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Varlet, la technologie
#1
Voici un résumé et divers copier/collé des anciens forums que je mets ici:

des "bobineuses" à hyperfilament vous tissent une coque, puis ce 'textile' mis en place est mis sous energie est devient aussi dur que n'importe quel materiau...

Dans ce cas, la coque des vaisseaux est legere et solide. On peut tres bien imaginer dans l'epaisseur de deux couches de textile, on puisse trouver plein de systemes annexes, gagnant du volume sur l'interieur de la coque.

Les vaisseaux Varlet sont tres resistant a la panne ainsi, puisque tous ses organes sont redondants et espacés dans la coque (hormis peut etre la motorisation est le stockage de l'antimatiere). Ce qui libere beaucoup de place pour le reste... et donne une tres bonne fiabilité.
Pour ce qui est des avaries, un Varlet peut voler correctement jusqu'à atteindre le point de rupture et diverger dans une belle gerbe d'energie... (l'antimatiere etant juste un peu avant reconvertit par le systeme de securité automatique).

Les avaries sur le moteur Varlet ne mettent jamais en danger l'equipage (sauf en cas de panne seche en Triche-Lumiere). Les coups de canaondes ou de fleur de la mort se contente de surcharger le systeme de controle et ainsi deregler le moteur Varlet pour le rendre moins performant. Rappelez vous qu'il faut etre dans un chantier astronaval pres d'une etoile a combustion tres stable pour mettre au point un Varlet... Donc, un Varlet n'a jamais de grosses avaries, il est simplement déréglé.
Sauf cas de sabotage par un coup direct sur le moteur (explosifs, coup direct par un blaster lourd ou autre), dans lequel cas, il sera mis hors d'usage (voir regle de dommages sur les materiels, avec NT6 en resistance). La vitesse TL tombera a zero (dereglage), PUIS les avaries serieuses commencent.

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1pts de coque = 100 pts de dommages...

Dans les exemples plus haut, oui je parlais des degats systemes et non structurel. Dans ce dernier cas, il y a effectivement des dommages effectifs sur la coque (trous, débauche d'énergie, sang et larmes).

Pour les options: je pensais que les coques NT5 puissent etre plus encombrante et donc permettre moins de potentiel de masse. De plus, n'ayant pas ou peu acces à l'antigravité, la forme de leur vaisseau doit etre dictée par des formes plus ou moins aerodynamique pour les entrées en atmosphere, et aussi suffisamment resistance! Des propulseurs auxilieres NT5 devront aussi etre pris en compte pour faire décoller/atterir le vaisseau enlevant aussi pas mal de potentiel de masse.

Rappelez vous qu'Isaac Asimov (ok, je n'ai lu que lui ou presque Rolling Eyes ) decrit les vaisseaux de l'ancien empire comme monstrueux et avec des cabines spartiates. Alors que les tout derniers astronefs de la Fondation sont elancés et spatieux. L'antigravité a le merite d'enlever pas mal de propulseurs auxilieres et de divers materiels.

Mais je n'irais pas jusqu'a permettre la construction de vaisseau NT4. Tout simplement parce que cela devient anecdoctique d'en croiser un. A moins de se retrouver vers un monde interdit qui comporte une culture en passe de devenir interessante pour la civilisation galactique.

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De la gravité : c'est le principe même qui est décrit : l'antigrav ne fonctionne que si il y a de la gravité. C'est la gravité qui fournit l'énergie necessaire. Sinon il faudrait revoir de prés la source d'energie des platesformes antigrav ...

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Je conçois pour ma part l'antigravité comme un dispositif qui cré une poussée opposée au sens de gravité et proportionnel à la force de cette dernière ... un peu une poussée d'archimède gravitique. L'énergie dans ce cas sert uniquement à entretenir la déperdition du système (on va pas ré-inventer le mouvement permanent) et à permettre les mouvements perpendiculaire à l'axe de sustentation.

Quant à dire que les navires n'en sont pas équipés pour des raisons de masse, on peut considérer que les 250 kg par passagers dasn une bulle sont aussi duent au équipements de confort (sièges ...), à l'avionique ( bien qu'en théorie ce soit super réduit), aux générateurs de champs de force (pas de pare brise sur ce genre de modèles), les propulsuers auxiliaires permettant les mouvements latéraux ... 250 kg par personne pour l'ensemble de ces services n'est pas excessif : mais ça ne représente pas la masse du mécanisme antigrav.

