2010-05-17, 01:10 PM
… Enfin le moment de partir arriva. Ils eurent un avertissement vingt minutes avant de se mettre en route. Un a un les varlets autour d’eux allumèrent leurs moteurs.
Chacun pris sa place pour le départ … les passagers partageaient un repas en salle commune : Jalima Latcha Dima était chef cuisinière dans un restaurant de Viala, elle avait fait une carbonade avec ce qui restait de bière et de viande de leur voyage dans l’amas de Gion.
Le décompte leur parvenait du navire amiral pour synchroniser leur saut :
… [12] [11] [10] [9] [8] [7] [6] [5] [4] [3] [2] [1] … A l’unisson tous les navires dans une multitude d’éclats lumineux fugitifs disparurent.
En moins de deux secondes l’espace, auparavant remplit d’engins de haute technologie, était vide à l’exception de quelques déchets et pièces détachées perdues qui allaient dériver en espace profond pour une fraction d’éternité.
Le triche lumière familier les accueillit, chaque navire piloté en manuel tenait la position qui lui avait été attribué en respectant le silence radio. Sur leur tribord, le Jim Hawkins se maintenait à leur niveau.
Au loin le grondement cristallin du roncier augmentait en intensité. Ils se dirigèrent droit sur lui, à un petit 5 EAL de l’heure, certains navires avaient visiblement du mal à garder leur place dans le dispositif.
L’enseigne Detlef recevait sur sa console des messages flash, textuels ; il attira leur attention sur un classe II « l’Olivine » qui avait tendance à empiéter sur leur trajectoire : laissez-lui un peu d’espace, ils ont un petit problème technique à bord actuellement. Augmentez un peu votre vitesse et positionnez vous devant lui s’il vous plait.
Les chasseurs, par paire, s’assuraient qu’une bulle de 36 EAL était vide de tout navire autour d’eux.
Ils arrivèrent enfin à la barrière irrégulière que représentait le roncier … dans un fracas épouvantable les cathédrales avec une fausse lenteur s’écrasaient dans une poussière d’encens aux notes discordantes.
Le navire de tête s’engouffra dans une brèche de deux EAL de large suivi par l’ensemble de la flotte …
Chacun pris sa place pour le départ … les passagers partageaient un repas en salle commune : Jalima Latcha Dima était chef cuisinière dans un restaurant de Viala, elle avait fait une carbonade avec ce qui restait de bière et de viande de leur voyage dans l’amas de Gion.
Le décompte leur parvenait du navire amiral pour synchroniser leur saut :
… [12] [11] [10] [9] [8] [7] [6] [5] [4] [3] [2] [1] … A l’unisson tous les navires dans une multitude d’éclats lumineux fugitifs disparurent.
En moins de deux secondes l’espace, auparavant remplit d’engins de haute technologie, était vide à l’exception de quelques déchets et pièces détachées perdues qui allaient dériver en espace profond pour une fraction d’éternité.
Le triche lumière familier les accueillit, chaque navire piloté en manuel tenait la position qui lui avait été attribué en respectant le silence radio. Sur leur tribord, le Jim Hawkins se maintenait à leur niveau.
Au loin le grondement cristallin du roncier augmentait en intensité. Ils se dirigèrent droit sur lui, à un petit 5 EAL de l’heure, certains navires avaient visiblement du mal à garder leur place dans le dispositif.
L’enseigne Detlef recevait sur sa console des messages flash, textuels ; il attira leur attention sur un classe II « l’Olivine » qui avait tendance à empiéter sur leur trajectoire : laissez-lui un peu d’espace, ils ont un petit problème technique à bord actuellement. Augmentez un peu votre vitesse et positionnez vous devant lui s’il vous plait.
Les chasseurs, par paire, s’assuraient qu’une bulle de 36 EAL était vide de tout navire autour d’eux.
Ils arrivèrent enfin à la barrière irrégulière que représentait le roncier … dans un fracas épouvantable les cathédrales avec une fausse lenteur s’écrasaient dans une poussière d’encens aux notes discordantes.
Le navire de tête s’engouffra dans une brèche de deux EAL de large suivi par l’ensemble de la flotte …