2010-05-27, 10:51 PM
Ils cherchèrent, en s’aidant du pad, la galerie technique et finirent par la trouver.
Il avait fallu descendre un niveau, franchir deux cloisons anti-explosion pour ce retrouver devant un minuscule sas étanche auquel on accédait par une courte échelle. Il faudrait se courber à moitié pour y accéder. Le voyant rouge sur la porte indiquait que la pression n’était pas égalisée.
Sémirande testa rapidement le sas : son intégrité n’avait pas été affecté par la collision et elle put le re-pressurisé. Si ça n’avait pas été le cas il aurait fallu utiliser un des trois autre sas donnant sur cette coursive technique.
Ils pénétrèrent à l’intérieur, l’un après l’autre, après avoir fait un ultime buddy check, chacun vérifiant l’équipement de l’autre et s’assurant d’où se trouvait l’équipement de son partenaire.
Pendant les quelques secondes ou dura la décompression ils furent serrés l’un contre l’autre dans une intimité forcée dérangeante.
Le couloir qui s’ouvrit devant eux était un peu plus vaste, mais encombré et plongé dans une quasi obscurité.
Il était tordu, affaissé par endroit et les câbles, conduits, gaines s’étaient décrochées de leurs parois, remplissant l’espace déjà exigu de tronçons serpentiforme enchevêtrés. Certains de ces tentacules de haute technologie, tranchés, se mouvaient lentement au gré de leurs flux de gaz sous pression qui se perdait en pure perte dans le vide spatial.
Les tubes luminescents de sécurité ne diffusaient plus qu’une fraction de leur lumière blafarde. L’incendie qui avait fait rage ici avait tout couvert d’une fine pellicule de carbone qui se soulevait doucement dans une poussière pulvérulente pendant de leur progression.
Au loin, à quelques dizaines de mètres, on devinait derrière des plaques blindées affaissées de guingois, des éclairs provenant de deux câbles faisant contact ou d’arc se formant grâce à la poussière de carbone en suspension, qui jetaient un éclat stroboscopique sur la scène.
Que font Sémirande et Khrys ?
Et pendant ce temps que font notre honorable commandant et son fidèle chef de la sécurité ?
Il avait fallu descendre un niveau, franchir deux cloisons anti-explosion pour ce retrouver devant un minuscule sas étanche auquel on accédait par une courte échelle. Il faudrait se courber à moitié pour y accéder. Le voyant rouge sur la porte indiquait que la pression n’était pas égalisée.
Sémirande testa rapidement le sas : son intégrité n’avait pas été affecté par la collision et elle put le re-pressurisé. Si ça n’avait pas été le cas il aurait fallu utiliser un des trois autre sas donnant sur cette coursive technique.
Ils pénétrèrent à l’intérieur, l’un après l’autre, après avoir fait un ultime buddy check, chacun vérifiant l’équipement de l’autre et s’assurant d’où se trouvait l’équipement de son partenaire.
Pendant les quelques secondes ou dura la décompression ils furent serrés l’un contre l’autre dans une intimité forcée dérangeante.
Le couloir qui s’ouvrit devant eux était un peu plus vaste, mais encombré et plongé dans une quasi obscurité.
Il était tordu, affaissé par endroit et les câbles, conduits, gaines s’étaient décrochées de leurs parois, remplissant l’espace déjà exigu de tronçons serpentiforme enchevêtrés. Certains de ces tentacules de haute technologie, tranchés, se mouvaient lentement au gré de leurs flux de gaz sous pression qui se perdait en pure perte dans le vide spatial.
Les tubes luminescents de sécurité ne diffusaient plus qu’une fraction de leur lumière blafarde. L’incendie qui avait fait rage ici avait tout couvert d’une fine pellicule de carbone qui se soulevait doucement dans une poussière pulvérulente pendant de leur progression.
Au loin, à quelques dizaines de mètres, on devinait derrière des plaques blindées affaissées de guingois, des éclairs provenant de deux câbles faisant contact ou d’arc se formant grâce à la poussière de carbone en suspension, qui jetaient un éclat stroboscopique sur la scène.
Que font Sémirande et Khrys ?
Et pendant ce temps que font notre honorable commandant et son fidèle chef de la sécurité ?