Pour ma part j'estime qu'il faut se baser sur la couche antigrav qui contrairement à la ceinture de vol ne comprend pas de réserves d'énergie, ni de propulseur auxiliaires : 300 grammes pour sustenter un homme (ou une femme) disons de 100 kg soit 0,3 % de la masse ...

0,3 % c'est marginal, par rapport aux services que ça peut rendre et ça peut tout à fait être intégré à la masse de la coque un peu comme des turbines d'étraves pour les manoeuvres au port sur les navires modernes.

Une fois à l'arret l'énergie necessaire à la sustentation sera faible comme je l'expliquais ci-dessus, juste pour combattre l'entropie du système. Dans des installations de spatio-dock terrestre cette énergie serait fournie par les installations (de même que l'énergie necessaire au maintient de vie, l'info de bord) ... si ces installations ne sont pas disponibles (ou que l'on ne veut pas en dépendre) le vaisseau peut fonctionner en consommant un minimum d'antimatière (1 pour 1000 de la consommation normale ?) si l'on considère que les systèmes NT6 sont particulièrement efficaces e terme de rentabilité énergétique.

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la ceinture contient necessairement sa source d'énergie et ses propulseurs auxiliaires permettant les mouvement autres que dans l'axe vertical.

le systême antigrav d'un navire quant à lui voit son énergie fournit par les moteurs tournant au ralenti ou les batteries et sa propulsion assurée par ces mêmes moteurs.

ainsi que ce soit dans l'espace ou lorsqu'il se pose sur une planête un vaisseau se déplace en apesenteur naturelle ou artificielle, ce qui permet de contruire des navires d'un volume, de masse et de forme qui autrement (et malgrés la qualité des matériaux de construction) poseraient des problêmes de résistance dans des gravités planétaires.

J'irais même plus loin : l'antigravité est a mon avis basée sur le même principe que la gravité artificielle qui est necessaire à bord d'un navire : si on considère que celle-ci est modulable section par section (pour différents types de passagers, pour facilité le chargement des cales ...) cela signifie que ce n'est pas un mécanisme central qui controle cette gravité artificielle, mais bel et bien un mécanisme intégré en chantier aux ponts voir aux cloisons ...

Encore un avantage que l'on pourrait imaginer (pas documenté, mais je pense que c'est necessaire) : quand une source antigrav cesse d'être alimenté, la gravité reprend ses droits de manière progressive au fur et a mesure que le mecanisme antigrav cesse de pouvoir remplacer son énergie perdue par entropie. Ainsi les gens ne tombent pas comme des pierres quand leur ascenseur antigrav ou leur ceinture cesse de focntionner : ils se repprochent du sol de manière progrssive et constante.

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Si l'ambiguité entre source d'energie pose toujours probleme on peut trouver cet echappatoire.

L'energie de fonctionnement de l'antigrav n'est pas nécessaire en permanence. Des bobines supraconductrices servent de batterie. Quand l'antigrav a besoin d'energie poussé rapide dans une direction, elle consomme. Quand elle doit freiner, elle rend cette energie excessive dans les bobines supraconductrices. Grosso modo, la consommation globale est nulle. Au pire, lors de la maintenance, on refait le plein des bobines supra

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personnellement, dans mes campagnes, les joueurs ne demarrent jamais leur moteur Varlet avant d'etre en haute atmosphere... Ils utilisent l'antigrav avant cela.

Pourquoi:
Simplement d'imaginer une vitesse de plusieurs Mach en basse atmosphere provoque de terribles echauffements. Je veux bien que les coques soient energisés ou que le bouclier deflecteur puisse faire office... mais quand meme. Le plasma environnant vous brouille tout senseur digne de ce nom! Alors piloter en aveugle à une vitesse de l'ordre de dizaine de Mach me file un peu la frousse. Sad

Et puis creer un point de verité en deça d'un diametre de distance de la planete vous donne surement des malus (voire plus) au jet de pilotage TL!! La gravité environnante etant beaucoup trop forte, et influe grandement sur les parametres de creation du point de verité.

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... on peut imaginer un effet "tunnel" afin de ne pas avoir à se soucier d'échauffement à ces vitesses.

