2010-05-29, 09:15 AM
// En attendant une réponse de Khrys et Khaadaric je continue sur une autre trame.
Gurvan avait fini par fermer les yeux, la symphonie des astres avait envahi sa perception et il dérivait doucement ... Les étoiles chantaient pour lui à travers de la « peau » sensible du Méphisto. Elles chantaient une épopée ancienne, primale , d’éternité, où s’entendaient encore l’écho du premier cri de naissance de l’univers.
C’était un océan tumultueux dans lequel l’on pouvait se perdre, où la conscience dérivait se détachant de son « moi » et où certains finissaient par percevoir des voix chuchotant des secrets inaudibles …
Il était un peu agacé : la Durandal émettait, bien involontairement certes, parasites électriques, bruit … c’était comme être en plein concert philarmonique et avec un voisin en train de manger du pop-corn dans un sachet de plastique. Il essaya d’en faire abstraction et de se détendre … Il entrouvrit un œil : là dans le quadrant 254-182.
Un autre bruit et ce n’était pas une collision de météorites. Il demanda un agrandissement et concentra son attention sur ce point.
Ils étaient en bordure du champ d’astéroïdes, les poussières étaient moins denses, les objets célestes moins concentrés, il entrevoyait les étoiles au-delà, entre les trouées. C’est comme cela qu’il vit l’aberration : un groupe d’étoiles changea brièvement de position, une diffraction d’à peine quelques dixièmes de degrés. Ce fut fugace.
Une erreur ? Il lança un diagnostique sur les capteurs visuels tout en continuant d’observer …
Là, dans le quadrant 129-328 ! Un nuage de poussière se déplaçait avec une vitesse aberrante, dérangées par quelque chose de volumineux, en tout cas trop gros pour être une mine.
Le résultat de l’auto-diagnostique de niveau un arriva : [système OK]
Gurvan avait fini par fermer les yeux, la symphonie des astres avait envahi sa perception et il dérivait doucement ... Les étoiles chantaient pour lui à travers de la « peau » sensible du Méphisto. Elles chantaient une épopée ancienne, primale , d’éternité, où s’entendaient encore l’écho du premier cri de naissance de l’univers.
C’était un océan tumultueux dans lequel l’on pouvait se perdre, où la conscience dérivait se détachant de son « moi » et où certains finissaient par percevoir des voix chuchotant des secrets inaudibles …
Il était un peu agacé : la Durandal émettait, bien involontairement certes, parasites électriques, bruit … c’était comme être en plein concert philarmonique et avec un voisin en train de manger du pop-corn dans un sachet de plastique. Il essaya d’en faire abstraction et de se détendre … Il entrouvrit un œil : là dans le quadrant 254-182.
Un autre bruit et ce n’était pas une collision de météorites. Il demanda un agrandissement et concentra son attention sur ce point.
Ils étaient en bordure du champ d’astéroïdes, les poussières étaient moins denses, les objets célestes moins concentrés, il entrevoyait les étoiles au-delà, entre les trouées. C’est comme cela qu’il vit l’aberration : un groupe d’étoiles changea brièvement de position, une diffraction d’à peine quelques dixièmes de degrés. Ce fut fugace.
Une erreur ? Il lança un diagnostique sur les capteurs visuels tout en continuant d’observer …
Là, dans le quadrant 129-328 ! Un nuage de poussière se déplaçait avec une vitesse aberrante, dérangées par quelque chose de volumineux, en tout cas trop gros pour être une mine.
Le résultat de l’auto-diagnostique de niveau un arriva : [système OK]