2010-04-05, 09:39 PM
Ce qui précède est là
… Ils sortirent des bureaux de l’antenne de la confrérie des Corsaires. C’était un simple local tenu par quelques employés civils payés par la confrérie et chargés des taches administratives.
Un bureau loué, sans beaucoup d’âme, à proximité immédiate des silos, simple et fonctionnel.
On leur avait donné des brochures Tridi explicatives, tout en soulignant que leur adhésion était provisoire et qu’un représentant de la confrérie se déplacerait dans les prochains jours pour valider définitivement leur adhésion.
Un survol rapide des documentations laissait transparaître un fonctionnement démocratique de la confrérie, basé sur la liberté d’action, de commerce, la restriction à la propriété d’un seul navire, l’indépendance financière, histoire de ne pas se laisser infiltrer par les grandes compagnies de transport ou par la hanse.
Il y avait pas mal d’avantages : l’exonération de taxes, l’accès quasiment gratuit à un certain nombre d’astroports, des réductions auprès de certains chantiers spatiaux par exemple; Quelques obligations aussi : celle de participer activement aux institutions de la confrérie, de participer à certains votes, de porter assistance gratuitement à ses confrères dans un certain nombre de cas.
Il y avait aussi quelques éléments concernant le règlement de bord, la plupart copiées sur ceux de la guilde Navyborg, mais réécrites pour faire face à leur situation particulière : Les corsaires etaient souvent isolés, loin des institutions gouvernementales, ne pouvant compter que sur leurs capacités et leur bon sens. Beaucoup de ces règles étaient incitatives, sauf celles qui concernaient la sauvegarde des personnes et des navires.
… Ils sortirent donc des bureaux et se retrouvèrent dans le vaste hall couvert de l’astroport d’ Amarzèle.
Que faites-vous maintenant ?
… Ils sortirent des bureaux de l’antenne de la confrérie des Corsaires. C’était un simple local tenu par quelques employés civils payés par la confrérie et chargés des taches administratives.
Un bureau loué, sans beaucoup d’âme, à proximité immédiate des silos, simple et fonctionnel.
On leur avait donné des brochures Tridi explicatives, tout en soulignant que leur adhésion était provisoire et qu’un représentant de la confrérie se déplacerait dans les prochains jours pour valider définitivement leur adhésion.
Un survol rapide des documentations laissait transparaître un fonctionnement démocratique de la confrérie, basé sur la liberté d’action, de commerce, la restriction à la propriété d’un seul navire, l’indépendance financière, histoire de ne pas se laisser infiltrer par les grandes compagnies de transport ou par la hanse.
Il y avait pas mal d’avantages : l’exonération de taxes, l’accès quasiment gratuit à un certain nombre d’astroports, des réductions auprès de certains chantiers spatiaux par exemple; Quelques obligations aussi : celle de participer activement aux institutions de la confrérie, de participer à certains votes, de porter assistance gratuitement à ses confrères dans un certain nombre de cas.
Il y avait aussi quelques éléments concernant le règlement de bord, la plupart copiées sur ceux de la guilde Navyborg, mais réécrites pour faire face à leur situation particulière : Les corsaires etaient souvent isolés, loin des institutions gouvernementales, ne pouvant compter que sur leurs capacités et leur bon sens. Beaucoup de ces règles étaient incitatives, sauf celles qui concernaient la sauvegarde des personnes et des navires.
… Ils sortirent donc des bureaux et se retrouvèrent dans le vaste hall couvert de l’astroport d’ Amarzèle.
Que faites-vous maintenant ?