2008-08-21, 09:47 PM
Message de Sémirande
[Bon ...]
Monsieur Qruze jeta un regard rancunier vers le Prêtre. N'avait-il pas été censé attendre ? Avec un soupir, il se mit sur le côté du sas et chercha une prise pour pluguer son ordi. Bien sur, il n'y en avait pas. Il appuya donc sur le bouton d'ouverture, maintenant que le Priman, par un coup de bol insigne , l'avait débloqué. Le sas ne fit aucune difficulté à faire ce qu'on lui demandait. C'était en fait une partie mobile qui se déployait en une rampe de chargement. Pas de seconde porte. Atterré, monsieur Qruze réalisa que ce "sas" n'était qu'une simple porte. "Pas moyen de sortir dans le vide sans dépressuriser" se dit-il :!: :?
Trapanelle 2 passa devant lui et entra, son petit projecteur donnant une belle lumière blanche, et ses images s'affichant sur le Com du mécano. Après un examen attentif, le Gris conclut que si piège il y avait, il n'était pas à l'entrée. Prudemment, il pénétra dans le vaisseau.
La gravité artificielle fonctionnait correctement, et le lampes s'allumèrent automatiquement. La centrale d'énergie occupait tout l'espace, mis à part deux étroits passages de part et d'autre. Elle ressemblait à un poste de transformation NT3. Elle occupait environ les 2/3 de la longueur de cale du Tracevide; le dernier tiers étant rempli par l'inévitable matériel annexe : rouleaux de cuivre, visseries, fixations etc. Derrière monsieur Qruze le détective pénétra à son tour, de l'autre côté de la centrale. Tous deux remontèrent sans rien trouver de suspect. Le détective prit une holo de numéro de série de la centrale, bien visible à l'extrémité située à avant. Ce truc avait été fabriqué sur Tréfolia, par Hermès, filles & fils. Sans doute une de ces innombrables petites entreprises qui constituaient le tissus commercial de l'Empire.
Ils passèrent devant la cambuse, constituée d'un simple autocook et de deux placards. Puiss ils arrivèrent au poste de pilotage.
Bon, ils avaient déjà vu les images des caméras. Mais en vrai, c'était impressionnant.
La boule de plasma avait éclaté après avoir traversé la vitre. Le ou la pilote l'avait prise de plein fouet, et le haut de son corps avait brûlé. Il n'y avait plus que le bassin et les jambes d'à peu près intacts. Des insectes étaient passés par le trou, et avaient commençé le travail que leur avait assigne Mère Nature. Nous écrivons bien "avaient commencé" car, selon un phénomènes assez fréquent, les protéïnes du corps humain étaient un poison violent pour eux.
Au passage de la verrière, des "gouttes" brûlantes de plasma s'étaient séparées de la boule principale, et avaient fortement endommagé toute l'avionique, qui s'était mise en sécurité. Sachiel Qruze estima à une journée minimum le temps de remise en marche, pour autant que les pièces de rechanges soient disponibles. Autant pour ce le projet de redémarrer les Varlets.
L'ordinateur confirma ce qui avait déjà été déterminé sur le Méphisto : ce navire n'avait pas de nom, ne venait de nulle part et n'avait prévu de se rendre nulle part.
Le détective appela l'aumônier.
Que faites-vous ?
[Bon ...]
Monsieur Qruze jeta un regard rancunier vers le Prêtre. N'avait-il pas été censé attendre ? Avec un soupir, il se mit sur le côté du sas et chercha une prise pour pluguer son ordi. Bien sur, il n'y en avait pas. Il appuya donc sur le bouton d'ouverture, maintenant que le Priman, par un coup de bol insigne , l'avait débloqué. Le sas ne fit aucune difficulté à faire ce qu'on lui demandait. C'était en fait une partie mobile qui se déployait en une rampe de chargement. Pas de seconde porte. Atterré, monsieur Qruze réalisa que ce "sas" n'était qu'une simple porte. "Pas moyen de sortir dans le vide sans dépressuriser" se dit-il :!: :?
Trapanelle 2 passa devant lui et entra, son petit projecteur donnant une belle lumière blanche, et ses images s'affichant sur le Com du mécano. Après un examen attentif, le Gris conclut que si piège il y avait, il n'était pas à l'entrée. Prudemment, il pénétra dans le vaisseau.
La gravité artificielle fonctionnait correctement, et le lampes s'allumèrent automatiquement. La centrale d'énergie occupait tout l'espace, mis à part deux étroits passages de part et d'autre. Elle ressemblait à un poste de transformation NT3. Elle occupait environ les 2/3 de la longueur de cale du Tracevide; le dernier tiers étant rempli par l'inévitable matériel annexe : rouleaux de cuivre, visseries, fixations etc. Derrière monsieur Qruze le détective pénétra à son tour, de l'autre côté de la centrale. Tous deux remontèrent sans rien trouver de suspect. Le détective prit une holo de numéro de série de la centrale, bien visible à l'extrémité située à avant. Ce truc avait été fabriqué sur Tréfolia, par Hermès, filles & fils. Sans doute une de ces innombrables petites entreprises qui constituaient le tissus commercial de l'Empire.
Ils passèrent devant la cambuse, constituée d'un simple autocook et de deux placards. Puiss ils arrivèrent au poste de pilotage.
Bon, ils avaient déjà vu les images des caméras. Mais en vrai, c'était impressionnant.
La boule de plasma avait éclaté après avoir traversé la vitre. Le ou la pilote l'avait prise de plein fouet, et le haut de son corps avait brûlé. Il n'y avait plus que le bassin et les jambes d'à peu près intacts. Des insectes étaient passés par le trou, et avaient commençé le travail que leur avait assigne Mère Nature. Nous écrivons bien "avaient commencé" car, selon un phénomènes assez fréquent, les protéïnes du corps humain étaient un poison violent pour eux.
Au passage de la verrière, des "gouttes" brûlantes de plasma s'étaient séparées de la boule principale, et avaient fortement endommagé toute l'avionique, qui s'était mise en sécurité. Sachiel Qruze estima à une journée minimum le temps de remise en marche, pour autant que les pièces de rechanges soient disponibles. Autant pour ce le projet de redémarrer les Varlets.
L'ordinateur confirma ce qui avait déjà été déterminé sur le Méphisto : ce navire n'avait pas de nom, ne venait de nulle part et n'avait prévu de se rendre nulle part.
Le détective appela l'aumônier.
Que faites-vous ?