Les champs de forces doivent pouvoir créer une bulle de vide à l'avant du navire dans l'atmosphère et y aspirer le navire qui du coup continue à voler dans le vide sans échauffement Wink

A titre de curiosité c'est le principe d'un certains nombre de recherches militaire actuellement ... le même principe est déja utilisé pour des armes sous-marines en créant une bulle d'air autour de du vecteur de l'arme ...

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Si un reflet, un corps gravitationnel massif peut détruire un Varlet trop près, un corps moins massif comme une planète doit avoir une certaine influence :

- influence sur la vitesse du Varlet
- influence sur l'entrée dans le TL

Il peut aussi y avoir une autre raison, différente ou complémentaire, à la réduction de la vitesse et de l'ouverture de points de vérité à proximité d'une planète, surtout si celle si est entourée par un traffic spatial important : la sécurité en vol.

Imaginez le chaos de mille vasseaux entrant ou sortant tous du TL à la limite de la planète, volant à fond à plusieurs dizaines de milliers de km/s, et leurs vecteurs déplacement tous entrecroisés...

Vous êtes dans le TL, prêt à en sortir, quand apparait devant un point de vérité et un vaisseau qui en sort à 12 EAL/h, soit plus de 29 heure-lumière en 1 seconde, pour réagir.

Pour comparaison, la distance extrême entre le Soleil et Pluton sur son aphélie est de 6,82 heures lumière Shocked

Alors vous faites un break et vous vous vous retrouvez vous même en position d'obstacle pour un autre vaisseau, qui va tenter de vous éviter, ... etc. L'enfer dans l'espace Rolling Eyes

Donc doivent être organisées des zones de sortie et de rentrée du TL, la zone de rentrée étant la plus proche de la planète pour que tout le monde voit tout le monde de loin, sans compter les contôleurs de vol qui auront donnés un vecteur précis pour chaque vaisseau. Les systèmes Experts deviennent alors vraiment utiles Smile

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J'ai lu que les astronefs sortent generalement du TL dans les limites du systeme stellaire. Il leur faut donc effectuer un micro-saut vers une position plus proche de la planete et/ou station visée, au lieu de passer pas mal de temps en vitesse Espace.
Pour ce qui concerne les micro-sauts intrasysteme, il n'est pas précisé grand chose. Ce que je pense, c'est qu'il est plus difficile d'entrer dans le TL et d'en ressortir sur de si courtes distances. Le risque etant d'en sortir de l'autre coté mais diametralement opposé, voire de se retrouver tres proche de l'astre (il fait chaud d'un coup!).

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Pour une si courte distance et un temps si bref (fraction de seconde), la dérive dans le TL doit être infinitésimale.

Parce que sinon, en vitesse espace, seul les plus gros pourront peut-être espéré arriver (s'ils ne sont pas proche d'être à sec). Les plus petits, même rapide, n'auraient jamais l'autonomie nécessaire.

Pour argumenter voici quelques distances en minutes lumière :
- Soleil-Terre : 8.311 minutes lumière
- Soleil-Pluton : distance moyenne 328 minutes lumières (5.467 heures)
distance sur sa position la plus éloignée (aphélie) 409.52 minutes lumières (6.82 heures)

Vous ne manquerez pas de remarquer que le transmetteur de matière avec ses 6 minutes lumière de portée ne pourrait même pas nous envoyer en orbite terrestre Rolling Eyes

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Pour l'antrigrav, l'idée du Dr Jdrky'll selon laquelle les systèmes sont intégrés (voire tissés) qui dans la ceinture de vol, qui dans la coque, qui dans le pantalon me plait assez. Quand à leur consommation .... bofffff ! Vous vous embarquez trop loin, les gars. D'ailleurs, et sur un plan plus général, a par pour des appareils vraiment consommateurs (comme les Varlet justement) laissez tomber. Vous vous embêtez pour rien. Conseil d'une nana que l'on a fait jouer une fois à un vieux truc qui s'appellait Space Opera. Dur Sad

Je pense que les Varlet sont utilisable pour passer en TL dès que l'on arrive à moins de 100 atomes par m3 (cent bornes dans le cas de la Terre je crois). Bravo pour la remarque sur l'autonomie des Varlet en vol espace. Cela clôt la discussion de la distance du point de vérité : il est tout près de la planète. Et bravo pour la remarque sur les transmetteurs de matière ; mais je crois que cela avait déjà été évoqué dans le forum de la FFJDR.


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Tout à un prix, même les hommes ont le leur.
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