2010-01-25, 12:34 PM
[Une curieuse sensation]
Oh, que ces messieurs se rassurent, ils ne sentirent pas peser sur leurs épaules une exotique menace, ou d'inquisiteurs organes visuels. Non, cela commença quand ils débouchèrent sur le sentier balisé.
Ils avaient commencé par suivre une piste très sportive, et ce pendant une bonne vingtaine de minutes. Celle-là était réservée aux gens en très bonne condition physique.
Puis cette piste joignit un chemin aménagé, ressemblant à une allée de parc. On ne voyait au premier regard aucune technologie, mais on la sentait présente partout aux alentours. Un exemple : aucun buisson ne portait de trace de taille, mais pas une branche ne dépassait sur le chemin. Aucune plante ne se comportait ainsi : dans la nature dès qu'un emplacement était disponible, il était occupé. Ils repérèrent ensuite quelques arbres qui étaient en fait des logimecs ; vraisemblablement plus destinés à la sécurité des promeneurs qu'à confondre des agents de l’étranger.
Leur sentiment devait être du à la normalité du lieu, normalité qui ne leur était plus coutumière.
Marchant d’un bon pas, ils rattrapèrent de nombreux touristes, dont beaucoup les saluèrent.
La gare de MagLev était très bien intégrée au site, en rondins avec buvette « typique », boutique de souvenirs et tout ce qui allait avec.
Quinze minutes plus tard ils étaient assis dans le train, une demi-heure de mieux c’était le FuseauJet. Ils arrivèrent à Ellypse moins de quatre heures après avoir quitté le Classe I.
Cette très grande ville, située non loin de l’équateur, dépendait du même fuseau horaire que la réserve naturelle où ils s’étaient posés. La nuit était tombée, l’activité ne baissait pas. Les hautes tours qui les entouraient étaient toutes illuminées, et le resteraient la nuit durant.
Les quatre hommes étaient debout devant les vitrines illuminées de la perspective Mona-Lisa, vaste pont suspendu qui reliait les deux plus grandes tours de la cité. Sous leur pied, 700 mètres plus bas, au travers de la chaussée transparente, ils pouvaient embrasser les quartiers populaires.
Voilà. Ils y étaient.
Oh, que ces messieurs se rassurent, ils ne sentirent pas peser sur leurs épaules une exotique menace, ou d'inquisiteurs organes visuels. Non, cela commença quand ils débouchèrent sur le sentier balisé.
Ils avaient commencé par suivre une piste très sportive, et ce pendant une bonne vingtaine de minutes. Celle-là était réservée aux gens en très bonne condition physique.
Puis cette piste joignit un chemin aménagé, ressemblant à une allée de parc. On ne voyait au premier regard aucune technologie, mais on la sentait présente partout aux alentours. Un exemple : aucun buisson ne portait de trace de taille, mais pas une branche ne dépassait sur le chemin. Aucune plante ne se comportait ainsi : dans la nature dès qu'un emplacement était disponible, il était occupé. Ils repérèrent ensuite quelques arbres qui étaient en fait des logimecs ; vraisemblablement plus destinés à la sécurité des promeneurs qu'à confondre des agents de l’étranger.
Leur sentiment devait être du à la normalité du lieu, normalité qui ne leur était plus coutumière.
Marchant d’un bon pas, ils rattrapèrent de nombreux touristes, dont beaucoup les saluèrent.
La gare de MagLev était très bien intégrée au site, en rondins avec buvette « typique », boutique de souvenirs et tout ce qui allait avec.
Quinze minutes plus tard ils étaient assis dans le train, une demi-heure de mieux c’était le FuseauJet. Ils arrivèrent à Ellypse moins de quatre heures après avoir quitté le Classe I.
Cette très grande ville, située non loin de l’équateur, dépendait du même fuseau horaire que la réserve naturelle où ils s’étaient posés. La nuit était tombée, l’activité ne baissait pas. Les hautes tours qui les entouraient étaient toutes illuminées, et le resteraient la nuit durant.
Les quatre hommes étaient debout devant les vitrines illuminées de la perspective Mona-Lisa, vaste pont suspendu qui reliait les deux plus grandes tours de la cité. Sous leur pied, 700 mètres plus bas, au travers de la chaussée transparente, ils pouvaient embrasser les quartiers populaires.
Voilà. Ils y étaient.