2010-02-07, 08:11 PM
[Immobilier]
Il ne trouvèrent pas de Pilar ; MAIS l'historique des locations mit à jour le fait qu'une vingtaine de chambres avaient été louées l'avant-veille, dans le quartier du port. Ils n'arrivèrent pas à savoir si elles étaient situées dans le même immeuble ou pas, mais, bah ! On verrait bien... Leur bulle les y conduisit en trois minutes, et encore sans se presser. Posés sur la plage, ils regardèrent en compagnie de lève-tôt le soleil finir de se lever. Un glisseur de pêche quitta le port vers le large. Arrivé à destination, il se poserait, couperait toute haute technologie, déploierait sa quille, hisserait ses voiles et sortirait les grandes cannes, seuls accessoires autorisés pour attraper la Mampre, poisson très prisé au point de se vendre 1000 crédits le kilos sur le quai. Ne parlons pas des prix à l'export !
Ils étaient encore debout, les fesses contre la carrosserie de leur engin qui commençait à se réchauffer quand l'un donna un coup de coude à l'autre. Une petite troupe en uniforme léger courait sur la plage, pour la plupart des baraques à faire tourner la tête des plus blasées, mais il y avait aussi quelques silhouettes féminines, plus petites, dont une qui se tenait sur le côté de la troupe.
Ils allaient vite, même sans leur armure de combat, le fait qu'ils soient pieds nus et qu'ils courent sur du sable fin. On les regardait passer en silence. Ils atteignirent la promenade, et la colonelle Pilar, qui ne portait aucun insigne de sa fonction, siffla une fois. Tous se mirent à marcher, puis s'arrêtèrent en rang non loin des deux espions.
"Rompez"
Chacun alla récupérer son sac, et partit vaquer à ses occupations du jour.
Messieurs ?
Il ne trouvèrent pas de Pilar ; MAIS l'historique des locations mit à jour le fait qu'une vingtaine de chambres avaient été louées l'avant-veille, dans le quartier du port. Ils n'arrivèrent pas à savoir si elles étaient situées dans le même immeuble ou pas, mais, bah ! On verrait bien... Leur bulle les y conduisit en trois minutes, et encore sans se presser. Posés sur la plage, ils regardèrent en compagnie de lève-tôt le soleil finir de se lever. Un glisseur de pêche quitta le port vers le large. Arrivé à destination, il se poserait, couperait toute haute technologie, déploierait sa quille, hisserait ses voiles et sortirait les grandes cannes, seuls accessoires autorisés pour attraper la Mampre, poisson très prisé au point de se vendre 1000 crédits le kilos sur le quai. Ne parlons pas des prix à l'export !
Ils étaient encore debout, les fesses contre la carrosserie de leur engin qui commençait à se réchauffer quand l'un donna un coup de coude à l'autre. Une petite troupe en uniforme léger courait sur la plage, pour la plupart des baraques à faire tourner la tête des plus blasées, mais il y avait aussi quelques silhouettes féminines, plus petites, dont une qui se tenait sur le côté de la troupe.
Ils allaient vite, même sans leur armure de combat, le fait qu'ils soient pieds nus et qu'ils courent sur du sable fin. On les regardait passer en silence. Ils atteignirent la promenade, et la colonelle Pilar, qui ne portait aucun insigne de sa fonction, siffla une fois. Tous se mirent à marcher, puis s'arrêtèrent en rang non loin des deux espions.
"Rompez"
Chacun alla récupérer son sac, et partit vaquer à ses occupations du jour.
Messieurs ?