2009-10-25, 08:35 PM
[Investigation]
Le Soldat entra dans le "préfa" délabré, suivi du Pilote, tous sens aux aguets. Bon, la fouille fut vite expédiée. Le plancher était épais de 50 mm, et ne touchait pas le sol de la clairière ; le plafond avait la même épaisseur : impossible d'y cacher quoique ce soit. De même, il y avait peu de rangements, peu de vêtements, peu d'affaires personnelles. Curieusement, il y avait également peu de matériel avant trait aux recherches en cours ; à part ces parchemins en écorce décrits plus haut. Ils les regardèrent rapidement : c'était assez abscon...
Il était spartiate, le type :^)
Puis le soldat remarqua quelque chose d'assez singulier. Un tas d'insectes morts gisait sous une fenêtre grande ouverte. Il regarda d'abord par l'ouverture, mais ne vit rien de particulier. Il se mit donc à genoux, et observa les animaux. Ils formaient un petit monticule sur le sol. Ces insectes devaient être assez lourds, ou bien il n'y avait pas de vent, car ils avaient l'air d'être là depuis un moment. De sa main toujours gantée, il poussa un peu et découvrit une tâche brune qu'il connaissait bien. Du sang séché. Et ce sang avait empoisonné les insectes qui s'étaient goulûment précipités pour le boire. Il renifla. Ce n'était pas bien vieux, et c'était du sang humain...
Monsieur Antillès n'avait rien ressenti de particulier, à part la menace latente qui les entourait tous. Il avança d'un pas ou deux dans la pièce, et reçut une alerte par l'intermédiaire de son plot vertébral. Il y avait une légère radioactivité, ici. Cela se trouvait près du tas d'insectes que M. Orkalys examinait. Là ! Sur le sol, un Sievert à l'endroit où le sang avait coulé. Pas de doute : on avait tiré au blaster, ici. Et ce n'était pas vieux.
Le Soldat entra dans le "préfa" délabré, suivi du Pilote, tous sens aux aguets. Bon, la fouille fut vite expédiée. Le plancher était épais de 50 mm, et ne touchait pas le sol de la clairière ; le plafond avait la même épaisseur : impossible d'y cacher quoique ce soit. De même, il y avait peu de rangements, peu de vêtements, peu d'affaires personnelles. Curieusement, il y avait également peu de matériel avant trait aux recherches en cours ; à part ces parchemins en écorce décrits plus haut. Ils les regardèrent rapidement : c'était assez abscon...
Il était spartiate, le type :^)
Puis le soldat remarqua quelque chose d'assez singulier. Un tas d'insectes morts gisait sous une fenêtre grande ouverte. Il regarda d'abord par l'ouverture, mais ne vit rien de particulier. Il se mit donc à genoux, et observa les animaux. Ils formaient un petit monticule sur le sol. Ces insectes devaient être assez lourds, ou bien il n'y avait pas de vent, car ils avaient l'air d'être là depuis un moment. De sa main toujours gantée, il poussa un peu et découvrit une tâche brune qu'il connaissait bien. Du sang séché. Et ce sang avait empoisonné les insectes qui s'étaient goulûment précipités pour le boire. Il renifla. Ce n'était pas bien vieux, et c'était du sang humain...
Monsieur Antillès n'avait rien ressenti de particulier, à part la menace latente qui les entourait tous. Il avança d'un pas ou deux dans la pièce, et reçut une alerte par l'intermédiaire de son plot vertébral. Il y avait une légère radioactivité, ici. Cela se trouvait près du tas d'insectes que M. Orkalys examinait. Là ! Sur le sol, un Sievert à l'endroit où le sang avait coulé. Pas de doute : on avait tiré au blaster, ici. Et ce n'était pas vieux.