2010-03-16, 08:05 PM
[Alerte]
Monsieur Antillès n'eut pas à chercher longtemps le patron : ce dernier, le type qui criait si fort à la manoeuvre et l'avait eng..... parce que les ancres ne montaient pas assez vite, le cherchait lui aussi. "Vwizzarrd ? Koi dangerous ?" Monsieur Antilès le lui dit, du mieux qu'il put. Alors, l'homme sortit un sifflet et appela son monde. Il leur expliqua la situation. Certains passagers levèrent la tête. La plupart, vouant que le jour se levait, que l'île de Gampierri était toute proche, baignée par la lumière du levant, et que le cata était seul sur la mer, replongèrent pour un peu de rab' de sommeil. Mais d'autres, plus au fait de la navigation, calculèrent qu'il faudrait encore 3/4 d'heure pour atteindre la terre, et que le patron n'aurait pas du appeler son équipage avant 1/2 heure au moins. Ceux-là ne furent guère rassurés quand ils virent les marins aller chercher qui leur arbalète, qui une pique... il y en avait même un qui possédait un vieux laser, très dangereux (je vous laisse deviner pour qui).
Du coup, tout le monde commença à se réveiller.
Mais "Ton Destin..." filait calmement ses 25 noeuds, et les falaises abruptes de Gampierri étaient maintenant bien visibles...
Monsieur Antillès n'eut pas à chercher longtemps le patron : ce dernier, le type qui criait si fort à la manoeuvre et l'avait eng..... parce que les ancres ne montaient pas assez vite, le cherchait lui aussi. "Vwizzarrd ? Koi dangerous ?" Monsieur Antilès le lui dit, du mieux qu'il put. Alors, l'homme sortit un sifflet et appela son monde. Il leur expliqua la situation. Certains passagers levèrent la tête. La plupart, vouant que le jour se levait, que l'île de Gampierri était toute proche, baignée par la lumière du levant, et que le cata était seul sur la mer, replongèrent pour un peu de rab' de sommeil. Mais d'autres, plus au fait de la navigation, calculèrent qu'il faudrait encore 3/4 d'heure pour atteindre la terre, et que le patron n'aurait pas du appeler son équipage avant 1/2 heure au moins. Ceux-là ne furent guère rassurés quand ils virent les marins aller chercher qui leur arbalète, qui une pique... il y en avait même un qui possédait un vieux laser, très dangereux (je vous laisse deviner pour qui).
Du coup, tout le monde commença à se réveiller.
Mais "Ton Destin..." filait calmement ses 25 noeuds, et les falaises abruptes de Gampierri étaient maintenant bien visibles...