2010-05-24, 08:38 AM
Elle écouta Khaadaric, qu'elle avait salué d'un imperceptible mouvement de tête, Sémirande, Gurvan.
Elle parla dans son communico à neutrino : Lam, Paraganoog ? Allez-y mollo avec les passagers, on un diplomate à bord. Vous ne les fouillez pas : scan de surface et en cas de soucis vous m'appelez.
Puis elle se retourna en direction de Sémirande et des deux hommes et demanda : et où se situe la cabine quatre s'il vous plait ? ... voyant Sémirande détaler en direction de la cabine : j'ai un guide dirait-on. Elle quitta la passerelle à grande enjambées en lançant aux présents : restez là, je reviens.
Les deux soldats se positionnèrent de part et d'autre de la porte, arme au creux du coude. Les casques dissimulaient leur visage aux regards.
Elle arriva sur les talons de Sémirande alors que la porte de la cabine s'effaçait. L'enseigne Detlev s'encadra dans l'ouverture. Il avait trouvé le temps de se changer, de se raser. Il l'accueillit d'un ton rogue : Oui ? Quoi encore ? c'est alors qu'il vit la personne qui venait derrière Sémirande. Il se mit au garde à vous et salua. Madame ?
Le lieutenant Commandeur Hunt écarta doucement Sémirande de la porte en la prenant par l'épaule. Laisse tomber Arne. De là ou elle était Sémirande pouvait voir de trois quart le visage de la femme et il était d'une tristesse infinie. Tristesse à laquelle le visage de l'enseigne faisait écho, de manière progressive, transformant la colère en désarroi.
Alia ? interrogea-t-il dans un souffle. Elle fit simplement non de la tête avant de lui dire doucement : elle était dans son cockpit quand nous avons été touché à la sortie. Ça a été instantané.
Il peut s'en passer des choses en quelques fractions de secondes sur un visage, elle vit passer le refus, brièvement un masque d'indifférence qui se fractura aussitot quand il se mit à pleurer. Le Lt. Cmd. Hunt fit un pas en avant et le prit dans ses bras. La porte se referma sur ses sanglots.
Elle parla dans son communico à neutrino : Lam, Paraganoog ? Allez-y mollo avec les passagers, on un diplomate à bord. Vous ne les fouillez pas : scan de surface et en cas de soucis vous m'appelez.
Puis elle se retourna en direction de Sémirande et des deux hommes et demanda : et où se situe la cabine quatre s'il vous plait ? ... voyant Sémirande détaler en direction de la cabine : j'ai un guide dirait-on. Elle quitta la passerelle à grande enjambées en lançant aux présents : restez là, je reviens.
Les deux soldats se positionnèrent de part et d'autre de la porte, arme au creux du coude. Les casques dissimulaient leur visage aux regards.
Elle arriva sur les talons de Sémirande alors que la porte de la cabine s'effaçait. L'enseigne Detlev s'encadra dans l'ouverture. Il avait trouvé le temps de se changer, de se raser. Il l'accueillit d'un ton rogue : Oui ? Quoi encore ? c'est alors qu'il vit la personne qui venait derrière Sémirande. Il se mit au garde à vous et salua. Madame ?
Le lieutenant Commandeur Hunt écarta doucement Sémirande de la porte en la prenant par l'épaule. Laisse tomber Arne. De là ou elle était Sémirande pouvait voir de trois quart le visage de la femme et il était d'une tristesse infinie. Tristesse à laquelle le visage de l'enseigne faisait écho, de manière progressive, transformant la colère en désarroi.
Alia ? interrogea-t-il dans un souffle. Elle fit simplement non de la tête avant de lui dire doucement : elle était dans son cockpit quand nous avons été touché à la sortie. Ça a été instantané.
Il peut s'en passer des choses en quelques fractions de secondes sur un visage, elle vit passer le refus, brièvement un masque d'indifférence qui se fractura aussitot quand il se mit à pleurer. Le Lt. Cmd. Hunt fit un pas en avant et le prit dans ses bras. La porte se referma sur ses sanglots.