur la manière de modifier la cabine de BRuhuk pour faire de sa chambre un quasi vivarium, qui contiendrait des évaporateurs ultra-soniques pour générer les brumes nécessaires, et les (dé)réglages des circuits de synthétiseurs d'aliments pour qu'ils synthétisent les molécules odorantes et les acides aminés présents dans l'atmosphère de sa planète d'origine. Ces recherches me permirent aussi d'étudier l'inverse pour moi : modifier le circuit de recyclage d'air pour retirer une bonne partie de la vapeur d'eau.
Les plans techniques, les pièces et les listings de programmation des appareils s'entassèrent bientôt, dans des caisses retenues au sols par grappins magnétiques, formant un joyeux bric-à brac.
A la première occasion, une fois seul dans la salle des machines, il demanda timidement par comlink (ou en direct, mais avec plus de maladresse s'il la croise au réfectoire) si Léa voulait bien m'aider sur ces 2 projets qui me tenaient à cœur.
Si elle répond non, sans donner d'explication, Oslar, meurt juste! ^^
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[hrp]Hop hop hop ... broder c'est bien, mais là c'est trop ... tu ne peux ni présager du fait que le bureau de la commandante soit fermé, ni des réactions de Jim, ni celles de Léa te concernant. Laisse les autres jouer leur rôle librement (comme toi tu as raison de demander que l'on te laisse jouer le tien). A moins bien entendu que tu ais eu l'autorisation préalable des joueurs concernés, ponctuelle ou définitive (et dans ce cas sans doute limité). En tout cas tu n'as pas eu la mienne pour Léa.
Donc ce qui est ci dessus et qui ne te concerne pas directement (impressions, sentiments) sont réputés non écrits. Je demande aux autres joueurs de ne pas en tenir compte. Conserve le néanmoins dans un coin, tu auras peut être l'occasion de la réutiliser. On reprend à la phrase "dommage que je n'ai pas pu assister à ton spectacle... D'après ce que j'ai entendu il était très poétique?Je ne savais pas qu'en plus d'être une technicienne, tu faisais aussi partie de la troupe..."[/hrp]
Léa lui sourit ... effectivement c'est dommage. Mais il y aura d'autres occasions. Lors de la prochaine représentation tu auras une place au premier rang. Elle cligna de l'œil : et interdit de s'enfuir pour échapper à l'intervention de Minsk.
Elle s'éloigna ensuite en direction de Théo qui se tenait non loin du buffet, se réservant un verre et lui demandant son sentiment pour le spectacle.
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Lorsque Léa vint s'enquérir de son avis sur le spectacle, Théo était en train de se verser un verre de jus de fruit polyvitaminé afin de se donner un coup de fouet jusqu'à la fin des mondanités.
Il faut dire que si les numéros du dresseur, du jongleur et de la prestidigitatrice étaient particulièrement réussis et divertissants, celui du tragédien néo-shakespearien avait eu raison de lui. Et si Oslar avait piqué quelque fois du nez, Théo avait quant à lui carrément roupillé tout au long de la représentation. Mel Minsk avait en effet fait baisser la lumière dans la salle commune et réglé les illumineurs pour qu'ils projettent un pinceau de lumière uniquement sur sa personne. Les tirades interminables déclamées par le dramaturge sur un ton soit grandiloquent, soit quasiment monocorde, avaient eu un irresistible effet soporifique sur Théo, qui s'était endormi au bout de quelques minutes, et réveillé lorsque le niveau d'éclairage de la pièce avait été rétabli.
Il répondit donc avec un enthousiasme mesuré à la charmante Léa :
"Je pense que nous n'avons eu qu'un court aperçu de ce que vous pouvez faire. Je serais notamment curieux de voir les dragons de Monsieur Nokobé à l'oeuvre. Vous êtes tous très talentueux..." (un bref regard vers le tragédien) "...dans vos spécialités respectives. Mais il me faudra lire les oeuvres de ce Shakespeare si je veux apprécier l'art de Monsieur Minsk à sa juste valeur."
oO( ... Et ça m'évitera d'avoir les oreilles qui saignent ... )
"Veille qui veut vivre" (devise des officiers artilleurs de la Guilde Navyborg)
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Zelda fut purement et simplement éblouit. Plus jeune, elle avait assisté à de nombreux spectacles de rue. Elle avait parfois côtoyé des saltimbanques et des routards. Elle avait croisé des mimes et des artistes vagabonds mais la performance de monsieur Minsk la plongea dans un abîme de perplexité. Elle ne savait pas si elle devait applaudir ou garder le silence...
Bravo ! Ce que j'ai vu est sublime ! Magie, dressage, jonglage et rhétorique : un cocktail rarement réussi. Je vous remercie...
Sans plus attendre, elle ajouta :
Miss Lime, Messieurs ! Nous arriverons sur Bilbo dans 4 heures. Je me tiens à votre disposition ainsi que tout les membres de l'équipage. Je vous laisse profiter pleinement du salon-salle à manger, du jardin et de vos cabines. Merci toutefois de respecter les zones de travail des ponts supérieurs...
Puis s'adressant à l'équipage,
Plongée TL dans 10 minutes, messieurs ! Que ceux qui ne sont pas en repos rejoignent leur poste de navigation. Quant aux autres, je vous laisse savourer encore un instant ce délicieux repas.
Zelda gratifia Sicli et Zipo d'une petite grattouilles.
Monsieur Varigue, Jim !, sans équivoque, Zelda fit signe de la suivre. La patronne ne tolérerait aucun retard.
"Va où tu veux, meurs où tu peux..."
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Jim était resté très circonspect face à la nouvelle loquacité d'Oslar et ne savait comment réagir au risque de le froisser alors qu'il faisait de louables effort pour s'intégrer plus au reste de l'équipage. Mais à ce point c'était peut être un peu trop. heureusement pour lui quelque chose avait attiré son attention et était parti vaquer à d'autres occupations.
Jim fut fort contrit d'avoir loupé la première partie du spectacle car cette seconde ne fut que souffrance intellectuelle. oO(Faudrait peut être que je créé une procédure de sécurité obligeant à une veille permanente sur la passerelle. Ça permettrait au moins à l'un d'entre nous d'échapper à ça)
A la fin il applaudit avec une joie non dissimulé que certains prendraient surement pour de l'enthousiasme suite à la prestation de M. Minsk
Zelda Zonk Wrote:Zelda gratifia Sicli et Zipo d'une petite grattouilles.
Monsieur Varigue, Jim !, sans équivoque, Zelda fit signe de la suivre. La patronne ne tolérerait aucun retard.
[hrp]Il me semble que Sicli et Zipo sont rester en hibernation à cause de la gravité[/hrp]
A l'appel de son nom, un réflexe pavlovien fit immédiatement se lever Jim pour suivre son capitaine. "Aye Aye Captain." Il n'était toutefois pas un malotru et gratifia chacun des artistes d'un mot de félicitations.
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