2008-08-23, 02:38 PM
Message de M. Jdryk'll
Il soupira, commanda un autre raktagino avant de se caler en arrière dans son siège en serrant la tasse fumante entre ses mains.
Je vais vous répondre. Tout ce que je vous dirais sera la vérité, mais je ne vous dirais pas toute la vérité. En tout cas je ne vous la dirais pas aujourd'hui. A la fin de notre voyage reposez moi la question et je remplirais les blancs.
Les enfants sont des clones créés par un patron du crime. Ils ont des carractéristiques physiques qui suffisent à les qualifier de spéciaux.
Ces clones ont été libérés par une opération de police de routine, presque par hasard pourrait-on dire.
Nous sommes tombé sur eux et nous, moi, la commandante, monsieur Alcaline nous avons eu pitié d'eux; il était presque évident que leur survie était menacée à court terme.
Nous les avons recueilli à bord et l'amie de la commandante, mademoiselle Della Notché a obtenue que l'on nous confie une mission d'évacuation et que je sois nommé leur tuteur.
Le patron du crime voualit visiblement éliminer ces enfants. Il a pris contact avec monsieur Daykkhard, bien introduit dans la pègre locale, pour qu'il se charge de leur organiser "un petit accident".
Comme Daykkhard n'est pas un assassin d'enfant il nous a fait part de cette information et nous avons pris contact avec les forces de police pour monter un piège à ce patron du crime : monsieur Aristide.
D'où l'alerte d'infection à bord, la peste tierce, l'entrée des policier camouflés à bord ... Franchement je ne vous faisais pas confiance : si monsieur Aristide était capable de payer un tueur, pourquoi pas deux. C'est ce qui a motivé le fait que je voulais réduire au maximum votre contact avec les enfants.
Mais visiblement toute cette mise en scène n'a pas fonctionné ; Daykkhard vous donnera les détails, mais tout ce que j'ai compris c'est que monsieur Aristide n'a pas mordu à l'appat.
Lorsque Sémirande a ... perdu connaissance j'ai déclenché l'alerte et vous avez décollé sur instruction du commissaire de bord.
Voyant le navire décoler monsieur Aristide a craqué et fait une tentative désespérée pour nous arréter : il nous a tiré dessus. Il a été ensuite abattu par ... je ne sais pas au juste. En tout cas il est mort.
Je crois que c'est tout ce que je peux vous dire pour l'instant : monsieur Daykkhard pourra peut être vous donner d'autres précisions, il était au premières loges sur le tarmac.
Il releva un sourcil
autre chose ?
SPQR Wrote:
Par contre, je ne comprends rien ni au charabia du tekno-médecin, ni à ce qui a pu se passer hier. Les blessures du Pacha, accident domestique ou agression, des enfants dit "spéciaux", un tir de laser à l'encontre du vaisseau, la recherche d'une communauté, une bulle en feu, un risque d'intrusion puis de bombe à bord, des policiers déguisés en récupérateurs, ... et cetera.
Il soupira, commanda un autre raktagino avant de se caler en arrière dans son siège en serrant la tasse fumante entre ses mains.
Je vais vous répondre. Tout ce que je vous dirais sera la vérité, mais je ne vous dirais pas toute la vérité. En tout cas je ne vous la dirais pas aujourd'hui. A la fin de notre voyage reposez moi la question et je remplirais les blancs.
Les enfants sont des clones créés par un patron du crime. Ils ont des carractéristiques physiques qui suffisent à les qualifier de spéciaux.
Ces clones ont été libérés par une opération de police de routine, presque par hasard pourrait-on dire.
Nous sommes tombé sur eux et nous, moi, la commandante, monsieur Alcaline nous avons eu pitié d'eux; il était presque évident que leur survie était menacée à court terme.
Nous les avons recueilli à bord et l'amie de la commandante, mademoiselle Della Notché a obtenue que l'on nous confie une mission d'évacuation et que je sois nommé leur tuteur.
Le patron du crime voualit visiblement éliminer ces enfants. Il a pris contact avec monsieur Daykkhard, bien introduit dans la pègre locale, pour qu'il se charge de leur organiser "un petit accident".
Comme Daykkhard n'est pas un assassin d'enfant il nous a fait part de cette information et nous avons pris contact avec les forces de police pour monter un piège à ce patron du crime : monsieur Aristide.
D'où l'alerte d'infection à bord, la peste tierce, l'entrée des policier camouflés à bord ... Franchement je ne vous faisais pas confiance : si monsieur Aristide était capable de payer un tueur, pourquoi pas deux. C'est ce qui a motivé le fait que je voulais réduire au maximum votre contact avec les enfants.
Mais visiblement toute cette mise en scène n'a pas fonctionné ; Daykkhard vous donnera les détails, mais tout ce que j'ai compris c'est que monsieur Aristide n'a pas mordu à l'appat.
Lorsque Sémirande a ... perdu connaissance j'ai déclenché l'alerte et vous avez décollé sur instruction du commissaire de bord.
Voyant le navire décoler monsieur Aristide a craqué et fait une tentative désespérée pour nous arréter : il nous a tiré dessus. Il a été ensuite abattu par ... je ne sais pas au juste. En tout cas il est mort.
Je crois que c'est tout ce que je peux vous dire pour l'instant : monsieur Daykkhard pourra peut être vous donner d'autres précisions, il était au premières loges sur le tarmac.
Il releva un sourcil
autre chose ?