2010-05-26, 09:56 PM
[Silence]
Vous savez ce qu'on fait quand on s'est conduite comme une gamine ? Que l'on est passée pour une conne ? Que l'on a tenté une autolyse sans penser à ceux qui resteraient en arrière ? ON FERME SA GUEULE ET ON BOSSE Elle offrit néanmoins des cigarettes de Marine aux alentours (avec un certain succès). Puis retourna à son labeur.
Elle se re glissa dans son conduit, vérin formeur à la main, et retourna à la pliure, qu'elle redressa. Cela lui prit une bonne heure. Puis elle rampa en arrière, défit l'autre extrémité des trois câbles, mit d'autres bouchons de charge et repartit en sens inverse en procédant aux mêmes tests, jusqu'à trouver la première coupure. elle recula derechef, et coupa aux points de rupture. Elle empoigna le faisceau de trois câbles défectueux et tira en arrière. Cela vint, mais c'était terriblement lourd. Elle parvint cependant à la génératrice en moins d'une heure. Elle s'offrit un bidon pour cyborg, mais pas de cigarette : on ne fumait pas ici.
Elle alla mesurer la longueur de câble à ses pieds, l'examinant au passage. Sur 15m, il était constellé de petites brûlures qui étaient autant d'impacts. Elle en compta trois cent dix-sept en tout.
Il y avait donc 22 mètres de câble à tirer. Cette fois, elle les fit un par un. Elle tirait un des conducteurs par les deux bouts, traînant donc une boucle derrière elle. Arrivée à la première rupture, elle branchait, puis allait à la seconde. Test. Puis un autre câble.
Au bout de cinq heures, elle lança les procédures de test, qui durèrent vingt minutes. Elles furent positives. Pour elles. Mais ce n'était pas si simple.
Elle appela "une grande brune aux cheveux ramenés en chignon" et dit "Sémirande Chalmak. Les trois conducteurs ont été remplacés, Madame. Mes tests sont positifs. Demande seconde validation."
Bon, trois heures, une pause, cinq heures... Elle espérait qu'on ne s'ennuyait pas trop à bord du Méphisto.
Vous savez ce qu'on fait quand on s'est conduite comme une gamine ? Que l'on est passée pour une conne ? Que l'on a tenté une autolyse sans penser à ceux qui resteraient en arrière ? ON FERME SA GUEULE ET ON BOSSE Elle offrit néanmoins des cigarettes de Marine aux alentours (avec un certain succès). Puis retourna à son labeur.
Elle se re glissa dans son conduit, vérin formeur à la main, et retourna à la pliure, qu'elle redressa. Cela lui prit une bonne heure. Puis elle rampa en arrière, défit l'autre extrémité des trois câbles, mit d'autres bouchons de charge et repartit en sens inverse en procédant aux mêmes tests, jusqu'à trouver la première coupure. elle recula derechef, et coupa aux points de rupture. Elle empoigna le faisceau de trois câbles défectueux et tira en arrière. Cela vint, mais c'était terriblement lourd. Elle parvint cependant à la génératrice en moins d'une heure. Elle s'offrit un bidon pour cyborg, mais pas de cigarette : on ne fumait pas ici.
Elle alla mesurer la longueur de câble à ses pieds, l'examinant au passage. Sur 15m, il était constellé de petites brûlures qui étaient autant d'impacts. Elle en compta trois cent dix-sept en tout.
Il y avait donc 22 mètres de câble à tirer. Cette fois, elle les fit un par un. Elle tirait un des conducteurs par les deux bouts, traînant donc une boucle derrière elle. Arrivée à la première rupture, elle branchait, puis allait à la seconde. Test. Puis un autre câble.
Au bout de cinq heures, elle lança les procédures de test, qui durèrent vingt minutes. Elles furent positives. Pour elles. Mais ce n'était pas si simple.
Elle appela "une grande brune aux cheveux ramenés en chignon" et dit "Sémirande Chalmak. Les trois conducteurs ont été remplacés, Madame. Mes tests sont positifs. Demande seconde validation."
Bon, trois heures, une pause, cinq heures... Elle espérait qu'on ne s'ennuyait pas trop à bord du Méphisto.