2010-08-27, 07:40 PM
Sémirande vient de là
Monsieur Skriblllz la rejoignit dans la baie d'observation mise à leur disposition par le chantier. Une large baie de force, inclinée à 20° permettait d'observer ce qui se passait en contrebas.
Le Méphisto ressemblait à un mannequin d'enseignement médical. A un écorché pour être plus précis : on avait retiré toutes les trappes d'accès extérieur possible, des nuées de logimecs étaient collées à la coque, voletant brièvement de ci et de là, tel des mouches charognardes.
Monsieur Skribllz portait encore sa combinaison énergétique lorsqu'il pénétra dans la pièce plongée dans l'obscurité. En bas, dans le silo, son collègue était penché sur une console portable avec un des ingénieurs du chantier.
Il était difficile de croire que les travaux seraient terminés à temps, mais Sémirande savait d'expérience que le chaos apparent de ce genre de chantiers disparaissait comme par enchantement à l'approche de l'heure H.
D'ailleurs deux chronos brillaient de leur lumières vertes dans la salle : une indiquant l'état des travaux théorique et celui des travaux réels. Ils avaient 30 minutes d'avance sur le théorique.
Une holoprojection détaillait l'état des travaux. On pouvait du bout des doigts ou par son plot agrandir, visualiser à discrétion.
Monsieur Skribllz s'adressa à elle via son traducteur : Les travaux avancent dans les normes préétablies. Êtes vous dans des paramètres opérationnels satisfaisants , pilote ?
Monsieur Skriblllz la rejoignit dans la baie d'observation mise à leur disposition par le chantier. Une large baie de force, inclinée à 20° permettait d'observer ce qui se passait en contrebas.
Le Méphisto ressemblait à un mannequin d'enseignement médical. A un écorché pour être plus précis : on avait retiré toutes les trappes d'accès extérieur possible, des nuées de logimecs étaient collées à la coque, voletant brièvement de ci et de là, tel des mouches charognardes.
Monsieur Skribllz portait encore sa combinaison énergétique lorsqu'il pénétra dans la pièce plongée dans l'obscurité. En bas, dans le silo, son collègue était penché sur une console portable avec un des ingénieurs du chantier.
Il était difficile de croire que les travaux seraient terminés à temps, mais Sémirande savait d'expérience que le chaos apparent de ce genre de chantiers disparaissait comme par enchantement à l'approche de l'heure H.
D'ailleurs deux chronos brillaient de leur lumières vertes dans la salle : une indiquant l'état des travaux théorique et celui des travaux réels. Ils avaient 30 minutes d'avance sur le théorique.
Une holoprojection détaillait l'état des travaux. On pouvait du bout des doigts ou par son plot agrandir, visualiser à discrétion.
Monsieur Skribllz s'adressa à elle via son traducteur : Les travaux avancent dans les normes préétablies. Êtes vous dans des paramètres opérationnels satisfaisants , pilote ?