2009-12-12, 05:26 PM
Une petite crise d'angoisse ou une vraie crise de paranoïa déclenchée de l'extérieur, parce que là j'ai écrit çà, mais c'est un peu paroxismique si c'est juste une crise d'angoisse.
Pourquoi ce type le regardait-il comme ça ? Peut être s’agissait-il d’un type dont un membre de la famille avait été tué par Sémirande pendant la guerre. Ou bien était-il simplement mécontent de bosser en urgence ?
Attendez une minute … Il remarqua que leur accompagnateur, Majorio, échangeait un regard lourd de sens avec lui. Et si le soi disant Majorio était un membre du complot ?
Il avait évoqué devant la commission la possibilité que le complot ait des ramifications parmi des dirigeants de leur propre gouvernement. Quelle connerie ! Si c’était bien le cas il avait signé son arrêt de mort.
Mais si ça se trouvait. Lorsque Gurvan s’approcha il vit bien que celui-ci ne s’intéressait pas vraiment à l’engin … il lui tournait le dos et il pouvait à loisir communiquer avec le tech qui sans doute lisait sur les lèvres.
Etait-ce bien Gurvan ? Ils avaient des machines capable de leur faire prendre l’apparence qu’ils voulaient. Ils avaient été séparé et si ça se trouvait le corps du pauvre Gurvan était dans un placard quelconque.
…
Et même si s’était Gurvan. Il s’était pointé au bon moment … idéal pour un agent infiltré.
Khrys le regardait bizarrement et lui posa une question.
Comme s’il n’avait pas repéré son petit manège. « la commission n’a pas été gentille avec moi, je suis prisonnier, bouh, bouh ! » … faux cul va. Il avait été acheté c’est certain.
Mais pourquoi maintenant ?
Et d’un coup tout devint clair : Mone. Ils s’étaient arrangé pour qu’il fasse venir Mone. Ils voulaient l’assassiner et ainsi avoir leur Casus Belli. Et ils l’avaient attiré ici, maintenant pour le balancer dans l’espace.
Surtout garder son calme, ne rien leur faire voir …
Hum ? Je crois que j’ai un peu de mal à dessouler là. Le stress, l’angoisse de l’action. … Mais …
BON SANG C’EST QUOI CA ? UNE FUITE ? hurla-t-il en désignant le sas extérieur.
Il détala immédiatement vers une des portes intérieure, n’importe laquelle : il lui fallait prévenir Mone, peut-être de prévenir son escorte, le faire remonter à bord, se tirer de ce piège à rat dans lequel il les avait précipité.
En courant il neutralisa la source d’énergie de la porte qui devait être verrouillée et la poussa avant de se glisser dans l’interstice : ils n’auraient pas encore sa peau sur ce coup là cette bande de traitres …
Pourquoi ce type le regardait-il comme ça ? Peut être s’agissait-il d’un type dont un membre de la famille avait été tué par Sémirande pendant la guerre. Ou bien était-il simplement mécontent de bosser en urgence ?
Attendez une minute … Il remarqua que leur accompagnateur, Majorio, échangeait un regard lourd de sens avec lui. Et si le soi disant Majorio était un membre du complot ?
Il avait évoqué devant la commission la possibilité que le complot ait des ramifications parmi des dirigeants de leur propre gouvernement. Quelle connerie ! Si c’était bien le cas il avait signé son arrêt de mort.
Mais si ça se trouvait. Lorsque Gurvan s’approcha il vit bien que celui-ci ne s’intéressait pas vraiment à l’engin … il lui tournait le dos et il pouvait à loisir communiquer avec le tech qui sans doute lisait sur les lèvres.
Etait-ce bien Gurvan ? Ils avaient des machines capable de leur faire prendre l’apparence qu’ils voulaient. Ils avaient été séparé et si ça se trouvait le corps du pauvre Gurvan était dans un placard quelconque.
…
Et même si s’était Gurvan. Il s’était pointé au bon moment … idéal pour un agent infiltré.
Khrys le regardait bizarrement et lui posa une question.
Comme s’il n’avait pas repéré son petit manège. « la commission n’a pas été gentille avec moi, je suis prisonnier, bouh, bouh ! » … faux cul va. Il avait été acheté c’est certain.
Mais pourquoi maintenant ?
Et d’un coup tout devint clair : Mone. Ils s’étaient arrangé pour qu’il fasse venir Mone. Ils voulaient l’assassiner et ainsi avoir leur Casus Belli. Et ils l’avaient attiré ici, maintenant pour le balancer dans l’espace.
Surtout garder son calme, ne rien leur faire voir …
Hum ? Je crois que j’ai un peu de mal à dessouler là. Le stress, l’angoisse de l’action. … Mais …
BON SANG C’EST QUOI CA ? UNE FUITE ? hurla-t-il en désignant le sas extérieur.
Il détala immédiatement vers une des portes intérieure, n’importe laquelle : il lui fallait prévenir Mone, peut-être de prévenir son escorte, le faire remonter à bord, se tirer de ce piège à rat dans lequel il les avait précipité.
En courant il neutralisa la source d’énergie de la porte qui devait être verrouillée et la poussa avant de se glisser dans l’interstice : ils n’auraient pas encore sa peau sur ce coup là cette bande de traitres …
Où je serai appelé, je n'entrerai que pour le bien des êtres. Je m'interdirai d'être une cause de blessure ou d'atteinte aux personnes, ainsi que tout entreprise contraire à l'éthique à l'égard des hommes, femmes et tout être doué de raison.